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Les agriculteurs Creusois préviennent : si les chasseurs ne peuvent pas gérer les blaireaux, les écologistes devront payer

Dans un communiqué publié sur le site de la Coordination rurale, les agriculteurs de la Creuse annoncent leur ras le bol au sujet de la suspension des arrêtés préfectoraux concernant le déterrage du blaireau.


Le tribunal administratif de Limoges a donné raison à l’ASPAS, One Voice et Aves France en cassant une nouvelle fois les arrêtés sur la chasse complémentaire du blaireau dans la Creuse mais aussi dans l’Indre et en Haute-Vienne le 4 août dernier.

Cette décision s’est basée sur le fait que les données remontées par les chasseurs et les agriculteurs au sujet des populations de blaireaux ainsi que des dégâts occasionnés par cette espèce n’ont pas été jugées fiables.


Le choix du tribunal de balayer d’un revers de la main les données fournies par le monde rural en cédant à l’idéologie animaliste génère de vives tensions et du côté des éleveurs, la coupe est pleine.

Dans leur publication, ils expliquent que le blaireau n’est pas seulement à l’origine d’un certain niveau de dégâts mais est aussi un vecteur important de la tuberculose bovine. Cette maladie force les éleveurs à abattre tout leur cheptel lorsqu’un seul cas est remonté comme positif et cette situation n’est plus acceptable pour les éleveurs qui rappellent l’administration à l’ordre comme les associations écologistes :

« Selon les associations animalistes, les données relatives aux dégâts ne seraient pas fiables. Une méconnaissance des effectifs et le risque d’une atteinte aux blaireautins ne permettraient pas de maintenir les arrêtés autorisant les chasseurs à pratiquer la vénerie sous terre. Rien que ça !

Ces mêmes associations, qui ne connaissent rien du monde agricole et de la ruralité remettent en cause le travail effectué par les FDC depuis des années pour sauvegarder une espèce prédatrice. Mais pas seulement. Elles négligent aussi le fait avéré que le blaireau, en plus d’être un prédateur occasionne des dégâts sur nos cultures, est aussi un vecteur de la tuberculose bovine. »


Les agriculteurs n’hésitent pas à s’adresser directement aux écologistes, en affirmant qu’ils devront payer lorsque les dégâts de blaireaux seront observés ou que des contaminations seront constatées mais que les chasseurs n’auront pas pu intervenir :

« Nous ne pouvons tolérer une énième suspension de l’arrêté de chasse et la CR23 demande aux associations animalistes et écologistes de prévoir une ligne budgétaire pour contribuer financièrement à l’indemnisation des dégâts causés par l’espèce blaireau sur notre territoire.

La CR23 ne lâchera rien et continuera à défendre les éleveurs face à ce fléau nommé « écolos » ! »

Alors que les services de l’État essaient de mettre en place des mesures permettant aux chasseurs de mener à bien leurs missions de régulation, les associations écologistes ne cessent de se retourner vers les tribunaux.


Interrogé par lepopulaire.fr, Maître Thomas Bonzy qui défendait l’arrêté a également expliqué que cette décision sera regrettable à l’avenir :

« C’est confortable de prendre ce type de décision dans le climat actuel, mais les associations ont pris rendez-vous avec l’Histoire. Quand il y aura un problème, on sera bien content de venir trouver des équipes de chasseurs capables de dire où il y a des terriers et comment procéder. »

45 réflexions sur « Les agriculteurs Creusois préviennent : si les chasseurs ne peuvent pas gérer les blaireaux, les écologistes devront payer »

  1. SIX des chasseurs qui tuent leur chien,n importe quoi,renseignez vous auprès de vétérinaires et vous verrez que les chasseurs dépensent beaucoup et font tout pour sauver leurs chiens et s il arrive qu un chien ne chasse pas ( très rare car issus de sélection) on trouve une personne pour l adopter.quant aux douilles, maintenant quasiment tous les chasseurs les ramassent et pour ceux qui ne respectent pas ce geste ils sont passibles d une amende instaurée par les sociétés de chasse.

  2. C’est facile depuis son salon du 8ème de paris de considérer les ruraux comme des abrutit arriérés eux ont la science infuse. il est évident que quand ils seront touchés au porte monnaies, il se retourneront vers l’état; c’est à dire cet abrutit de contribuable rural….

  3. Lenthiome, Nous comprenons bien que votre « production » n’a rie à voir avec celle des éleveurs qui doivent en vivre. Comme vous dites il y a diversité dans le monde agricole et c’est heureux. Cependant, il ne faut pas tout mélanger. Dire que dans une forêt « primaire » on n’a pas beaucoup de chevreuils, c’est ignorer qu’ils n’y trouvent tout simplement pas toute la nourriture souhaitable pour eux. Les cochongliers, comme vous dites, ne sont pas nés après un accord des autorités, et le poids électoral des chasseurs n’a rien à voir avec cette hybridation. Vous avez quelque fois trouvé un chien, le flanc percé, et pour vous c’est un chasseur qui en est la cause (!). Si mettre deux cochons chinois avec un élevage de poules ou de canards, suffisait à éloigner les prédateurs il y a bien longtemps que cette technique serait appliquée partout, sauf si vous avez des petits poussins au sol, … arguments égocentriques disiez vous ?

  4. Les régulations d espèces susceptibles d occasionner des dégâts ainsi que des espèces invasives ne sont pas de les éliminer complêtement mais de maintenir une population raisonnable.
    Chez moi, des vallées habitées par des familles de blaireaux sont des véritables HLM sous-terre.
    On peut compter une trentaine de bouches d entrée, autrement dire impossible à déterrer. L utilisation d engins de terrassement est strictement interdit par les équipes de déterrage, tout se fait à la pelle pioche pour débusquer les blaireaux.

  5. Lenthiom, Si les chevreuils ne sont pas nombreux dans une forêt non « gérée », c’est tout simplement qu’ils n’y trouvent pas l’alimentation nécessaire faite de repousses sur les coupes, d’herbes dans les clairières,…Les croisements cochons – sangliers ne sont plus d’actualité, et si aujourd’hui une laie peut avoir trois portées en deux ans, c’est surtout en raison de la nourriture qu’elle peut trouver, mais surtout en raison des conditions climatiques. Gérer les poulaillers de plein air avec deux cochons chinois, si s’était aussi simple! mais vous n’aurez pas d’oeufs au sol, ni de poussins et même les poules devront apprendre à se méfier. « J’ai trouvé quelque fois un chien avec un trou sur le coté » c’est un peu vague et cela ressemble à un argument vaseux! Selon ce que vous présentez comme base de votre élevage, vous êtes loin de ceux qui élèvent des animaux pour en vivre, j’en suis heureux pour vous Les arguments égocentrés vous dites?

  6. LENTHIOME prendre les chasseurs pour des alcooliques assoiffés de sang est ridicule.vous oubliez évidement toutes les actions menées en faveur de la nature,plantation de haies,ramassage de dépôts d ordure,création de réserves,aide aux pompiers,(pour y avoirs r participé aucun soit disant ilécologiste)ect.ect.le problème du sanglier il est MONDIAL même dans le désert pour les oasis ,le chasseur français les ont introduit partout! Nous avons géré le grand gibier avec les plans de chasse,ils n ont jamais été aussi nombreux quant aux dégâts sur les végétaux que vous ne voulez pas voir je peux vous les faire constater.oui les chasseurs tuent mais les oiseaux comme les hirondelles voir les insectes sont dans un état plus catastrophique que les espèces chassées..ne generalisez pas en citant l action de quelques lmbeciles.

    1. Bonjour, de quelques imbéciles, dites vous? Quand vous avez des chasseurs qui tuent leur chiens car ceux ci ne chassent pas. Qui jettent leurs cartouches vides ds la nature, pas un peu, un bon tas. J’irai faire une photo et vous la
      Montrerai. Il est vrai que ce n’est pas tous les chasseurs

  7. M Mouches, pouvez vous citer vos références concernant les études dont vous voulez faire état?
    Fab, Le blaireau ne disparaitra pas, nous sommes en période de « Régulation » . Si le blaireau n’a pas disparu en période de « Destruction », croyez bien que la régulation demandée maintenant est bien plus respectueuse que ce qui existait par le passé.
    Si dans un carré , vous perdez une partie de récolte, vous risquez de casser du matériel, de faire tomber vos machines dans une galerie, vous avez un ou des monticules de terre vous empêchant de récolter, …vous souhaiteriez que les blaireaux restent en limite de la forêt, mais ne se retrouvent pas en plein champ.

    1. Bonjour! Je reste toujours étonné des fondements et des arguments du monde de la chasse. Le premier point, la régulation toujours mise en avant par ceux qui pensent êtres de fervents protecteurs de la nature et les garants de l’équilibre de cette dernière. Les chevreuils qui empêchent les forêts de croître en mangeant les premières pousses et les sanglier ou plutôt cochonglier qui détruisent tout sur leur passage… Il y a une forêt relativement grande en France qui est un peu un laboratoire. Toute coupe et intervention humaine y est interdite et seule l’observation y est pratiquée. Donc pas de chasse, les chevreuils n’y pullulent pas et cette forêt primaire pousse. Très étrange… En 74 sous la pression des chasseurs qui représentent un certain électorat on a procédé à des croisements entre cochons domestiques et sanglier histoire d’augmenter les portées pour avoir plus de cibles rigolotes à dézinguer. Faites vos recherches. Donc, une fois de plus c’est l’homme avec ses arguments fallacieux qui cause problème. Le blaireau… oh, il est forcément dans la même case. Un parallèle avec le nuisible qu’est (non non pas l’homme) le renard. Sa nourriture? Les poules? Gérez vos poulaillers et il n’y aura pas de problème. Par contre, les rats des champ qui pullulent chez moi et me font bien des soucis sont une part de ce nuisible qu’est le renard. Alors, vous allez peut-être penser, qui est-ce ce bobo écolo de plus? Je suis agri, j’ai des ânes, des moutons, des chèvres, des cochons, des poules, mais je ne sais pas de quoi je parle. Je suis un anti chasse? Non plus. Je suis ami avec le président de l’ACCA de ma commune mais ensemble nous essayons de faire des choix et des orientations qui puissent allier bien commun et protection animale. J’ai des amis chasseur qui parfois n’ont pas abattu un seul animal l’année et j’en connais d’autres qui régulièrement avinés se réjouissent de tirer sur tout ce qui bouge. J’ai trouvé quelque fois un chien avec un gros trou dans le flan et ce n’est ni un renard, ni un blaireau, ni un quelconque animal autre qu’un animal humain qui a fait ça parce que les lapins équipés de fusil je n’ai encore vu. Je mange de la viande et ne vais pas faire mon hypocrite de base, mais je trouve que malheureusement les choses sont souvent, trop souvent encore orientées. Le principal nuisible sur terre c’est nous et il faut y réfléchir. Et des arguments et des exemples c’est très facile même si ça en arrange beaucoup de ne pas vouloir voir et écouter. Les poules par exemple. J’ai un voisin chasseur qui a verrouillé son poulailler de partout, grillage au sol et partout y compris en haut façon volière, qui rentre ses poules le soir et qui parfois à des soucis. Moi, j’ai un simple grillage de 1 m, et ne rentre jamais mes poules, et n’en ai jamais perdu. Pourquoi? J’ai deux petits cochons noir qui sont sur la même parcelle et cela éloigne tout les prédateurs. Pas de casse-tête, pas de produits phyto qui eux sont nuisibles, rien, et ça fonctionne très très bien depuis des années. Les problèmes sanitaires? Bien sûr si l’on se base sur les expertises du grand patron industriel qu’est le grand gourou de la FNSEA ce n’est pas bien, du regard de Marc de Fesneau qui je pense n’as jamais connu la vraie campagne autrement qu’à travers des images c’est idem et je ne parle pas de nos cher bienfaiteurs que sont les Monsanto et autres consorts. La ruralité est je pense encore trop organisée et géré par des gens qui en sont loin et ne savent finalement pas de quoi c’est fait au quotidien. Donc, les considérations de ce qui est nuisible et non, c’est à réellement réfléchir en passant par le prisme de la décentralisation, en partant des gens de terrain. La chasse n’est ni bonne ni mauvaise, l’agriculture est à penser dans une globalité autre que celle des intérêts des lobbys et des banques et leurs pensants, et l’équilibre nécessite de ne pas se cacher derrière des arguments egocentrés. Nous sommes tous sur la même terre et il faut savoir tous nous écouter et systématiquement écarter ceux qui sous divers prétextes cherchent juste à faire croire que eux savent et que nous les gens d’en bas ne sommes bon qu’à obtempérer puisque ignorant d’un savoir qui nous serait inaccessible. Bien à vous et je m’en vais de ce pas retourner à mes saines occupations de bouseux😉

