VOTRE NOM D'UTILISATEUR

VOTRE EMAIL




J'ai déjà un compte
Chasse Passion
Nom d'utilisateur

Mot de passe

Mot de passe oublié

Je n'ai pas encore de compte



Accédez au meilleur de Chasse Passion en vous inscrivant gratuitement en quelques clics


MOT DE PASSE PERDU
VOTRE EMAIL



A bientot
 

[Vidéo] Un lièvre aux prises avec un rapace pour protéger ses petits

Les prédateurs terrestres font beaucoup de dégâts sur la petite faune, surtout en période de reproduction lorsque les petits sont les plus vulnérables.

Pourtant, le danger se trouve aussi dans les airs, car les rapaces constituent une menace non négligeable pour de nombreuses espèces qui ne voient pas toujours arriver la menace.

A lire aussi : [Vidéo] Un rapace tente d’attaquer un petit chaton mais tout ne se passe pas comme prévu

Dans cette vidéo, on dirait bien qu’une hase a repéré le prédateur venant du ciel et est bien décidée à protéger ses petits contre l’oiseau.

Elle se débat et saute autant qu’elle peut pour chasser l’indésirable et sauver la vie de sa progéniture.

Les dégâts de sangliers toujours au centre de la fronde des chasseurs en Dordogne

La Dordogne n’est pas épargnée par les dégâts de sangliers et les chasseurs paient le prix fort depuis quelques années pour indemniser les agriculteurs victimes des incursions des suidés. La Fédération des chasseurs a tenté de mettre en place une taxe évolutive selon les dégâts constatés par secteurs mais force est de constater que cette taxe soulève la colère de pas mal de nemrods.

Une taxe évolutive pour indemniser les dégâts de sangliers.

L »une des raisons pour lesquelles plusieurs sociétés de chasse se sont mobilisées était la hausse de la taxe territoriale. La Fédération des chasseurs de Dordogne avait pour ambition de « punir » en quelque sorte ceux qu’elle considérait être les mauvais élèves du département en appliquant un barème qui revenait à taxer fortement les sociétés de chasse installées sur les secteurs ou les dégâts de sangliers sont importants.

Ce mode de calcul est jugé trop aléatoire et injuste par les chasseurs qui ont tenté de le faire savoir à plusieurs reprises à la Fédération qui était décidée à rester sur sa position.

Pourtant, ce nouveau mode de calcul mettait en péril certaines sociétés de chasse qui devaient payer jusqu’à plus d’un euro de l’hectare quand d’autres ne payaient que quelques centimes.

Cette mesure accompagnée d’un prix élevé des bagues à sangliers ont poussé les sociétés de chasse du département à se rassembler sous le Collectif Chasse 24 qui s’est organisé pour peser dans le débat avec la Fédération.

Des avancées ont eu lieu lors de l’assemblée générale.

Le samedi 13 avril s’est tenu l’assemblée générale de la Fédération des chasseurs de la Dordogne et bien évidemment, les membres du collectif sont intervenus dans les débats.

Tout d’abord, le collectif a salué une baisse importante du prix des bagues à sangliers ce qui permettra aux chasseurs d’en faire l’acquisition plus facilement et de s’assurer d’une régulation plus efficace.

D’un autre côté le nouveau mode de calcul de la taxe territorial restait en vigueur et il convenait de le modifier sous peine de voir disparaître des sociétés de chasse qui seraient contraintes de déposer le bilan.

Le collectif a d’abord déploré le manque de communication possible avec la Fédération malgré les différentes tentatives de ses représentants. Le Collectif Chasse 24 estime que c’est un manque de respect envers les chasseurs que de ne pas répondre aux sollicitations des représentants des sociétés de chasse concernées.

Un vote a néanmoins été mené durant l’assemblée générale et a réduit les écarts de prix à l’hectare en augmentant d’un centime le tarif de base mais en faisant descendre à 0.69 centimes d’euros la taxe pour les communes les plus touchées.

Le Collectif chasse 24 demande aux chasseurs des communes les moins impactées par les dégâts de sangliers de se montrer solidaires car un centime en plus à l’hectare de leur côté peut faire une grande différence pour les sociétés de chasse ou les dégâts sont conséquents.

