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A bientot
 

Chasse au furet

On débusque le lapin de son terrier grâce à un furet. Le furet est un petit mustélidé, comparable au putois, élevé et dressé par le chasseur. Il est introduit dans les terriers de lapins puis les chasseurs tirent les animaux qui sortent comme des « boulets de canons ».

La chasse au furet permet aussi de faire des captures de lapins vivants en vue de les réimplanter sur un autre territoire spécifiquement aménagé.

L’on place alors des « bourses », sorte de sac en maille de filet, à la sortie des terriers. Les lapins ainsi capturé sont vaccinés puis relâcher ailleurs.

Il arrive parfois que le furet saigne un lapin au fond du terrier, c’est à dire qu’il l’attrape à la gorge et le tue. Le furet reste alors « collé » et il faut bien souvent attendre de très longues heures pour le voir réapparaitre !

Battue

La chasse en battue du grand gibier est un mode de chasse très ancien et le plus répandu en France. Il tire ces origines du temps des Gaulois.

Il consiste à définir une parcelle de chasse (enceinte) et à répartir dans les limites de celle-ci des chasseurs postés. Une équipe, armés ou non, débusque le gibier avec des chiens à l’intérieur de la parcelle. Le gibier est tiré par les chasseurs postés à l’extérieur et autour de la parcelle lorsqu’il franchi la ligne. Les chiens peuvent être des chiens courants (Bruno du Jura, Grand Griffon vendéen, Beagle etc.) ou des chiens de  » petit pied  » (Fox, Teckel, etc.). Les seconds ont progressivement supplanté les premiers, en particulier dans l’Est et le Nord de la France.

Ces petits chiens décantonnent moins les animaux et sont souvent plus ardant sur le sanglier, mais le chasseur perd le plaisir de la « musique », celle que procure quelques grands chiens bien gorgés.

Les espèces chassées sont principalement le sanglier, le chevreuil, le cerf, et, parfois en zone forestière, le chamois, l’isard et le mouflon.

La chasse en battue procure de vive émotion et qui na jamais eu le cœur qui s’emballe lorsqu’il entend craquer les branches à quelques dizaines de mettre lui et voit soudain débouler un magnifique cerf ou un vieux solitaire de plus de 100 kg poussé par les chiens.

La battue fait peu cependant donné lieu à polémique pour plusieurs raisons. Elle est parfois imposée comme mode de chasse unique du grand gibier, notamment dans les chasses communales ou ACCA du sud de la France. Les chasseurs non alors plus le droit de tirer en petit comité, à l’affut et à l’approche ou même à la billebaude de gros animaux.

D’autre part du fait des armes et des projectiles employé la battue revêt un aspect dangereux. D’ordre général les tires dans l’enceinte sont à proscrire, sauf terrain accidenté, et des consignes de tir strictes doivent être données avant chaque traque pour prévenir tout risque d’accident. Les tires doivent être toujours fichant et réaliser avec un angle de tir supérieur à 30° par rapport à son voisin direct.

Heureusement les chasseurs on de nos jours pris conscience des dangers potentielle que ce mode de chasse représente. Le port de gilet fluo, le balisage du terrain, l’utilisation de miradors, l’emploi d’armes rayées permettent de chasser dans de bonne condition.

Poussée silencieuse

C’est une variante de la battue qui se développe dans un souci de meilleure gestion des populations de grands gibiers.

Lors d’une poussée silencieuse, les traqueurs avancent sans bruit excessif, et sans chien. Les animaux sont dérangés mais ne sont pas pourchassés. Ils se présentent devant les fusils postés autour de l’enceinte sans être en fuite, ce qui permet de bien les identifier pour mieux choisir les animaux « récoltés ».

Bien souvent les chasseurs sont postés sur des miradors pour être d’avantage invisible du gibier et surtout ne pas être senti.

Ce mode de chasse se rencontre surtout dans le nord Est de la France et surtout en Alsace, il s’appelle alors Drücken.

Chasse à l’affût

Ce mode de chasse pratiqué un peu partout ou la chasse du grand gibier est développé consiste à se placer en haut d’un mirador, souvent élevé de 3-4m, et d’attendre le gibier.

En effet ce mode de chasse se pratique soit au crépuscule, ou les animaux sortent des bois pour aller au gagnage (manger) ou tout simplement se déplacer comme c’est le cas pour le sanglier qui bouge énormément la nuit, soit à l’aurore ou les animaux finissent leur viré nocturne et rentre se remiser dans les bois.

Les animaux chasser seront comme pour la battue, le chevreuil, le sanglier, le cerf et parfois même le renard.

La chasse à l’affut, appelé dans ce cas tir d’été, peu se pratiquer à partir du 1er juin dans certains département. Les tirs d’été (soumis à autorisation) concerne soit le chevreuil, ou il permettra de tirer une tête bizzarde ou de prélevé un beau trophée, soit le sanglier.

Dans le cadre du tir du sanglier l’on parlera alors de tir de destruction car il s’agira de tirer les animaux faisant des dégâts aux cultures. L’objectif est de tirer une bête compagnie lorsqu’elle s’approche d’une culture sur pied. Le fait d’abattre une bête rousse à pour effet de dissuader l’ensemble de la compagnie de s’approcher de se genre de culture par la suite.

Mode chasse sélective et ne faisant aucune blessé (tir qu’à coup sur) il est très agréable à pratiquer. En effet ce n’est pas la quantité de gibier prélevé qui importe, car il faut souvent de nombreux affut pour tué un seul animal, mais le fait d’être immergé au milieu de la nature aux heures les plus propices et de pouvoir jouir des spectacles de la faune et de la flore.

Approche ou Pirsch

La chasse à l’approche se rapproche sensiblement de la chasse à l’affût.

C’est sûrement l’une des chasses qui demande le plus de connaissances et de patience qu’il soit. Il faut avoir repéré préalablement l’endroit de son territoire où se tient un ou des animaux, puis tenter de l’approcher.

L’approche commence souvent à la nuit. Le chasseur va progresser à travers bois avec d’infinies précautions pour ne pas être vu, ni entendu et encore moins senti. Des indices de passages tels que des empreintes ou des laissés sont de bonnes indications pour le chasseur.

Une fois l’animal identifié, il faudra encore l’approcher à une distance convenable de tir, soit entre 30m et 200m ! En effet, si les gibiers tels que le chevreuil, le cerf et le sanglier pourront au final être approchés d’assez près, il n’en est pas de même pour le gibier de montagne.

Lorsque l’on chasse le chamois ou le mouflon, il faut aussi ajouter l’aspect physique de la chose. Les approches peuvent souvent durer la journée, et amener le chasseur à passer de mont en mont… En effet, il y a moins d’endroit pour se cacher dans ce genre de biotope, et les animaux montagneux ont de très bonnes facultés à détecter le chasseur même à plusieurs centaines de mètres !

Appelé pirsch en Alsace, ce mode de chasse est souvent couronné d’insuccès et de nombreuses sorties sont nécessaires pour prélever l’animal convoité.  C’est d’ailleurs ce qui fait toute la magie de ce mode de chasse.

Chasse au vol

La chasse au vol est l’un des trois modes de chasse légaux en France (avec la chasse à tir et la chasse à courre). C’est l’art de prendre un gibier sauvage dans son milieu naturel avec un oiseau de proie « affaité » (dressé), avec ou sans l’aide d’un chien.

Les rapaces sont sociabilisé très jeunes à l’âge de 2 à 4 mois puis dressé.

La chasse au vol concerne principalement la chasse du lapin et du lièvre mai peu aussi s’appliquer sur du petit gibier à plume t’elle que la perdrix ou le faisan et même sur du grand gibier tel que le chevreuil ou l’on emploie alors l’aigle royale.

Il existe 2 types de chasses vols :

– Le haut vol avec un faucon. Le rapace monte « amont », c’est-à-dire vol au dessus du fauconnier durant toute la partie de chasse à une hauteur de 200-300m et attaque en piqué le gibier à plume que lui sert le fauconnier, soit arrêté par le chien soit levé devant lui.

– Le bas vol avec un autour, un épervier, une buse de harris, un aigle. L’oiseau attaque depuis le poing du chasseur le gibier à poil ou à plume partant devant l’autoursier.
Pratiqué par une poignée de passionné cette chasse est pourtant vraiment magnifique et requiert beaucoup de connaissance et de temps.

Chasse à l’arc

Ce mode de chasse très ancien remontant à l’aire paléolithique a beaucoup évolué avec la modernisation. Longtemps interdite car assimilée bien à tort à du braconnage, la chasse à l’arc a (re)gagné depuis 1995 – année de sa reconnaissance – ses lettres de noblesse.

S’il s’inscrit pleinement dans les règles modernes de gestion de la faune sauvage, ce mode de chasse se distingue essentiellement par sa dimension culturelle : elle permet une découverte de la nature comme de soi-même au travers de l’émotion. C’est une expérience éducative où le chasseur réactualise nos facultés animales, peu utilisées d’ordinaire (la ruse, la vue, l’ouïe, la ténacité, l’attention, la combativité…) et exalte aussi nos aptitudes humaines à réfléchir sur l’écologie.

La chasse à l’arc synthétise aujourd’hui le paradoxe très moderne de chasser avec des outils primitifs, fabriqués par des technologies les plus avancées.

Cette chasse à tir est silencieuse particulièrement difficile donc, demande une connaissance parfaite du milieu et des animaux. C’est en effet à quelques mètres seulement qu’il faut approcher le gibier avant de décocher une flèche. On chasse à l’affût ou à l’approche.

