Caractéristique :
Ce canidé dont la taille est comparable à celle d’un renard présente un corps trapu, de courtes pattes et un long pelage. Toutefois, son corps plus massif et trapu que celui du Renard évoque davantage celui du Blaireau.
Chez l’adulte, la longueur tête + corps varie de 50 à 70 cm et la hauteur au garrot avoisine 25 à 30 cm.
Le Chien viverrin est le seul canidé à posséder un masque facial sombre. Sa silhouette, son masque facial et son pelage rappellent également ceux du Raton laveur mais sa queue est de couleur unie, longue de 15 à 25 cm et touffue, contrairement au Raton laveur qui possède une longue queue annelée.
Comme ses différents noms vernaculaires le suggèrent (« chien-martre », « raton laveur d’Oussouri » ou encore « chien du Japon »), le Chien viverrin présente des ressemblances avec les mustélidés (Martre, Fouine, etc.) pour les pattes courtes et avec le Raton laveur pour le masque facial. Le poids varie en fonction du sexe, de l’âge et des saisons et oscille entre 4 et 6 kg en été et entre 6 et 10 kg en hiver.
Comportement et reproduction :
Nocturne et crépusculaire, le Chien viverrin vit généralement en solitaire ou en couple, mais on peut parfois le rencontrer en petits groupes familiaux. Son domaine vital varie de 10 à 50 ha au Japon, jusqu’à 100 à 200 ha en Europe.
Durant la journée, le Chien viverrin se repose, enroulé sur lui-même, le plus souvent dans un terrier abandonné de Renard ou de Blaireau, plus rarement dans une tanière qu’il a creusée lui-même ou encore dans des arbres creux ou des gîtes à même le sol. On signale également comme abris : des blocs de rochers, des greniers à foin ou des tas de branchages.
Il est le seul représentant de la famille des canidés chez lequel on a pu enregistrer, dans son aire d’origine et de décembre à février, une période d’hibernation partielle dont il émerge durant les jours les plus chauds. A cette occasion, son métabolisme peut baisser d’environ 25 %.
Les gîtes d’hivernage et d’élevage des jeunes sont aménagés sous des souches d’arbres morts et, fréquemment, dans des terriers de renards ou de blaireaux.
Le Chien viverrin nage bien, mais ne grimpe pas. Il affectionne les cours d’eau bordés de buissons et de roseaux, ainsi que les sous-bois denses et humides des forêts de feuillus ou des forêts mixtes alternant avec des espaces découverts. Il évite les régions dont l’altitude est supérieure à 700 m, les grandes forêts de conifères et les contrées sèches.
A la différence de la plupart des autres canidés, le Chien viverrin effectue des dépôts de fèces à proximité du gîte, comportement qui s’apparente à celui bien connu du Blaireau. Ainsi, à proximité du terrier, des lieux de défécation sont utilisés et entretenus régulièrement, phénomène que l’on peut également noter en captivité
Le Chien viverrin est monogame. Selon la région et le climat, le rut débute entre février et avril, à la fin de la période de repos hivernal, et dure en général deux à trois semaines.
Au terme d’une gestation de 61 jours [59-70], la femelle met bas de 5 à 7 petits aveugles et pourvus d’un pelage laineux. Le mâle participe à l’élevage des jeunes qui atteignent la maturité sexuelle à la fin de leur première année.
Alimentation :
Que se soit dans son aire d’origine ou dans son aire d’acclimatation, le Chien viverrin possède un régime alimentaire omnivore qui connaît d’importantes variations selon les saisons, les années et l’habitat. Généraliste, il s’adapte donc facilement aux ressources alimentaires disponibles localement.
Il se nourrit aussi bien d’aliments d’origine animale que végétale, quoique, généralement, la part carnée prédomine. Dans l’aire d’origine, les aliments les plus consommés sont les insectes et les végétaux. Dans sa zone d’acclimatation européenne, ce sont les rongeurs, notamment les campagnols, qui prédominent.
Le Chien viverrin consomme aussi des mollusques, des poissons, des amphibiens, des reptiles, des oiseaux et leurs œufs ainsi que des charognes.
8 réflexions sur « Le foie gras rayé de la carte par la maire de Strasbourg au nom du bien-être animal »
Je préfère une bonne terrine ou un excellent pâté
elle ,ont devrait l’éradiquer au non du bien être humain.
Ce n’est que la mairie.
Ces verts ils se refuse tous les plaisirs de la vie, que leur existence doit être triste, il doivent se faire crier à mourir.
C’est vrai qu’en compensation, beaucoup fument le pétard, ils voient pendant quelques instant la vie en rose.
Mais après leur fumette, ils sont dangereux sur la route. Imaginez ils voient des éléphants roses traverser les voies de circulation, de même ils entendent hurler les loups au pied de la cathédrale et les ours grimper au sapin.
Pas à Bordeaux, le maire a supprimé les fêtes de Noël, il ne sait pas que Noël n’est pas une fête mais le jour de la naissance de Jésus. Bon pour EELV c’est une tradition d’un autre temps qu’il faut supprimer.
C’est pratiquement de l’abus de pouvoir , tout au moins cette décision sans consultation n’est pas très démocratique .
Enlever le foie gras du menu alors que c’est une de nos fierté c’est ne pas respecter les agriculteurs et les éleveurs
Les producteurs locaux (grande région du foie gras) devraient porter plainte pour diffamation.
La nous avons un maire qui impose son choix pas celui des français. Une honte à cette région d’avoir Eli un écologistes a leur mairie, maintenant on voit leur niveau d’intelligence.
Maintenant c’est pas a mais 3 maires pour le foie gras et un maire contre le sapin de Noël. Les gens son assez bêtes pour voter pour eux. Normal c’est des vieux qui accepte rien ou des ecolo des villes qui viennent dans nos campagnes. Voilà comment tuer des producteurs. Les écologiste sont pour la pertes de nos artisans commerçant.
Les maires écolos se croient tout permis. Et le libre choix il est où. Les pertes d argent pour les producteurs ils sent foutues tout ce qui les intéresse c est virer la viandes de tous les plats pour nous obliger à bouffer du foin.