Dans un message posté sur les réseaux sociaux qui résume les évènements qui se sont déroulés lors de cette assemblée générale, le collectif ne mâche pas ses mots en ce qui concerne la Fédération :

« Devant notre vieillissement et vu la baisse du nombre de chasseurs, si nous voulons attirer des jeunes à partager notre passion il faudra que celle-ci soit attractive et non pas chargée de contraintes, de contrats d’objectifs, de rendement, de productivité, et ceci en toute sécurité…quand on sait les risques potentiels des actes de chasse.

Nous demandons également à la fédération de mieux communiquer avec nous et d’arrêter de nous infantiliser. Nous sommes bien conscients de la problématique prolifération des sangliers 200% dans nos régions.

La FDC 24 c’est nous tous les chasseurs et chasseresses de la Dordogne. »

[Vidéo] Timelapse des 57 jours d’une mésange qui investit un nichoir

La mésange est assurément l’un des oiseaux préféré des Français et bon nombre d’entre eux s’investissent pour leur offrir un endroit paisible ou nicher quand vient la saison.

L’oiseau est un atout certain pour la biodiversité de par sa consommation d’insectes mais c’est aussi un oiseau que l’on aime énormément observer et entendre chanter.

Les chasseurs se sont souvent mobilisé pour la mésange comme dans les Hauts-de-France ou la Fédération des chasseurs a décidé de distribuer gratuitement des nichoirs qui leur seront destinés.

Dans cette vidéo, on peut observer comment en 57 jours, un nichoir passe de simple boite vide à un nid bien occupé.

L’ours venu de Lettonie ne sera pas relâché en Ariège

L’affaire avait fait grand bruit durant l’été dernier quand une oursonne était venue en France depuis la Lettonie. De grands débats ont eu lieu sur une potentielle introduction de la petite ourse en Ariège mais finalement, c’est en Suisse que l’animal a trouvé sa place, pour le plus grand soulagement des éleveurs Français.

Un ours arrivé de nulle part.

Pendant quelques semaines, de grands débats ont été organisés entre différents acteurs de la ruralité et du suivi de l’ours en France pour savoir si oui ou non, une ourse pouvait être relâchée dans un de nos départements.

L’Ariège était un bon candidat mais dès que l’idée a été émise par les pro-ours, les levées de boucliers n’ont pas tardé du côté des éleveurs et des ruraux.

L’oursonne, baptisée Tanie, était arrivée depuis la Lettonie ou personne ne voulait la prendre en charge jusque dans un zoo refuge d’Eure-et-Loire. Son arrivée en France avait déjà fait beaucoup de bruit car beaucoup se sont demandés d’où sortait cette ours et des élus se sont étonnés de ne pas avoir entendu parler de cette histoire.

L’ourse a finalement été prise en charge par un parc Suisse.

Finalement, les éleveurs Ariégeois pourront dormir un peu plus tranquilles dans les semaines à venir car Tanie et un autre ours du refuge nommé Lugo ont été accueillis par le Juraparc, un parc ouvert en Suisse.

Les deux plantigrades pourront y couler des jours heureux en semi-liberté sans faire de dégâts dans le cheptel Français ni courir le risque de se frotter aux ours déjà présents dans les Pyrénées.

C’est d’ailleurs surement l’argument qui a pesé le plus dans la balance car les pro-ours ne cessent de rappeler que la consanguinité chez les ours Français est une menace depuis que plusieurs d’entre eux ont trouvé la mort ou n’ont plus donné signe de vie.

Tanie étant un ours de souche orientale, il y avait des risques pour que son introduction auprès de nos ours d’origine slovène ne soit pas des plus concluantes.

Ce qui est sur c’est qu’en Ariège, les élus ont poussé un ouf de soulagement. Dans un communiqué de presse, la Présidente du Département, le Président de la Chambre d’Agriculture et le Président de la Fédération Pastorale de l’Ariège vont même plus loin en parlant d’une possible mise en place de la régulation de l’espèce :

« Voilà la meilleure nouvelle de l’année, car désormais plus rien ne peut donc s’opposer à mettre en œuvre un processus de régulation de cette espèce protégée, que l’Ariège demande depuis si longtemps !

L’État vient de trouver comment « exfiltrer » des ours ariégeois en Suisse ! Que l’État sorte de son indolence et de sa soi-disant impuissance. »

[Vidéo] Quand même ton chien est en manque de chasse

L’inter saison est nécessaire mais elle peut parfois paraître trop longue, surtout lorsque plusieurs semaines sans prendre le chemin de la plaine se sont écoulées.

Cette pause n’est pas toujours mal vécue que par les chasseurs car nos compagnons qui sont au moins autant acharnés que nous pour partir à la chasse trouvent aussi le temps long.

A lire aussi : [Vidéo] Quand tu as deux chiens de chasse mais qu’ils ont un peu de mal…

C’est manifestement le cas de ce chien de chasse qui a bien du mal à contenir ses émotions devant une émission de chasse.

Alors que des faisans passent à l’écran, il ne parvient pas à contenir son émotion et s’appuie sur le mur pour y regarder de plus près.

La Moselle va autoriser l’utilisation des lunettes thermiques pour le tir de nuit des sangliers

La surpopulation de sangliers pousse les autorités à prendre des mesures encore jamais prises pour permettre aux chasseurs de pouvoir réguler au maximum les sangliers sur les territoires les plus touchés. La préfecture de Moselle vient d’annoncer que le tir de nuit était autorisé mais qu’en plus, l’utilisation de lunettes thermiques allait être expérimentée.

La régulation du sanglier jour et nuit.

Depuis l’arrêté publié le 5 avril 2024, le tir de nuit des sangliers est autorisé en Moselle par la préfecture du 15 avril 2024 au 1er février 2025.

Jusqu’ici, cette régulation nocturne est possible uniquement sous certaines conditions :

  • uniquement à l’aide d’une source lumineuse ou d’un adaptateur de visée à intensification de lumière,
  • à l’affût sur un mirador,
  • en tir fichant et à moins de 100 mètres,
  • après avoir déposé une déclaration à la mairie de la commune concernée par la régulation.

Cette régulation est menée sous la responsabilité du détenteur du droit de chasse qui va mener à bien ces opérations de tir de nuit mais doit s’assurer que toutes les conditions sont bien respectées, surtout en ce qui concerne la sécurité.

Les optiques thermiques bientôt autorisées.

Ce jeudi 25 avril, la préfecture de Moselle a publié un communiqué de presse dans lequel elle explique que le préfet envisage d’autoriser à titre expérimental l’utilisation du matériel à visée thermique et les lunettes à intensification de lumière.

A lire aussi : ThermTec : une gamme d’optiques thermiques à la pointe

Jusqu’ici, ces optiques ne sont autorisées que pour la surveillance des territoires mais pas comme organe de visée à proprement parler.

Depuis quelques temps, de plus en plus de ces optiques apparaissent pourtant sur le marché ce qui laissait penser qu’un jour ou l’autre, il serait possible de s’en servir sous certaines conditions.

La préfecture de Moselle a annoncé qu’une mise en application de cette mesure peut intervenir dans le courant du mois de mai 2024, le temps que l’administration puisse mettre en place les différentes démarches nécessaires avant l’application du futur arrêté.

Suite à cette expérimentation, un bilan sera effectué pour valider ou non la pertinence de cette autorisation que l’on risque bien de voir arriver dans d’autres départements fortement touchés par les dégâts de sangliers.

[Vidéo] Un gros sanglier intrigué par un drone venu le filmer

Les nouvelles technologies envahissent tout l’espace disponible et aujourd’hui, avec les drones, nous sommes capables d’aller filmer ou photographier à des kilomètres de là ou l’on se trouve.

Les vidéos dans lesquelles on peut voir des hardes de cervidés ou des compagnies de sangliers en vue du dessus ne manquent plus mais les réactions du grand gibier face à ces drones restent parfois déconcertantes.

A lire aussi : [Vidéo] Une compagnie de sangliers et un labrador sèment la panique

Dans cette vidéo, un sanglier de belle taille voit arriver vers lui l’étrange objet volant.

Il semble d’abord intrigué et regarde l’étrange oiseau de face avant qu’un mouvement de ce dernier ne le décide à prendre la fuite.

Deux chasseurs possiblement morts de la maladie « du cerf zombie »

Aux États-Unis, une maladie étrange se propage parmi les cervidés et inquiète les autorités qui ne savent pas encore grand chose de cette pathologie. Une étude a récemment été publiée et les chercheurs ont travaillé sur l’hypothèse d’une transmission possible de la maladie « du cerf zombie » à deux chasseurs décédés à quelques semaines d’intervalle

La maladie du cerf zombie, qu’est ce que c’est?

Depuis plusieurs mois, les chasseurs, les gardes et les agents de terrain de différents services ont remarqué que les cerfs locaux semblaient être de plus en plus touchés par la maladie du cerf zombie. Cette pathologie a été ainsi baptisée car les symptômes et le comportement adopté par les animaux rappelle celui des zombies dans les films d’horreur.

Ces derniers maigrissent, deviennent agressifs, confus et salivent abondamment.

En réalité, ces symptômes sont causés par la maladie qui va affecter les protéines présentes dans le cerveau. Les maladies similaires les plus connues de ce type sont la maladie de Creutzfeldt-Jakob ou encore la vache folle.

Il n’existe pour le moment pas de vaccin ni de traitement contre cette maladie.

La maladie du cerf zombie potentiellement transmissible à l’homme?

Le rapport publié récemment sur une potentielle transmission entre l’animal et l’homme souhaite approfondir les connaissances sur le sujet et attirer l’attention des pouvoirs publics sur le sujet.

Pour ce faire, les chercheurs se sont appuyés sur le décès de deux chasseurs qui auraient développé les mêmes symptômes.

Les deux chasseurs ont été chasser en 2022 dans le même lieu et ont consommé la même venaison avant que les symptômes de leurs maladies ne se déclarent. L’un des deux chasseurs, âgé de 72 ans, est décédé après avoir déclaré les premiers symptômes de la maladie à savoir une agressivité excessive, une forte agitation et des crises de convulsions.

Si le corps médical avait jusqu’ici déclaré qu’il s’agissait de la maladie de Creutzfeldt-Jakob, l’apparition de la même maladie dans la mort de deux chasseurs qui avaient potentiellement été en contact avec des cervidés infectés lors de leur séjour de chasse a mis la puce à l’oreille des chercheurs.

Dans un contexte ou la maladie du cerf zombie apparaît être en forte augmentation, il n’est pas impossible que la maladie ait pu se transmettre de l’animal à l’homme.

La mise en lumière de ces deux cas va forcément orienter les chercheurs vers une surveillance accrue de cette maladie et il faudra pouvoir déterminer si oui ou non, la transmission inter-espèces est possible ou non.

[Vidéo] Une grosse pierre coincée entre les bois d’un brocard

Le brocard est un animal très prisé d’une partie des chasseurs de grand gibier passionnés des différentes coiffes que ce dernier peut porter au cours de sa vie.

Les plus gros, les têtes bizardes, les velours, les assassins, on retrouve tout un panel de possibilités qui rendent ce gibier si fascinant.

A lire aussi : Un trophée de chevreuil incroyable!

Si les détails surprenants qui font que l’on s’arrête sur les bois d’un brocard sont en général inhérentes à la pousse de ces derniers, le brocard dans la vidéo ci-dessous a un petit truc en plus qui ne vient pourtant pas de lui.

Difficile de savoir comment, mais la bête a réussi a coincer une grosse pierre entre ses bois et se promène donc partout avec.

Haies, restauration de mares, les chasseurs du Lot au chevet de la biodiversité

En ce début de printemps les chasseurs du Lot mènent de nombreux chantiers en faveur de la biodiversité, c’est également l’occasion de faire le point sur ceux réalisés en 2023 lors de l’assemblée générale de la fédération.

En 2023 ce sont 15 chantiers participatifs de plantation de haies qui ont eu lieu sur 15 communes. 930 arbres ont été plantés avec l’aide de 422 bénévoles dont 176 écoliers. « Toujours sur la base de chantiers participatifs, ce sont une cinquantaine d’arbres fruitiers de variétés anciennes qui ont été plantés. Nous doublons cette démarche par des semis au sol de plantes mellifères pour les abeilles et les pollinisateurs » explique la fédération.

Mais ces actions en faveur de la biodiversité ne s’arrêtent pas là, l’année dernière les chasseurs Lotois ont également restauré 7 mares à l’abandon le long de la trame bleue du territoire. Ces mares sont d’une très grande utilité pour toute la faune et la flore, de la plus petite à la plus grande qui pourra s’y abreuver ou s’y reproduire.

Bravo les chasseurs !

×

You may choose to prevent this website from aggregating and analyzing the actions you take here. Doing so will protect your privacy, but will also prevent the owner from learning from your actions and creating a better experience for you and other users.