Tous les types de gibiers peuvent être chassés à l’arc (lapin, lièvre, ragondin, rat musqué, oiseaux, grand gibier…). Le matériel, notamment les pointes de flèches, doit être spécialement adapté. A ne pas confondre avec l’arbalète qui est interdite à la chasse.

La chasse à l’arc séduit deux types de publics : ceux qui ont beaucoup chassé et qui cherchent des difficultés et des sensations nouvelles, et ceux qui ne sont pas attirés par la chasse au fusil.

Pour chasser à l’arc Etre détenteur de son attestation de participation à une session de formation pour la pratique de la chasse à l’arc.

Pour finir 2 types d’arc sont principalement rencontré. L’arc à poulie dit Compoud et l’arc sans poulie et plus traditionnel dit recurve.

Chasse à la billebaude

C’est le mode de chasse le plus pratiqué dans l’hexagone. Le chasseur parcours son territoire (bois, plaines, friches etc) avec ou sans chien sans chasser de gibier en particulier. Tous les petits gibiers à poils et à plumes sont ainsi convoités.

La chasse avec chien d’arrêt concerne essentiellement le gibier à plumes (perdrix, bécasses, faisans, etc.) mais aussi gibier à poil comme le lièvre. Le chien d’arrêt prend l’émanation du gibier, l’approche, le marque et l’arrête jusqu’à l’arrivée du chasseur. Le ou les chasseurs peuvent ainsi approcher calmement et servir l’animal arrêté.

La chasse avec chiens  » leveurs de gibier  » se pratique avec des chiens très vifs et très ardents comme le Springer ou le Cocker. Ils trouvent le gibier mais ne l’arrêtent pas et le font partir sans le poursuivre. Ils peuvent travailler dans tous les types de milieux mais excellent dans les broussailles, fourrés, ronciers, etc.

Il est aussi tout à fait possible de pratiquer la chasse devant soi avec des chiens courant, créancé ou non, mais il ne faut pas confonde ce mode de chasse avec la petite vénerie. Ce mode de chasse procure de très belle sensation de part la diversité des espèces rencontrées ainsi que des lieux parcourus. Il peut se pratiquer seul ou en groupe ou il sera souvent signe de convivialité. Ce mode de chasse se pratique de l’ouverture général à la fermeture en fonction général (dates variable celons chaque espèce chassez).

Battue aux petits gibier

Ce mode de chasse se pratique souvent sur des territoires de plaines assez vaste bien que cela ne soit pas une règle absolue.

Les principaux gibiers chassés sont le faisan, la perdrix ou encore la caille. Parfois le lièvre ou le lapin

Des rabatteurs, armée ou non, avance en ligne vers une ligne de tireur. La zone ainsi rabattu est souvent de plusieurs dizaines d’hectares. Au fil de la progression des postés tirent les oiseaux qui tentent de franchir la ligne mais on interdiction de se déplacer pour des raisons évidente de sécurité.

La fin de la battue donne généralement lieu à un moment instance puisque bien souvent de nombreuses compagnies de perdreaux on préféré piété que de franchir au vol la ligne et elles décolleront toutes à la fin lorsque ligne de rabatteurs et de tireurs deviennent très proche.

Les chasses d’antan faisaient souvent participer tout le village à ces battues à la plus grande joie des enfants. Les tableaux été souvent indécent mais les populations le permettais.

Notons aussi la particularité du « chaudron » qui consiste à encerclé une parcelle en rond et de rabattre tous ensemble vers le centre.

La poudre

Les poudres de chasse vendues en France sont fabriquées par la S.N.P.E. (Société Nationale des Poudres et Explosifs). La poudre noire n’est plus employée que dans les anciens fusils et pour le chargement des répliques d’armes anciennes.

Les poudres actuellement fabriquées par la S. N. P. E. pour les armes lisses sont :

– la poudre T, qui est de beaucoup la plus connue; elle a été mise en vente en 1900 et va bientôt être abandonnée; – les poudres venues bien plus tard, après la Seconde Guerre mondiale, et qui comportent en particulier des poudres progressives permettant de propulser des charges lourdes, comme les poudres Ba2, Ba3 et Ba6;

– les poudres sphériques S2 et S3;

– enfin, la série des poudres A pour chargements classiques : AO pour balles, Al, A2 et A3.

Ces poudres ne sont en principe vendues qu’aux encartoucheurs.

Autrefois, le chargement des cartouches par les chasseurs était beaucoup pratiqué en France. Aujourd’hui, cette pratique a pour ainsi dire disparu. La cause en est certainement que le prix des cartouches industrielles, fabriquées sur des machines automatiques à grande production, est devenu inférieur au prix des cartouches faites soi-même. Il n’est pour s’en convaincre que de comparer les prix des composants de rechargement, dans un catalogue, avec les prix de certaines cartouches bon marché.

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