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A bientot
 

Ragondin

Importé d’Amérique du Sud à la fin du XIXème siècle pour sa fourrure, le Ragondin, a su coloniser en quelques décennies l’ensemble de l’Europe à la suite de nombreux lâchers dans la nature.

Présent sur l’ensemble des zones humides, le ragondin cause de nombreux problèmes aux gestionnaires des cours d’eau sans compter les risques sanitaires que sa présence peut occasionner pour les activités humaines.

Pourtant, s’il n’est pas possible d’éliminer cette espèce du territoire, les moyens de contrôle existent et il semble même envisageable de tirer partie de la présence de cette population invasive.

Caractéristique :

Le Ragondin est le plus grand représentant de l’ordre des rongeurs. Ce mammifère aquatique de couleur brune pèse en moyenne 6 kg et mesure une soixantaine de centimètres auquel s’ajoute la queue, cylindrique et écailleuse, d’une longueur de 25 à 45 cm.

Il est reconnaissable à ces quatre grandes incisives de couleur orange à rougeâtre et à son menton et ses vibrisses de couleur blanchâtre.

Particulièrement bien adapté à la vie aquatique, le Ragondin nage en alternant des mouvements rapides des pattes antérieures avec des mouvements plus lents mais plus puissants de ses pattes postérieures. Ses lèvres obturales sont situées en arrière de ses incisives et ses yeux et ses oreilles sont visibles au dessus de sa tête lorsque celui-ci nage.

Il atteint une longévité maximale de quatre ans dans les milieux naturels. En captivité, il peut vivre jusqu’à six ans.

Le Ragondin est équipé d’une fourrure épaisse composée de poils de jarre longs et raides et de poils de bourre courts et denses. Ce type de pelage reste sec et permet une bonne isolation de son corps. Des mues successives permettent au Ragondin de s’adapter aux conditions climatiques.

Cependant, originaire d’Amérique du Sud, il supporte mal le froid des hivers rigoureux. Aussi, la mortalité des populations de Ragondin est relativement élevée au Nord. Ce sont surtout les petits qui sont touchés par les basses températures.

Comportement et reproduction :

Le Ragondin est un mammifère aquatique qui affectionne particulièrement les marais, les lagunes, les bords de ruisseau dont le courant est faible. Il colonise également les fossés et les canaux des milieux dans lesquels il a été introduit. Il préfère généralement les eaux stagnantes envahies par la végétation dont il se nourrit.

Il se réfugie dans un terrier à plusieurs entrées dans les berges des milieux qu’il colonise et au moins l’une de ces entrées est sub-aquatique. Les galeries creusées par le Ragondin peuvent atteindre une longueur de 7 m et fragilisent souvent les abords des cours d’eau et des étangs.

Dans certains marais, il est possible de trouver une vingtaine de Ragondins par hectare. Le Ragondin a un comportement grégaire et polygame. Aussi, les individus vivent en clans dont les domaines se recouvrent partiellement. Les domaines des mâles dominants sont proches de ceux des femelles alors que les mâles dominés vivent en périphérie. Lorsque la densité de la population augmente, les Ragondins peuvent parcourir jusqu’à 50 km pour trouver un nouveau territoire favorable.
Le Ragondin est une espèce très prolifique. La femelle peut engendrer plusieurs portées par an et ce, peu de temps après avoir mis bas. La gestation dure 130 jours et il naît à chaque portée cinq à six petits dont le poids à la naissance avoisine 150 g. Ceux-ci sont sevrés dès l’age de six à dix semaines mais nagent déjà depuis longtemps. Néanmoins, la puberté n’est atteinte que vers l’âge de trois mois. Les jeunes pèsent alors environ 2 kg.

La femelle allaite ses petits grâce à ses mamelles disposées latéralement sur son corps. Elle peut alors nager flanquée de ses petits accrochés à ses tétines. Cependant aucune preuve n’a été faite de l’allaitement pendant la nage. Les jeunes arrivent à maturité à l’âge six de mois.

Alimentation :

Le Ragondin est un herbivore opportuniste qui consomme un tiers de sa masse corporelle chaque jour. Il adapte son régime alimentaire à la saison : en hiver il consomme des rhizomes et des tubercules, à la belle saison, il apprécie les pousses de carex, de roseaux, de potamots…, et mange les fruits et les récoltes à la fin de l’été.

Il peut se déplacer loin de son habitat pour s’alimenter avec du maïs, du blé et autres poacées et céréales issues des cultures avoisinantes. La majeure partie de son régime alimentaire est constituée de plantes monocotylédones.

Le Ragondin est également très adroit lorsqu’il s’agit d’attraper sa nourriture en nageant (graines flottantes…).

Le Ragondin pratique la caecotrophie, c’est-à-dire qu’il ingère à nouveau ses excréments. Cette méthode de digestion lui permet ainsi d’assimiler plus facilement les nutriments et d’en éviter les pertes.

Rat musqué

Caractéristique :

Le rat musqué a une allure de gros campagnol au corps massif, pourvu d’une large tête avec de courtes oreilles.

Ses pattes arrière sont en partie palmées ; la queue, dénudée, est longue et aplatie latéralement.

Son pelage est doux et épais, brun foncé sur les parties supérieures, plus clair sur le ventre et les pattes.

L’animal mesure de 45 à 65 cm (dont la moitié pour la queue) et pèse jusqu’à 2 kg.

Comportement et reproduction :

Le rat musqué fréquente les milieux aquatiques, qu’ils soient en eaux stagnantes ou courantes. La présence de végétation aquatique ou terrestre est un facteur important pour son installation.

C’est un animal principalement nocturne qui se déplace très bien dans l’eau. Il peut effectuer de grands déplacements au printemps pour la reproduction ou à l’automne pour la dispersion des jeunes. Il creuse des terriers dans les berges et construit des huttes de plantes aquatiques dont les entrées sont toujours immergées.

Originaire d’Amérique du Nord, le rat musqué a été introduit comme animal à fourrure en Tchécoslovaquie au début du XXème siècle. De là, il a colonisé une grande partie de l’Europe et de l’Asie.

En France, après son apparition dans les années 1930 dans l’Est et en Normandie, il s’est rapidement développé de sorte que les deux populations se sont rejointes dès 1945. La moitié nord du pays était totalement colonisée dans les années 1960 et l’espèce s’est développée vers le sud.

Aujourd’hui, il est présent presque partout, y compris sur certaines îles, sauf dans le sud (Provence, Aquitaine). En tant qu’espèce exotique, il présente un risque de perturbation pour les écosystèmes aquatiques, notamment pour les berges qu’il fragilise.

Chaque année, de mars à septembre, le rat musqué fait deux ou trois portées de 3 à 8 jeunes qui naissent nus et aveugles. La gestation dure un mois puis les petits sont allaités pendant deux à trois semaines. Un rat musqué peut vivre 4 à 5 ans.

Alimentation :

Il se nourrit principalement de végétaux aquatiques (roseaux, joncs, nénuphars…). Il peut y ajouter des fruits, des betteraves ou du maïs en été ou encore des fragments d’écorces en hiver.

Il consomme également à l’occasion des mollusques aquatiques.

Corneille noire

Caractéristique :

Oiseau entièrement noir, y compris les pattes et le bec. Son bec est plus effilé que celui du corbeau freux et les plumes de son cou ne sont pas ébouriffées. L’extrémité de sa queue est carrée. Elle se distingue du corbeau freux par son bec plus large, qui n’est pas blanchâtre.

Les sexes sont identiques. Jeunes, ils sont semblables aux parents. Ils restent avec eux plusieurs semaines après avoir quitté le nid.

Comportement et reproduction :

La corneille noire aime la campagne découverte avec des bosquets d’arbres dispersés, pas trop denses. Elle affectionne les landes, les zones arides, les bords de chemins et de routes, les bordures rocheuses, les falaises côtières, les plages, les zones d’estuaires, les embouchures de fleuves et les lagunes.

En général, elle possède un territoire très grand, et les couples vivent dispersés et séparés, bien qu’occasionnellement, une charogne, un dépôt d’ordures ou un vol d’insectes les concentrent en groupes plus ou moins nombreux. Également la présence de prédateurs terrestres ou de rapaces peut être une occasion pour que tous les couples d’une zone se réunissent à la cime des arbres en poussant des cris perçants inlassablement.

La parade du mâle consiste en une série de « saluts ». Le mâle baisse la tête, relève les épaules, entrouvre les ailes et déploie la queue en éventail, en se balançant d’un côté à l’autre, et plus couramment, en levant et en baissant la queue.

En vol, la parade se fait en vols rapides, descentes en piqué, croassements intenses. Ces manifestations ont lieu toute l’année et personne ne peut dire si c’est de la parade ou une démonstration de la domination du mâle sur la femelle.

Le nid de la corneille noire est construit par les deux parents. C’est un nid volumineux, fait de branches, dans un arbre ou sur une falaise. Le mâle apporte les matériaux mais reste à l’extérieur, alors que la femelle arrange l’intérieur.

On peut y trouver de tout : herbes, feuilles sèches, laine de mouton, poils, crins, papiers, chiffons, plastique, racines, plumes…

La ponte a lieu d’avril à mai. La femelle dépose 3 à 5 œufs bleu clair ou verts, tâchés de gris châtain foncé (42 x 27 mm).

L’incubation dure environ 19 jours, assurée par la femelle seule. Les petits, nourris par les deux parents, volent au bout de 35 jours.

À la naissance, les poussins ont un duvet gris fumée abondant laissant quand même apparaître leur peau rose, qui deviendra foncée rapidement. Ils atteindront leur maturité sexuelle à 2 ans.

Les couples sont unis pour la vie.

Alimentation :

Les corneilles noires ont un régime très varié incluant charognes, invertébrés, graines et fruits. Elle peut piller les nids d’autres oiseaux.

Corbeau freux

Caractéristique :

Le corps est allongé et assez massif, la tête est anguleuse, les ailes longues à bord postérieur droit, assez étroites et légèrement pointues, la queue assez longue et arrondie.

Le plumage des adultes est entièrement noir brillant avec des reflets bleu violacé, les plumes des flans formant des « culottes » tombant sur les pattes.

Le bec est long, épais et pointu noir avec la base blanchâtre.

Poids de 400 à 530 g.

Comportement et reproduction :

Le corbeau freux utilise les grands arbres feuillus des bois, des bosquets, des alignements et des parcs urbains. Les prairies humides, les pâturages les cultures ou les pelouses urbaines sont visitées pour l’alimentation.

Le corbeau freux est très grégaire, tout au long de l’année. Il occupe d’importants dortoirs sur les grands arbres en compagnie de choucas et parfois de corneilles. Aussitôt la reproduction, les corbeaux freux se dispersent sur un territoire assez vaste, mais les jeunes forment des groupes à part. Jusqu’en septembre, la dispersion des immatures s’effectue sans direction précise, rarement à plus 70 km de leur colonie.

Les adultes sont eux sédentaires, mais en France, le corbeau freux se reproduit dans les deux tiers Nord du pays, en plaine seulement. Toutefois, il reste rare en Bretagne. Les populations hivernantes atteignent le bassin de la Garonne, et se rencontrent surtout dans le Nord-Est le centre de la France. L’espèce est en expansion géographique vers le Sud. Localement les effectifs peuvent tantôt décliner assez fortement, tantôt se maintenir stables ou en augmentation.

Le corbeau freux niche dans les arbres en colonies denses appelées « corbeautières ». La femelle effectue une ponte par an, de fin mars à mi avril, comportant de3 à 5 œufs. L’incubation est de 16 à 18 jours.

Alimentation :

Le régime alimentaire est composé de graines, de tubercules, de racines, d’insectes et leurs larves, des vers de terre, des petits mollusques, des œufs et des oisillons volés au nid.

Il marque une certaine préférence pour les zones herbeuses, en période de reproduction, pour capturer des proies carnées. Plus tard dans la saison, il ne dédaigne pas les végétaux, notamment les cultures (céréales en particulier) en maturité ou après la récolte.

Pie bavarde

Caractéristique :

De grande taille et dotée d’une longue queue, le mâle étant légèrement plus grand que la femelle, la pie bavarde arbore un plumage noir sur le dessus du corps, au niveau de la tête, de la poitrine et de la partie sous-caudale, et blanc au niveau du ventre, des flancs, des mains et à la base des ailes.

Le plumage noir montre des reflets métallisés, bleuâtres sur les ailes, violacés sur le corps et la tête, et verdâtre sur la queue.

La pie jacasse.

Elle mesure de 40 à 51cm de long et pèse de 200 à 250g

Comportement et reproduction :

La pie bavarde, Pica pica, est commune dans toute l’Europe mais aussi en Asie, au nord-ouest de l’Afrique et dans le nord de l’Amérique. L’espèce est plutôt sédentaire et vagabonde, en petit groupe, en hiver. Elle affectionne particulièrement les lieux où sont présents des bosquets, des petits bois ainsi que les parcs et jardins des zones urbaines. On la retrouve donc dans tous les types de milieux à l’exception des forêts denses.

Comme d’autres corvidés, la pie bavarde, de nature grégaire (en particulier l’hiver), est une espèce bruyante et peu farouche qui aime à vivre dans le voisinage de l’homme, où elle trouve protection contre les rapaces et nourriture Si elle sait se faire méfiante et discrète en cas de danger, c’est également un oiseau extrêmement curieux et attiré par les objets brillants, comportement sans doute à l’origine de sa réputation de voleuse, illustrée dans la bande dessinée Les Bijoux de la Castafiore.

Son vol est incertain mais en ligne droite, sa marche est un peu saccadée, avec souvent la queue levée et quelques sautillements.

Vers le début d’avril, le couple construit un nid en hauteur dans des arbres ou des buissons. Ce nid, constitué de branches sèches, renforcés de crins et de brindilles, est complété par une sorte de toit destiné à le protéger.

Parfois, le nid est également décoré d’objets brillants par lesquels la pie bavarde est attirée. Sa forme très ronde peut être confondue avec une boule de gui.

La femelle pond de trois à dix œufs qu’elle couve seule durant un peu moins de trois semaines.

Après l’éclosion, les petits restent au nid durant quatre semaines environ. Ce sont les deux parents qui les nourrissent.

Alimentation :

La pie bavarde est omnivore : son régime alimentaire est constitué de petits rongeurs (dont le campagnol), de lézards, d’insectes et d’autres invertébrés, de fruits et de graines divers, d’œufs, de détritus humains et de charognes.

Geai des chênes

Caractéristique :

L’association de tons clairs et foncés de son plumage bigarré attirent l’œil de très loin : un dos brun rosé, un croupion blanc visible en vol, une queue noire et surtout des couvertures alaires bleues striées de noir et de blanc.

Ces fameuses petites plumes se retrouvent sur les chapeaux des amoureux de la nature La couronne de sa tête est légèrement striée et peut se dresser comme une huppe.

Il n’existe pas de dimorphisme sexuel, même si les femelles sont généralement un peu plus petites que les mâles. Le geai pèse de 140 à 190 g

Comportement et reproduction :

Le Geai passe, à juste titre, pour être – avec le Merle noir – un signal d’alarme efficace indiquant à tout animal craintif le passage d’un intrus : renard, rapace, homme, etc. C’est un oiseau farouche et difficile à approcher.

Il donne l’alarme de son cri rauque à la vue d’un prédateur et prévient ainsi les autres oiseaux. De manière générale, il est très bruyant.

Le Geai est un oiseau assez commun dans toutes les régions, où il fréquente les parcs, vergers et bosquets. Il est assez abondant dans les régions les plus boisées, En automne, son comportement devient erratique.

Certaines années, il y a invasion de Geais et l’on peut en voir de petites bandes traversant nos campagnes.

Le nid, peu volumineux et plat, est construit avec des racines et radicelles sur une assise de branchettes, sur une enfourchure, contre un tronc, le plus souvent entre 2 et 5 mètres de hauteur.

Le sous-bois est préféré, mais le bocage et les parcs (jusqu’au cœur des villes) sont occupés.

Une seule ponte fin avril de 3 à 7 œufs verdâtres très finement tachés de gris-olive ; incubation de 16 jours par la femelle seule.

Les jeunes quittent le nid à une vingtaine de jours et sont autonomes après trente à trente-cinq jours.

Alimentation :

Son régime le lie étroitement aux bois et aux forêts. La présence du chêne est d’une grande importance : les glands peuvent représenter 50 % de sa nourriture. Tous les autres fruits ou graines, ainsi que des insectes, complètent le régime Néanmoins, c’est également un prédateur qui chasse lézards, campagnols, et s’attaque volontiers aux couvées, et aux oisillons des petits passereaux.

Il constitue des réserves et des stocks de provisions. En automne, on le voit ainsi transporter des glands et des faines dont il est friand et les enfouir sous la mousse et les feuilles mortes. Mais, bien souvent, il oublie l’endroit de leur cachette ou il est incapable de les retrouver sous la neige.

Il contribue ainsi à la dissémination des chênes car beaucoup de glands ne sont pas mangés et germent.

Chambre, verrou et masse

La chambre :

La chambre est le lieu où l’on introduit la cartouche. La plupart de nos fusils sont chambrés à 70mm. D’anciens fusils étaient chambré 65mm voir 67mm. Il faut donc faire attention et ne pas insérer de cartouches plus grandes que la chambre. dans le cas contraire cela ne pose pas de problème.

Le verrou :

Le rôle des verrous est de maintenir le fusil fermé lors du tir. Ils sont commandés en général par une clé placée sur la queue de bascule. Généralement les fusils sont munis de 2 verrous. Mais des marques de luxe comme Merkel fabriquent des fusils avec 3 verrous.

La masse :

La masse et l’équilibre d’un fusil sont très liés. Ce sont des données importantes, tout comme la crosse elles peuvent gêner le tir. Si les masses sont mal réparties l’équilibre en sera troublé et vos tirs par la même occasion. Un centre de gravité trop en arrière fait tirer trop haut et un centre de gravité trop en avant fait tirer vers le bas.

La masse de l’arme doit être étudiée en fonction du chasseur, de sa taille et de sa corpulence. Des fusils peuvent allez de 2.5 à 4 kg. Un chasseur qui chasse en sous – bois ou qui marche beaucoup devra de préférence avoir une arme légère. Un chasseur de gros privilégiera une arme de poids conséquent. Il faut savoir que plus le fusil est léger et plus le recul est vif.

L’équilibre s’établit entre la partie crosse et la partie canon. Un fusil bien équilibré devra tenir à l’horizontale lorsqu’on le tient au niveau de la bascule.

Chokes

Tout d’abord saviez vous que le terme Français de choke est rétreint! Ce sont les Anglais Greener et Pape qui on eu l’idée de créer les chokes. Ils servent à augmenter la concentration des plombs et par la même occasion la distance

Le choke est un rétrécissement de l’âme du canon sur les derniers centimètres. En effet en rencontrant un étranglement les plombs sortent par couche régulière. On trouve plusieurs types de chokes :

– Tout d’abord le canon lisse qui n’est pas choké c’est à dire que les plombs sont dispersés à la sortie du canon.

– 1/4

– 1/2

– 3/4 . Plus l’on augmente les chokes et plus les plombs sont resserrés.

– Full choke. C’est le choke où les plombs sont les plus resserrés.

La charge de plombs qui sort du canon lisse a une forme cylindrique alors que celle qui sort du canon choké a la forme d’un cône, donc qui pénètre mieux dans l’air et se disperse moins.

Avec l’arrivé de la bille d’acier les chokes on évolués. Certains n’acceptent pas de tirer d’acier au delà de demi-choke, d’autre étudié spécifiquement pour peuvent tirer de l’acier en plein choke.

Pigeon Colombin

Caractéristique:

Son plumage en majoritairement bleuté et gris violet avec des reflets métalliques éclatants dans le cou. Son œil est noir et ses pattes sont rouge vif. Contrairement au pigeon ramier, il n’a pas de blanc sur les côtés du cou et sur les ailes et il ne présente pas non plus le croupion blanc typique du pigeon biset. Il mesure 32 à 34 cm pour une envergure de 63 à 69 cm. Son poids moyen varie de 250 à 340 g.