    2. Les prédateurs du blaireau, le lynx, le loup, et pour moindre part le renard et l’aigle ont quasiment disparus de l’hexagone. A qui la faute ? Aux blaireaux ? Aux écologistes? Non, suite à 100 ans de classement comme nuisibles. Faut pas se plaindre. Les tartarins, pour une fois ne sont que peu concernés.

  8. Se sont bien des blaireaux ces ecolos va falloir les sortir de leur tanière eux aussi mais pas avec des pinces seulement avec des €uros histoires de partager la nature mais aussi les frais de dégâts que nous chasseurs nous payons et qui nous sont imposés et ça serait tellement bien si chacun s occuper de ses affaires ou d’autres choses plus importantes

  9. Encore une espèce destiné à disparaitre malheureusement, car les intérêts économiques l emporteront sur les intérêts écologique malheureusement, tout comme pour le réchauffement climatique et l eau.

  10. J’ai quand même l’impression qu’on exagère un peu le pouvoir de nuisance du blaireau, ainsi que celui des associations écologistes.
    Il y a des excès, certes, mais dès deux côtés. Les espèces dites nuisibles ne le sont pas systématiquement au point où certaines personnes, comme Willy Schraen, les dépeignent. Il y a des études scientifiques et objectives qui démontrent l’impact réel sur les cultures et l’élevage, et il faut multiplier les sources d’information pour se faire une idée un peu précise et pas trop partisane.
    Signé un rural pas chasseur, mais pas foncièrement anti chasse, et amoureux de la nature.

    1. Oui mais je pense que le piégeage et le déterrage est beaucoup moins pratiqué depuis ses 30 dernière année ça c est certain il y avait moins de contraintes tout le monde pouvaient réguler sur sa propriété maintenant on peu plus rien faire chez sois sans stage ou formation c est dommage

    2. Ce genre de dégât est très localisé mais extrêmement embêtant. Pour avoir vu du maïs détruit par des blaireaux, ce n’est pas beau à voir. Les dégâts sont faits différemment de ceux du sanglier ce qui permet de les différencier.
      Cet interdit empêche de résoudre localement un problème. Ce n’est pas comme si on était face à la disparition d’une espèce.

      Cela pose finalement la question suivante : « Ai-je encore le droit de me défendre, de défendre ma famille ou encore le fruit de mon travail? ». Mais aussi « Est-ce qu’une personne de ma société, de mon voisinage sera compréhensif face à mon problème ? Préfèrera-t-il un animal sauvage à son voisin ? ».

    3. Il n’y a que les connaisseurs de la nature (agriculteurs, chasseurs et les techniciens des fédération de chasse qui peuvent parler
      Dans ce domaine.) pas les bobo ecolos.

