Une nouvelle fois, le chat est au cœur d’une polémique en ce qui concerne la protection de l’environnement et notamment de la petite faune. Dans plusieurs pays d’Europe, la question est souvent remise sur le tapis par des politiciens et même par des associations de protection animale. Aujourd’hui, c’est dans un pays qui est aujourd’hui sorti de l’Union Européenne que le chat fait débat.
Confiner les chats en zone sensible.
C’est en Écosse que le chat fait aujourd’hui couler beaucoup d’encre dans les médias locaux. Une commission indépendante qui conseille le gouvernement Écossais a récemment proposé que des mesures soient prises en ce qui concerne les félins, et elles sont pour le moins contraignantes.
Il avait été proposé que les propriétaires de chats soient obligés de les confiner dans les zones déclarées sensibles. Ces secteurs sont en réalité des zones rurales et des endroits ou la nature est considérée comme vulnérable.
Les aptitudes du chat pour capturer différents petits animaux est aujourd’hui un fléau dans de nombreux pays et des propositions similaires sont donc nombreuses.
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En dehors du fait de confiner les chats, la commission avait également proposé que les propriétaires ne puissent les sortir qu’en laisse.
L’organisme qui conseille le gouvernement avait également émis l’idée d’interdire aux habitants des nouvelles constructions dans ces mêmes zones de posséder un chat.
La mesure écartée par le gouvernement.
La commission sur le bien-être animal considérait donc que les chats « peuvent avoir un impact significatif sur les populations d’animaux sauvages, à la fois par la prédation et la compétition pour les ressources avec les populations de chats sauvages. »
Pour ces raisons, les conclusions ont été soumises au gouvernement ainsi que les mesures citées précédemment et le projet a été rendu public récemment.
L’affaire a fait réagir suffisamment sur les réseaux sociaux pour que le premier ministre Écossais ne soit contraint de démentir l’adoption d’une telle législation.
Le plan a bien été proposé par la commission mais le gouvernement a clarifié sa position et a annoncé qu’il avait écarté ce projet de sa politique.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .