Le cannibalisme comme solution proposée pour interdire la chasse et l’élevage

L’idéologie animaliste et anti-spéciste réserve parfois des surprises tant elle peut se montrer radicale. Le seul objectif affiché est de poser une cloche sur la nature et les animaux sans jamais intervenir dans leur vie, comme si l’être humain ne faisait pas partie de ce monde. Pour y parvenir, certains militants sont capables d’aller loin dans les positions radicales, jusqu’à penser que le cannibalisme pourrait être une solution.

Un commentaire relevé par un professionnel Canadien.

Le contenu concernant la chasse et les chasseurs ne manque pas sur le web, et il y a de quoi faire entre les contenus Français et ceux qui sont produits partout sur le globe.

Un professionnel de la chasse au Canada qui produit des émissions pour la télévision a récemment pu échanger avec Josey Arsenault dans son émission « Libres et Sans Tabous » pour justement parler de la chasse dans son ensemble.

Au cours de l’émission, Martin Bourget, Président de Aventure Chasse Pêche, revient sur des commentaires qu’il a pu recevoir de la part des anti-chasse et certains son édifiants.

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Un des anti-chasse a même été jusqu’à expliquer que, vu qu’un être humain décède chaque seconde sur la planète, les Hommes devraient se montrer moins fermés au sujet du cannibalisme et utiliser ces corps pour subsister.

La politique de l’égalité avec son poisson rouge.

Ce genre de commentaires fera assurément rire aux éclats beaucoup de monde et va choquer les autres mais on se trouve pourtant dans une tendance que cette idéologie cherche à diffuser peu à peu.

L’objectif de ces militants radicaux est de faire en sorte que les animaux soient considérés égaux aux êtres humains et soient considérés comme tel.

Cette facette de l’idéologie anti-spéciste et animaliste est combattue et dénoncée depuis longtemps par notre Président National des Chasseurs Willy Schraen qui a répété à plusieurs reprises dans les médias qu’il ne considérerait jamais son poisson rouge comme son frère.

Aujourd’hui, des animalistes pensent et affirment ouvertement qu’il vaudrait mieux manger nos semblables que des animaux, dans le plus grand des calmes et sans que cela n’interpelle l’opinion…

Par petites touches, comme pour l’interdiction de la chasse, les idéologues poussent toujours les choses plus loin et n’auront bientôt plus peur de proposer sérieusement les mesures les plus inimaginables.