    4. Faux j’ai traqué durant 6 mois.. depuis une fenêtre au premier étage de ma maison pour éradiquer une colonie de blaireaux qui détériorait le pourtour de ma villa en faisant des grosses galeries partout.. Quand le blaireau à élu domicile chez vous.. c’est lui qui décide et difficile de l’en déloger 😁🎸

    5. Bonjour
      Puisque vous vivez en monde rural N’hésitez pas à aller voir des agriculteurs qui cultivent mais et céréales diverses
      Demandez leur de vous montrer les dégâts occasionnés aux cultures ainsi que les casses de matériel lorsque remorques , tracteurs et autres machines s’enfoncent d’un coup lorsque les galeries de blaireaux s’effondrent sur leur passage .
      Dégâts non remboursés par leur assurance
      Il ne s’agit pas de « detruire » les blaireaux mais de réguler leur population la ou cela créé problème . Le mode vie du blaireau ( nocturne) fait qu’il ne peut être atteint que par le déterrage .
      Aussi, si les «  écolos Bobos » ,qui bien souvent n’y connaissent rien , veulent entraver la régulation afin de maintenir un bon équilibre Agro-Sylvo -cynégétique , qu’ils assument leur aveuglement et ou incompétence en indemnisant les sinistrés .

    6. Bonjour Monsieur,
      Le blaireau n’est pas classé nuisible ou Espèce Suceptible d Occasionner des Dégâts (nouvelle appellation au niveau national car il ne faut plus prononcer nuisible) au niveau départemental ni même national. Car là nous parlons de période complémentaire de chasse pour prélever des blaireaux. Actuellement, les dégâts que ce soit au niveau des cultures ou également de la grande crainte de revoir la tuberculose dans les troupeaux (car cela signifie abattage de l’ensemble du troupeau) sont maintenus à un niveau raisonnable et ces périodes complémentaires de chasse permettent aux personnes victimes de problèmes de pouvoir se défendre. De plus, les populations de blaireaux ne ce sont jamais aussi bien porté qu’aujourd’hui…pour exemple le nombre de collisions routières avec un blaireaux, l’augmentation du nombre de terriers fréquentés, les dégâts agricoles… Tous les critères prouvent que l’espèce se portent bien et ne s’est jamais aussi bien porté. Alors quand je vois que ceux qui veulent gérer la ruralité, n’y habitent pas…et que les associations qui attaquent les arrêtes prefectoraux ne sont pas non plus des associations locales mais des associations internationales, je ne vois pas trop ce qu’elles y connaissent du niveau de population dans telle ou telle département. Faut il attendre qu’il y ait des vrais problèmes pour intervenir…et je ne pense pas que ce sera ces associations qui viendront résoudre le problème mais on se tournera à ce moment là vers les chasseurs LOCAUX alors laissons les locaux gérer.

  11. Tartarin,bass,de tout temps les renards,les blaireaux ont été chassé et piégé ils n ont pas disparu,juste controler leur population.en Suisse ou la chasse est interdite les prédateurs ,renards,chats haret ont proliféré,la perdrix a disparu, des gardes sont rémunérés pour les tirer la nuit mais chut’!peut être que le règne animal triomphera mais en attendant j espère que mes enfants, petits enfants,vivent dans une société de bon sens.comment nourrir 8 milliards d individus sans l Agro industrie .en France on interdit donc on importe je suis pas sûr que ce soit la solution.

    1. Le problème avec les ecolos, c’est leur approche idéologique et totalitaire des dossiers. Quand ils veulent contrôler les rêves des enfants (cf. la maire de Poitiers contre l’aéro-club voisin « L’aérien ne doit plus faire partie des rêves d’enfants d’aujourd’hui. », c’est effrayant, ça rappelle les heures sombres de notre histoire.

  12. En tant que gros blaireaux eux même les écolos ont peur pour leurs miches . Laisser faire les gens de la campagne eux au moins ils savent .

