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La Fédération Nationale des chasseurs veut frapper fort en faveur du petit gibier

C’est un fait établi, le petit gibier fait face à de nombreuses problématiques qui tendent aujourd’hui à faire baisser drastiquement les populations. Les chasseurs sont au chevet de nombreuses espèces depuis longtemps déjà comme la perdrix, le faisan ou même le lapin dans certains secteurs mais malgré les efforts fournis, il faut en faire plus. C’est ce qu’à rappelé la FNC sur son site web après une première approche du sujet lors du Congrès National de la chasse.

Un constat alarmant sur le petit gibier.

Ce n’est pas un scoop, le petit gibier en France ne va pas bien. Certaines espèces sauvages comme le lièvre offrent encore une bouffée d’air frais pour les chasseurs en début de saison, même si les prélèvements sont très limités.

En ce qui concerne le petit gibier à plume, il est souvent difficile de se satisfaire de l’état des populations présentes et pour le lapin, c’est tout ou rien.

La FNC ne se cache d’ailleurs pas derrière son petit doigt et énonce clairement les choses, à savoir qu’il y a urgence à agir :

« Le petit gibier de plaine est devenu dans certains territoires l’Arlésienne d’Alphonse Daudet, celle dont tout le monde parle, mais qu’on ne voit jamais. Les fédérations des chasseurs déploient aujourd’hui des moyens considérables pour maintenir cette biodiversité majeure au sein des champs et des forêts. Face à cette urgence, il faut agir pour inverser cette tendance et garantir l’avenir des territoires ruraux et la chasse du petit gibier. »

Lancement d’une stratégie pour le petit gibier.

Les chasseurs font énormément pour la biodiversité et la petite faune. Le maintien d’agrainoirs durant l’hiver et d’abreuvoirs en période sèche n’est qu’un exemple parmi tant d’autres mais force est de constater que cela n’est plus suffisant face à la crise que connaît aujourd’hui le petit gibier.

Le saviez-vous ?  Sarthe : une amende pour les propriétaires qui ne lutteront pas contre les pigeons

Le réchauffement climatique, les pratiques agricoles modernes, les maladies et la présence abondante du sanglier sont autant de facteurs qui impactent grandement la petite faune et doivent être pris en compte.

Comme le rappelle la FNC sur son site web, Philippe Justeau qui est en charge du dossier a abordé plusieurs points qui doivent être travaillés lors du Congrès afin de redresser la barre en ce qui concerne le petit gibier.

Il est aujourd’hui nécessaire de tout mettre en place pour améliorer les choses :

« Tous les leviers disponibles doivent être exploités pour favoriser réellement les habitats et la biodiversité. De nouveaux financements doivent être explorés comme, par exemple, la promotion de contrats de type « paiements pour services environnementaux » (PSE) afin de récompenser les agriculteurs qui mettent en place des pratiques favorables à la petite faune de plaine. »

Le financement ne sera certainement pas la seule corde que la FNC souhaite mettre à son arc mais les chasseurs offrent déjà un nombre d’heures bénévoles considérables en faveur du petit gibier. Le temps est probablement venu d’élargir les horizons et de proposer à d’autres acteurs de s’investir dans des projets en faveur des habitats et de la petite faune pour que les choses avancent.

31 réflexions sur « La Fédération Nationale des chasseurs veut frapper fort en faveur du petit gibier »

  1. Des secteurs autrefois bien pourvus en petit gibier (perdrix rouges et lapins) sont des déserts. Une des cause majeure : plus d’agriculture, remplacée par du maquis et des ronces, prolifération du renard et de la sauvagine qui n’est plus piégée. Les 8 faisandeaux aperçus la veille en bord de ruisseau avec la poule faisane ont été mangés. J’ai vu 2 jours plus tard, au même endroit, 3 renardeaux en chasse.
    Pour avoir du petit gibier : du travail de débroussaillage à grande échelle et du piégeage.

