Samedi, comme tous les week-ends, Vincent Saubion traquait avec ses chiens en forêt de Lesperon dans les Landes. Sangliers, cerfs et chevreuils sont recherchés par l’équipe.
Soudain, Vincent lève un cerf, puis un second, un 12 cors majestueux. Au lieu de fuir, le cerf se présente alors face à l’homme, à seulement quelques mètres. Scène plus impressionnante que dangereuse en règle générale, mais ce samedi Vincent aurait pu y perdre beaucoup plus gros.
Le cerf a pris le parti de charger le traqueur de 37 ans. Le cerf lui fonce alors littéralement dessus projetant l’homme à terre puis continue sa route. Sonné, Vincent se relève pourtant rapidement et bien que touché, il continue la chasse…
C’est un collègue à lui qui le stoppe : Vincent a la moitié du visage arrachée ! L’homme qui croyait n’avoir qu’une légère blessure est en fait sérieusement touché. Un chasseur pompier présent sur place commence alors les premiers soins pendant qu’un hélicoptère est dépêché sur place.
Le chasseur est alors héliporté vers l’hôpital Pellegrin à Bordeaux par le SAMU. L’homme sera opéré dans la foulée et aura droit à pas moins de 50 points de suture au milieu du visage… Par miracle sa bouche et ses yeux surtout sont épargnés.
Conscient du début à la fin, Vincent dit ne pas avoir souffert, il glissera même une petite blague en disant que quelques semaines auparavant, un sanglier l’avait déjà violemment chargé en précisant « ce n’est pas mon année » ! Courageux le gaillard !
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .