On imagine la tête de certains en lisant le titre de notre actu du jour, mais ce n’est rien à côté de celle du chasseur qui a vu l’animal en vrai !

La scène s’est passée samedi dernier aux alentours du village de Saint-Lumine-de-Coutais en Loire-Atlantique (44) . Plusieurs dizaines de chasseurs s’étaient donné rendez-vous afin de chasser la bête noire, parmi eux Pascal Orian. Ce dernier été sagement installé à son poste, le long d’une haie lorsqu’il entend du bruit à l’intérieur.

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Persuadé de voir surgir un sanglier l’homme s’apprête a tiré, mais c’est finalement un Wallaby qui sort ! Bien évidemment le chasseur n’a pas tiré, et a profité de ce spectacle pour le moins insolite.

Il s’agirait du deuxième wallaby aperçu dans le département. Le premier ayant déjà été capturé et remis dans un parc.

C’est une première en France, l’Indre-et-Loire s’est muni d’un drone pour évaluer les dégâts de grand gibier. Pour être exact, c’est la coordination rurale du département (37) qui a investi dans le drone, pas la fédération départementale des chasseurs. Cela a son importance, car de l’aveu du président de la FDC, Alain Belloy, le drone ne peut être utilisé qu’en simple complément de l’expertise.

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La coordination rurale qui opère aux côtés des agriculteurs estime que les dégâts sont souvent sous-évalués par les experts, et que par conséquent le drone permettrait une meilleure évaluation. Il faut savoir qu’en dessous de 3% de la surface cultivable, ou 230€ de dégâts, les dégâts ne sont pas indemnisés.

Le drone est prêté gratuitement aux agriculteurs qui souhaitent une sorte de « contre-expertise », mais sans charte signée avec la FDC quid de l’intérêt de cette dernière ?

Le département d’étude du milieu naturel et agricole des Ardennes vient d’équiper une laie d’un collier GPS afin de pouvoir alimenter ses recherches sur le déplacement des animaux et l’utilisation de l’habitat.

La laie a été lâchée précisément sur le secteur de Rocroi/Fumay pour les chasseurs qui connaissent.

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Le département communique donc à son sujet et demande aux chasseurs de la région d’être un maximum vigilant afin d’épargner l’animal. Ses signes distinctifs sont un collier jaune sur lequel est monté le boité GPS gris ainsi qu’une boucle à chaque oreille.

Nous apprenons que samedi dernier un chasseur argentin a trouvé la mort lors d’un safari en Namibie.

José Monzalez, un homme âgé de 46 chassait, était sur la piste d’un troupeau d’éléphants accompagné d’un guide et 3 namibiens. Soudainement, sans doute au moment de l’approche final, le troupeau d’éléphants a chargé le groupe.

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Le malheureux chasseur n’a pu s’extirper d’entre les pattes des pachydermes, et ce dernier est mort piétiné par l’un d’entre eux. Les autres chasseurs n’ont pas eu le temps d’intervenir, ni même de tirer. Cette histoire rappelle l’accident de Theunis Bortha il y a quelques mois. Nul doute qu’une déferlante anti-chasse va envahir les réseaux sociaux.

En 2016, 2 chasseurs avaient commis chacun une cascade d’imprudence ayant amené l’un d’entre eux à recevoir un éclat de bale de calibre 12 dans une fesse.

Du côté de Saint-Maurice-la-Clouère dans la Vienne, Thierry et Michel participaient à une battue au grand gibier. Le premier Michel a choisi de quitter son poste (pas de consigne donnée en début de battue) afin de mieux se placer au cours de la battue, le 2^e homme, Thierry, a quant à lui fait feu sur un sanglier sans respecter l’angle des 30°. Bilan de l’opération, un éclat de la balle (calibre 12) qui a ricochet, est venu se loger dans la fesse de Michel. Heureusement les jours du chasseur ne sont alors pas en danger, mais de nombreux soins ont dû lui être administrés, des soins couteux….plus de 7000€ au total.

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Devant cet amoncellement d’actes imprudents, l’assurance maladie a décidé de poursuivre en justice les chasseurs ! Une première à notre connaissance.

C’est donc devant le tribunal que les 2 chasseurs ont dû répondre de leurs actes. Les chasseurs ne nient pas et assument, malgré tout juge et procureur décident de ne pas laisser l’affaire.

Ainsi, l’auteur du coup de feu se voit écoper d’une lourde amende de 8600€ au titre du remboursement des frais médicaux, ainsi qu’un mois de prison avec sursis. Michel, le chasseur qui s’est déplacé, écope de 200€ d’amende pour non-respect des règles élémentaires de sécurité.  

Sur le fond il est indéniable que les 2 chasseurs sont totalement responsables de l’accident, sur la forme (attaque en justice l’assurance maladie) il y a matière à discussion. Dans ces cas-là, la « sécu » peut attaquer absolument tout homme ou femme qui, par accident ou négligence, sont blessé(e)s ?

Qu’en pensez-vous ?