  2. Je voudrais dire que chez moi, en Moselle, je n’ai jamais connu de compagnies de perdrix , que des couples isolés, même il y a 50 ans, des lièvres et riend’autre ! Actuellement le fauchage précoce des prairies est une catastrophe absolue , avec disparition de tout ce qui niche au sol, disparition des courlis et des vanneaux huppés dans les endroits humides où ils etaient abondants !
    Et personne n’en parle ! Personne ne contredit les agri qui veulent tout bazarder ( biodiversité ) pour avoir des champs immenses sans vie !
    C’est une catastrophe

    1. Bonjour je chasse depuis m’est 16 ans j’ai aujourd’hui 61 ans j’ai étais garde pendant 10 année avant de démissionné trop de chasseur débordé de l’heure territoire et les contrôles ne sont pas tous bien passé menace en yoit genre j’ai démissionné mais je suis resté piéger agréé depuis 2003 je veux réduire les prédateur pour que le petit gibier et plus de chance d’être là présent sur le territoire mais les prédateur ne sont pas responsables de tout je trouve parfois des perdrix morte elle sonts toujours très maigre malgré les agrenoir bien remplis la cause selon mois et la maladies l’agriculture pourrait mieux faire aidons nos agriculteurs pour ceux qui veulent bien changer certaines pratiques la moisson la nuit et pour moi destructrice la nuit beaucoup d’animaux dorme les signal sonnor installé je l’espère suffisent til pour efaroucher ce gibier endormie un agriculteurs ma répondu au moin la on ne dérange personne cette année j’ai demandé à faire de la culture à gibier à plusieurs agriculteurs sur des terrains non cultiver toujours la même réponse pas sur d’avoir le droit sur une jachère ou trop près d’une rivière donc aucune réponse favorable à cette heure là préoccupation de nos amis les agriculteurs et tout autres la production à tout trois lapins on me demande de les piéger je régule chaque année environ 70 corneille qui font des dégâts dans les semis le ragondin ex je ne compte pas m’est heures je déplore la liste des espèces piegeage la pies et celons moi une aberration elle et effronté cette pie à tué des tourterelle en plein vole tout les nits de petit oiseau sonts détruit et on nous dit qu’il reste de moin en moins d’oiseau en france je remercie messieur wouiston bonnet président des piégeur de l’heure pour ce qu’il fait pour nous tous t’en qu’il sera la on n’a une chance de revoir des compagnies de perdrix sont franc parler et sont investissements personnels ainsi de ce qui l’entour et s’en limite merci à eux vive le piegeage la chasse la nature et notre pation nos détracteurs les écoles n’ont toujours rien compris à la nature certes le pire des prédateur et l’homme et nous sommes tous concernés bien à vous cheramy fabrice vous salutations

    2. Entièrement d’accord avec vous… j’ai 50 ans de permis et le constat de la disparition des espèces est à pleurer.. et je pense que nous ne pourrons pas revenir en arrière.. tout a changé.. climat mentalité technique cultural appât toujours constant du gain .. dommage pour les jeunes qui ne connaîtront pas le gibier naturel des années 60

  3. Il faut éradiqué le sanglier , la mort de la chasse au petit gibier viens de la prolifération de cette espèce due aux lâchers réalisés par les chasseurs et qui sont maintenant dépassés comme la pêche avec le silure .Tout l’argent des acca passe dans le grand gibier , il ne faudra pas longtemps pour qu’il ne reste plus que des vieux chasseurs de bête noire . Chez nous on cherche les jeunes, après une saison ou deux ils arrêtent dégoûté.etc…

  4. Depuis 2017 je lâche des faisans souche Sologne,on a demandé aux chasses voisine de ne pas tirer ceux ci afin qu’ils se repeuplent ! En 2024 nos voisins de chasse avec qui l’on chasse régulièrement se sont amusés à en prélever une vingtaine…..
    Ducoup j’arrête ! 😡

    1. Bonjour M Tissier. Votre découragement est compréhensible. Si une réelle politique de développement et du renouveau des populations de petits gibiers est lancée par la FNC, il conviendra également de mettre en place des règles, des obligations et des sanctions. Ce sera une bonne opportunité de compter sur l’OFB. Autour de chez moi dans le Var, deux belles compagnies de faisans avaient vu le jour il y a deux ans. Je n’en ai parlé à personne, je les ai soutenue un peu. Malheureusement, elles ont été découvertes et en partie exterminées. Le mal vient aussi de nos propres rangs. C’est ainsi dans tous les aspects de la société.