    1. Je crois qu il faut fermer toutes ces grandes ecoles et revenir au bon sens paysan on a oublié les bases le seul truc qui compte c est l argent l argent

  13. C’est impossible que les chasseurs puisse gérer les blaireaux, il y en a trop en France, je sais pas si vous voyez ce que je veux dire et surtout à la tête !…

  14. Bonjour,
    La tuberculose bovine est -elle contenue et solutionné avec un vaccin ou autre
    traitement ?
    Si oui ,faire payer les ecolos,mais sont-ils solvables?
    Alain

  15. Bien évidement qu’il faut faire payer les associations environnementalistes, leur « laissez faire la nature » entraine partout des dégâts coûteux pour le monde des agriculteurs, qu’ils soient céréaliers, maraichers ou arboriculteurs et pour le monde des éleveurs. Même les apiculteurs sont touchés en Espagne avec les ours qui ravagent les ruches. Les syndicats du monde agricole doivent exiger des compensations financières, les écolos veulent « laissez faire la nature » que leurs associations et leurs adhérents en payent le prix et c’est sur ce plan qu’il faut se battre juridiquement en sortant les factures.

  16. Les blaireaux font parties des ennemis des agriculteurs, pour la tuberculose, les dégâts dans les cultures, le léchage du veaux, des agneaux, venants de naîtres, ce qui est responsable des abandons par leurs mères dans leurs 1ère nuit, c’est perte CATASTROPHIQUE !, UN VÉRITABLE DÉSASTRE !.
    PITOYABLE LES ÉCOLOS QUI SONT LÀ QUE POUR EMMERDER LES AGRICULTEURS !

  17. Le renard n’est pas un prédateur naturel du blaireau par hasard? Peut-être qu’en arrêtant de les tuer à tour de bras ça pourrait au moins réduire le problème?

    1. Exactement,ces animaux ont comme prédateur les renards,qu’ils arrêtent de massacrer les renards il y aura moins de blaireaux.

    2. Le renard un prédateur du blaireau, peut être dans les contes de Walt Disney .
      J’espère que c’est une question , pas une affirmation .
      Au moins tu auras appris quelque chose concernant le blaireau

    3. Non, le renard n’est pas un prédateur du blaireau. Les 2 espèces peuvent même plus ou moins cohabiter dans un même espace ( le renard peut parfois  » squatter » les terriers de blaireaux, qui sont souvent très étendus avec plusieurs  » pièces » et plusieurs sorties…il doit bien y avoir quelques bagarres, mais pas de prédation.

  18. L’écologie c’est la famine et la récession à venir… ci celà continue dans ce sens alors non à cette écologie là et oui à une écologie constructive ….

    1. Faut faire appel aux écoles et les juges des puisque que c’est eux qui interdisent le déterrage

    2. Une écologie constructive est basée sur l’élimination d’espèces animales qui étaient là avant nous ? Quel est le coût réel pour un agriculteur des dégâts occasionnés par les blaireaux ? Combien de troupeaux ont été abattus cette année a cause d’une contamination avérée au contact de mes blaireaux ?

      C’est bien d’avancer des choses mais argumentez concrètement !

    1. 👍 blaireau ou ecolo c est les memes c est du dictat nuisible j ai ete maire 12 ans et encore chasseur a leguillac de l auche dordogne j ai vu monter cet extremisme anti viande chasseur ,etc… L 214 et compagnie il y en a marre de ces bobos degenerés qui pietine un les traditions deux les plaisirs connaissent rien du milieu rural et ses codes et du bon vivre en interdisant touts.stop a l intolerance .

  19. Bien dit il faut arrêter de faire l’autruche et faire payer les dégâts au associations il n’est plus possible de laisser des personnes totalement déconnecter de la réalité continuer de pourrir la vie aux agriculteurs et chasseurs il faut les prendre à leurs propre jeux s’est à dire déposer une demande d’Indemnisation à chaque dégâts auprès des instances compétente pour qu’il paye

    1. eliminer les agro industrie serait aussi une demarche a envisager
      le roi homme disparaîtra
      et le regne animal triomphera
      heureusement

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