Comportement et reproduction:

Le pigeon colombin préfère les bois de feuillus ou d’essences mixtes et les cultures mais on le rencontre également dans les parcs. Il fréquente aussi les falaises, les montagnes, les carrières.

Sa reproduction débute tôt dans le printemps. Le nid de brindilles et de paille se trouve généralement dans le trou d’un vieil arbre. La femelle y dépose 2 oeufs blancs. L’incubation dure 16 à 18 jours. Moyenne d’âge 13 ans.
Pigeon colombin

Alimentation

le pigeon colombin se nourrit de graines, de feuilles, de tiges et de bourgeons. Il picore sur le sol en se déplacent lentement ou à l’arrêt. Il s’alimente à proximité de points d’eau car il s’abreuve souvent. Les jeunes sont nourrit par du « lait de pigeon » (substance secrétée par le jabot des adultes.

Canard Chipeau

Il migre et niche rarement; il est très localisé en France comme en Belgique (région d’ Anvers) surtout dans les grandes zones d’ étang ( Lorraine, Dombes, Forez, Camargue, Sologne). C’ est une espèce d’ Europe de l’ est mais lors de la migration, on la rencontre sur le littoral atlantique et surtout dans le bassin méditerranéen. Il est aussi présent en Grande Bretagne. Il hiverne en Europe de l’ ouest et migre en Russie pour la nidification .

Caractéristique:

Il mesure de 46 à 56 cm pour un poids allant de 650 à 900.
Le canard chipeau est un canard de surface aux couleurs ternes : Le mâle est gris avec un croupion noir et le ventre blanc. Il a un miroir alaire blanc bordé de noir et de roux que l’on peut observer aussi bien en vol qu’au repos. Le bec est gris. La femelle est difficile à distinguer de celle du colvert. Outre sa taille plus petite, la couleur orange des côtés du bec et le ventre blanc permettent de différencier les deux espèces. Sinon, elles présentent la même livrée marron finement tachetée de noir, légèrement plus grise toutefois en ce qui concerne la femelle du canard chipeau.
Le Canard chipeau cancane, canquete, nasille. coin coin traînés et moins nasillards que ceux du colvert. rèkrèkrèkrèk rapides, surtout la nuit. Battements d’ailes plus rapides que ceux du canard colvert.

Comportement et reproduction:

Il affectionne particulièrement les étendues d’eau profondes : étangs, lacs et marais à la végétation abondante mais aussi rivières et fleuves à débit lent, prairies inondées. Par contre, il fréquente rarement les eaux salées. Le canard chipeau est monogamme.

Pendant les parades nuptiales, les chipeaux adoptent les même attitudes que le colvert. Le mâle lève et abaisse la tête en faisant entendre un sifflement et lève parfois le bec ou la queue.
Le nid est construit à terre, dans la végétation riveraine épaisse. Il est en général dissimulé sous un dense amas végétal, a proximité de l’eau. Une seule couvée annuelle est programmée mais en cas de perte ou de destruction de la nichée , les femelles sont capables d’effectuer une seconde ponte de substitution. Vers avril-mai, le nid tapissé de feuilles et du duvet de la cane accueille entre 8 et 11 oeufs dont l’incubation dure de 24 à 26 jours. L’envol des canetons s’effectue à partir de 45 jours. L’année suivante, ils atteignent leur maturité sexuelle et sont capables de procéder à leur première nidification.

Alimentation

Le régime du canard chipeau est majoritairement végétarien. Herbes, végétaux aquatiques, graines constituent son menu durant la plus grande partie de l’année. A noter que toutes les parties des plantes sont consommées : feuilles, tiges, racines. Pendant la période nuptiale et reproductive, on assiste à une modification importante dans ses habitudes alimentaires : invertébrés et petits vertébrés peuvent désormais constituer jusqu’à 70% de son régime au moment de la ponte.

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