    2. C est un des principal problème,car le chasseur est seul dans la nature et fait a peu près ce qu il veut.la plupart sont sensés et prélèvent raisonnablement mais il suffit d une poignée d imbéciles pour anéantir les efforts des autres et parfois comme vous les décourager.certains ne voient que le tableau ou le score,c est ridicule et on doit sensibiliser les jeunes sur ce sujet.bon courage.

  5. Bonjour Chesseron, rentrez vos chats et chiens errants , c’est deja jn bkn debut .
    Les rapaces sont protegés , vous avez failli les faire disparaitre avec vos copains agriculteurs.
    Et pour info , nous sommes en periode de repro , protection du territoire ,ce que vous racontez est juste impossible .
    Bonne continuation Mr Menteur !

  6. On va peut être pas récompenser les agriculteurs qui mettent en place des choses , car ils sont déjà responsables de la disparition du petits gibiers ,ils continuent a arracher des haies alors a un moment il faut arrêter de distribuer l’argent ;soit ils sont volontaires soit tant pis. Car une fois les indemnisations arrêtées , ils retirent tout ce qui a était mis en place. C’est juste une histoire de pognon.

    1. Comment faire en sachant que la prédation diminue drastiquement ces populations en sachant que dans certains départements me renard n’est même plus classé nuisible…
      Le petit gibier est mort grâce aux écologistes!

  7. Déjà il risque de ne rien se passer, car appart nous étouffer de taxes diverses pour soit disant payer les dégâts je ne voit pas comment ils vont sortir de l’argent.
    Et pour aider le petits gibiers , il faudrait peut être demander que les dates de broyage de jachères et autres soit décalées car en ce moment , moment des nids que ca se passe ,ces sont de petites choses comme ca qui pourraient aider.

  8. C’est chose impossible !!! Trop peu de piègeur et en plus des écolos qui font enlever les espèces des liste esod, certains chasseur qui ne respecte aucun cotas et font passer leur chiens à longueur de temps dans les trop rare cultures à gibier …. tir dans le tas au milieu d’une compagnie de perdreaux …. la liste serait encore longue et c’est pas avec ça qu’on va réussir à revoir du petit gibier naturel sur nos territoires.
    Un jour on aura plus que le sanglier et le pigeon à chasser ….

    1. Mon commentaire a de nouveau disparu. Pourtant que la realité.
      Visiblement Mr Liegeois mes connaissances vous derangent ,trop pointu pour vous.
      Vous etes comme
      les politiques ou France info et sa clique. La censure sevit partout .
      Et comme je vous l’ai déjà dit , vous n’êtes qu’un plouc pretentieux !

    2. Raven,a peine prétentieux,surtout que vous n avez aucun argument, uniquement des insultes,on touche le fond.

  9. La chasse au sanglier a tué la chasse du petit gibier voilà la vérité !!
    La FNC ce réveille trop tard quand on connaît le pourcentage de chasseurs de plus de 55 ans qui est de 53% on a vite compris que dans 10 ans le nombre de chasseurs sera divisé par 2
    Dans ma commune je suis le seul a chasser le petit gibier (lievre) sur 20 chasseurs de gros gibiers qui n’ont rien a faire du petit gibier .

  10. Il faut rétablir le milieu d’avant si vous voulez du résultat! N’oubliez pas en 30 ans nous avons perdu 3/4 des insectes.. Nourritures essentielles des jeunes oiseaux, sans compter sur les kms de haies arrachées et des mares rebouchées…

    1. Bonjour à tous,
      Je m’aperçois qu’à travers nos commentaires, nous sommes tous d’accord. 1 aménagement du territoire, 2 réglementations respectées, 3 maintient des populations et surveillance de ces dernières. La fédération ne fait rien, ses frais de fonctionnement beaucoup trop élevés pour un résultat cynégétique catastrophique. Le prix des permis qui s’envole… Bref, toutes les prévisions de mon grand père. Perso, je suis prêt à m’investir avec les 3 priorités citées plus haut, mais nous en sommes tellement loin… la bise du sud ouest.

  11. C’est au bord du gouffre que la fédération se réveille…
    Heureusement que les plusieurs d’entre nous faisons déjà le nécessaire sans attendre pour sauver la chasse du petit gibier
    Espérons que la fédération soit à la hauteur de ses annonces
    Affaire à suivre
    Amitiés aux chasseurs de petits gibiers
    Cordialement

    1. Oui ! Voici 45 ans que j’entends la chanson des belles paroles et intentions…sans rien de solide au bout.

    2. Avant de taper sur l agriculture, commençons nous chasseur à pouvoir être capable de ne plus chasser certaines espèces et la réintroduire dans les zones faibles effectifs pour en bénéficier demain.
      Mais j ai des doutes sur la capacité de la chasse France pour avoir le courage de telle mesures.

  12. Bonjour Chasse Passion. Abreuvoirs et agrainoirs ne permettent plus depuis très longtemps de soutenir les populations de petit gibier à plumes. Le biotope est le facteur le plus déterminant. Lorsque j’étais enfant, dans les années 63-64; je pouvais observer les compagnies de perdrix grises manger des doryphores et leurs larves dans les champs de pommes de terre dans les plaines du Valenciennois. Je pense que je n’ai pas revu de doryphores depuis les années 75. Nous avons voulu des plaines immenses pour permettre la mécanisation à outrance de l’agriculture et les rendements pléthoriques. Pourtant, d’après ce que j’ai pu comprendre, des quotas ont été imposés par la mise en jachère et d’autres inepties incompréhensibles. Les haies ont totalement disparues ainsi que les fossés. Celles qui restent sont taillées à outrance, est-ce une contrainte légale ou une volonté des propriétaires ?
    La chasse connaîtra un renouveau par le retour des populations de petits gibiers, la progression des permis de chasse suivra ce retour, j’en fait le pari.

    1. Il faut réduire la quantité de sangliers et chevreuils .surtout arrêter de subventionner pour nourrir ces bêtes comme des cochons domestiques. De plus nous subventionnons pour des dégâts, celles-ci servirais pour le petit gibier qui était l emblème de notre pays d auge. La chasse est un loisir pour chaque personne et non pas une entreprise financière, ce qui entraîne des mauvaises idées sur nous chasseurs

    2. Bonjour.
      Très bonne analyse et très bonne réponse.
      On oublie trop souvent le.. remembrement qui a tout cassé dans le paysage traditionnel francais avec les haies à demeure, en créant des ouvertures et grandes surfaces cultivables pour favoriser les céréaliers et la culture mécanisée intensive..un désastre !
      Le fait d’avoir également détruit les zones humides et marécageuses (zones tampons traditionnelles pour absorber l’eau et limiter les crues..) n’a rien arrangé, pas mieux pour les détournements de cours d’eau et rivieres comme anciennes mares débouchées.
      La maisiculture à elle seule est déjà bien responsable de tous les maux avec une course effrénée en hectares de cultures de maïs pour le seul appât du gain lié à la PAC..
      Et aujourd’hui, on s’étonne ?..
      Allons donc !..
      Je soutiens ardemment les chasseurs de petit gibier et qui se battent tant bien que mal pour essayer de maintenir des populations de perdrix grises, comme lièvres et lapins et qui a un coût non négligeable !

    3. C’EST UN PHÉNOMÈNE QUE J’AI OBSERVÉ AVEC MON PÈRE ET GRAND-PERE DEPUIS 45 ANS SUITE AU REMEMBREMENT…IL ETAIT PREVU DE REPLANTER DES HAIES…HOUPS…!??
      AUJOURD’HUI , QUELQUES ASSOCIATIONS AVEC LE SOUTIEN DE QUELQUES DEPARTEMENTS SE MOBILISENT PARFOIS AVEC DES AGRICULTEURS POUR REPLANTER ET AVEC UN RESULTAT EVIDENT…VOUS AVEZ DIT BIZARRE???

  13. Il faut lâcher massivement du gibier de reproduction… des lièvres, perdreaux , faisants et lapins avec aménagement du territoire avant lâcher, et des quotas de prélèvement , expérience à faire sur 3 ans et voir le résultat ?

    1. Bonjour.
      Moi je suis dans un secteur ou il n’y a pas de culture intensive par contre il y a beaucoup de rapaces j’en est compté 25 la semaine dernière dans une parcelle d’environ 10 hectares, elles ne manges pas que des mulots, il faut déjà commencer par les éliminer autrement ce n’est pas possible de revenir en arrière.

    2. Chez nous dans les pays de la loire on n’a du faisant naturellement et du lièvre autant que l’on veut un peut moins de perdrix

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