La FDC des Landes et RTE (Réseau de Transport d’Electricité) ont signé un partenariat qui a pour objectif de favoriser le développement de la faune et de la flore sous les lignes électriques à haute tension.

Alors que les lignes électriques pullulent dans nos plaines et forêts, non sans impact sur la faune et la flore locale, la fédération départementale des chasseurs des Landes et RTE, la société gestionnaire du transport de l’électricité, ont signé une convention qui permettra l’aménagement de ces terrains. A l’automne dernier, la FDC des Landes et l’ACCA de Saint-Perdon ont ensemencés près de 4,5 Ha de seigle et d’avoine sur des plaines localisées sous des lignes à haute tension.

En 2015, le nouveau partenariat permettra l’aménagement d’environ 13 hectares supplémentaires. 

L’aménagement et l’entretien de ces espaces sera assuré par les chasseurs sous la responsabilité de la fédération départementale, les propriétaires ayant au préalable donnés leur accord sur les parcelles concernées, la société RTE pouvant ainsi économiser sur les couts d’entretien, cofinance les projets.

Joseph Condé, ancien président de la Fédération départementale des Bouches du Rhône reclassé secrétaire suite à une première condamnation. Il fut de nouveau condamné à de la prison ferme et avec sursis il y a quelques semaine. Malgré ces condamnations, l’homme et son remplaçant au poste de président, continuent à exercer leurs fonctions, les salariés sont entrés en grève.

Malgré une peine de prison ferme prononcée à l’encontre de Joseph Condé et de 6 mois avec sursis pour l’actuel président, Jean-Marie Rimez, les deux hommes sévissent de nouveau à la fédération, ils ont repris leurs fonctions. Alors que la situation financière de la fédération assure un certain confort à ses employés, les deux acolytes ont prononcé le licenciement économique de trois salariés, ces trois mêmes employés avaient déposé plainte dans le cadre de la précédente affaire. D’après la page dédiée sur un réseau social, la fédération départementale des chasseurs des Bouches du Rhône comptait, au 17 avril, sur les douze employés : 7 en arrêt maladie ou de travail, certains d’entres eux pour cause de harcèlement, trois autres sont en grève.

En attendant la décision en appel du tribunal, Mrs Rimez & Condé ont donc décidé de se séparer de trois employés, pour des raisons invoquées économiques, ceux-ci ayant obtenus gain de cause du tribunal et des indemnités de la part des deux protagonistes n’ayant bien sûr aucun rôle dans cet évincement. Injustifié pour les autres salariés qui attendent désespérément un geste de la Fédération Nationale ou du Ministère.

Après les attaques des fédérations départementales de l’Oise et de la Seine & Marne, c’est un autre symbole du monde cynégétique qui est partit en fumée dans la nuit de mardi à mercredi.

Les pompiers sont intervenus aux alentours de 3h30, dans la nuit de mardi à mercredi, la Maison de la Chasse de Brocas, petit village situé au nord de Mont-de-Marsan, était en proie aux flammes. Malgré l’intervention des sapeurs-pompiers de trois casernes, le feu n’a pu être contenu et c’est toute la maison qui s’est embrasée.

L’origine de l’incendie n’est pas encore établie, les inspecteurs de l’identification criminelle de la gendarmerie ont été immédiatement dépêchés sur place afin d’effectuer les premières constatations et relevés d’indices qui permettront de définir si l’origine du feu est accidentelle ou criminelle. La maison de la chasse de Brocas a été inaugurée il y a un an, elle accueillait les assemblées générales d’associations, des rencontres entre chasseurs locaux et d’autres manifestations en rapport avec notre passion.

Crédits photo: Nicolas Le Lièvre

Cette fois-ci, l’attaque n’a eu lieu qu’à quelques dizaines de mètres d’une propriété où vit une famille avec des enfants sur la commune de Roquebillière dans les Alpes-Maritimes.

Cela porte à 129 le nombre d’attaques de troupeaux par les loups en France depuis le début de l’année pour près de 300 animaux tués. Daniel Nicolao, berger de 59 ans, possédait 21 moutons qui pâturaient dans un champ séparé de la propriété privée d’une simple clôture. Cette nuit, aux alentours de 4h du matin, la meute de loups est passée à l’action, tuant douze animaux, laissant les 9 autres grièvement blessé, les services vétérinaires devront abréger leur souffrance.

Des agents de l’ONCFS vont être dépêchés sur place afin de confirmer l’attaque, qui ne laisse aucun doute sur l’origine. Pour le berger, c’est l’attaque de trop : « Je m’en f.. des indemnisations, ce sont mes bêtes qui comptent. Vous vous rendez compte le travail que ça représente! Je vais prendre le fusil, je vais vous le régler le problème, vous allez voir! Aujourd’hui il est dans le champ d’à côté, l’année prochaine vous verrez, il viendra faire les poubelles de Roquebillière!« et au Maire du village de réagir : « Nous avions déjà repéré des traces de loup cet hiver, mais c’est la première fois qu’une attaque se produit dans notre village, à 50 mètres de ma propre maison et à 100 mètres de l’église »

Ils s’étaient attaqués à la fédération départementale de l’Oise il y a tout juste deux mois, les éco-terroristes de l’ALF (Animal Liberation Front) ont de nouveaux sévi ce week-end. Ce sont les locaux de la fédération des chasseurs de Seine et Marne qui ont été victime du groupuscule virulent.

Des propos haineux tagués sur les murs, c’est ce qu’on pu découvrir les employés de la FDC de Seine & Marne, une agression de plus signée ALF. C’est la seconde action ciblée envers les chasseurs depuis le début de l’année, les membres de l’ALF sont considérés comme éco-terroristes, la page Facebook du groupuscule met clairement en avant leur détermination…

On peut notamment y lire leurs « motivations » : « Le but de l’ALF à court terme est de sauver le plus d’animaux possible et d’interrompre directement la pratique de ce qu’elle considère comme des abus. » Le discours est clair, les actions s’intensifient, espérons que ces activistes soient rapidement interceptés avant que d’autres fédérations ne subissent leurs assauts…