Caractéristique :
Au printemps, le combattant varié mâle présente un aspect extraordinaire car il porte une grande collerette et, sur les côtés de la tête, des touffes de plumes (oreillons) érectiles comme la collerette.
La coloration de ces plumes ornementales varie du blanc au gris, au roux et au noir avec des stries et des barres. Il y a souvent une différence entre la couleur des oreillons et celle de la collerette.
En ce qui concerne le reste du plumage, le dos est brun tacheté contrastant avec le ventre blanchâtre. La face est nue et jaunâtre poursuivie par un bec assez long, jaune à rougeâtre. Les pattes sont jaune verdâtre. La femelle n’a pas d’ornements. Le dessus est brun écaillé, la poitrine est barrée, plus claire.
En hiver, le mâle ressemble beaucoup à la femelle mais il est plus grand.
Comportement et reproduction :
Tous les sites qu’il fréquente sont liés à la proximité de l’eau. Dans son aire de reproduction, il niche dans les marais humides, les tourbières et au bord des plans d’eau douce. Le reste de l’année, dans son aire d’hivernage, il fréquente les bords vaseux des plans d’eau douce ou saumâtre, les rizières et les prairies inondées. On peut parfois l’observer sur les vasières de marée basse ou au voisinage des côtes marines plates.
Ils hivernent au sud du Sahara ou dans le sud de l’Asie, également en petit nombre en Europe Occidentale sur les côtes plates. Les passages s’effectuent de juillet à octobre et de mars à avril.
Les mâles sont polygames. En avril-mai, ils se réunissent traditionnellement en des lieux appelés arènes ou leks, où ils paradent et se livrent à des combats fictifs dans le but de séduire des femelles. Ils se défient, plumage hérissé et ailes battantes, se saluent puis se figent tels des automates.
Le nid, construit au sol, est fait d’herbes sèches. La ponte est constituée de 4 œufs verdâtres qui sont couvés pendant une période variant de 20 à 23 jours. La femelle s’occupe seule de l’incubation et de l’élevage des jeunes. Les poussins sont nidifuges et capables de quitter le nid quelques heures après l’éclosion.
Ils s’envolent définitivement au bout de 25-28 jours.
Alimentation :
Pendant la période de reproduction, le chevalier combattant chasse des insectes, des vers et des araignées. Le reste du temps, il consomme des mollusques et des crustacés, et parfois des petits poissons et des têtards.
8 réflexions sur « Le foie gras rayé de la carte par la maire de Strasbourg au nom du bien-être animal »
Je préfère une bonne terrine ou un excellent pâté
elle ,ont devrait l’éradiquer au non du bien être humain.
Ce n’est que la mairie.
Ces verts ils se refuse tous les plaisirs de la vie, que leur existence doit être triste, il doivent se faire crier à mourir.
C’est vrai qu’en compensation, beaucoup fument le pétard, ils voient pendant quelques instant la vie en rose.
Mais après leur fumette, ils sont dangereux sur la route. Imaginez ils voient des éléphants roses traverser les voies de circulation, de même ils entendent hurler les loups au pied de la cathédrale et les ours grimper au sapin.
Pas à Bordeaux, le maire a supprimé les fêtes de Noël, il ne sait pas que Noël n’est pas une fête mais le jour de la naissance de Jésus. Bon pour EELV c’est une tradition d’un autre temps qu’il faut supprimer.
C’est pratiquement de l’abus de pouvoir , tout au moins cette décision sans consultation n’est pas très démocratique .
Enlever le foie gras du menu alors que c’est une de nos fierté c’est ne pas respecter les agriculteurs et les éleveurs
Les producteurs locaux (grande région du foie gras) devraient porter plainte pour diffamation.
La nous avons un maire qui impose son choix pas celui des français. Une honte à cette région d’avoir Eli un écologistes a leur mairie, maintenant on voit leur niveau d’intelligence.
Maintenant c’est pas a mais 3 maires pour le foie gras et un maire contre le sapin de Noël. Les gens son assez bêtes pour voter pour eux. Normal c’est des vieux qui accepte rien ou des ecolo des villes qui viennent dans nos campagnes. Voilà comment tuer des producteurs. Les écologiste sont pour la pertes de nos artisans commerçant.
Les maires écolos se croient tout permis. Et le libre choix il est où. Les pertes d argent pour les producteurs ils sent foutues tout ce qui les intéresse c est virer la viandes de tous les plats pour nous obliger à bouffer du foin.