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Reportage : le mode de vie urbain aura-t-il raison des chasseurs?

vers la disparition des chasseurs

Un reportage sur le monde de la chasse a été diffusé récemment par France 3 Nouvelle Aquitaine. Dans ce reportage, la question de la disparition des chasseurs se pose sincèrement, les journalistes alternent donc entre une immersion auprès des chasseurs et les explications d’un sociologue et anthropologue.


Le mode de pensée urbain sera-t-il le seul à survivre?

La question qui se pose clairement à travers ce reportage c’est est-ce que le mode de vie urbain aura raison de la ruralité et de la pratique de la chasse? La majorité des habitants ont aujourd’hui adopté un mode de vie proche de la ville et même si certains se proclament être des ruraux, ils n’ont souvent que leur adresse pour affirmer faire partie de cette tranche de la population.

Vivre à la campagne ne suffit pas pour adopter un mode de vie rural et c’est toute une façon de penser qui est alors remise en cause.


Le lapin ou la poule que l’on tue pour le repas du dimanche, la culture paysanne, la pêche, la chasse, les associations du coin, les petits commerces et bien d’autres choses, que n’ont jamais connu ce que l’on appelle aujourd’hui les néo-ruraux, sont des éléments qui composent la ruralité.

Pourtant ces derniers boudent allègrement toutes ces composantes de la campagne et pour certains, le contact avec la nature se limite à prendre le café en terrasse les jours de beau temps.

Ces mêmes néo-ruraux qui portent plainte contre le chant du coq, contre l’agriculteur contraint de travailler très tôt le dimanche ou contre l’odeur de ses vaches.

Auparavant chasser était considéré comme naturel comme le rappelle l’anthropologue interrogé par les journalistes mais aujourd’hui, chasser est considéré par une partie de la population comme « une anomalie ».

Les chasseurs, ces irréductibles gaulois?


Le reportage montre un peu les chasseurs comme s’ils étaient des irréductibles gaulois. Un pan de la population qui veut continuer à vivre comme nos aïeux et qui continuent de perpétuer des traditions curieuses.

Pourtant, la chasse est une composante importante de la société Française. Une étude récemment publiée le démontre, que ce soit sur le plan environnemental, social ou même économique.

Certes, la concentration de la population dans les villes a modifié les activités pratiquées par chacun mais on est encore très loin de pouvoir affirmer que la chasse va disparaître.

Comme l’indique le journaliste à la fin du reportage, il s’agit surtout d’un manque total de compréhension du mode de vie rural dans une civilisation qui se veut de plus en plus urbaine.

16 réflexions sur « Reportage : le mode de vie urbain aura-t-il raison des chasseurs? »

  1. Monsieur qui êtes à votre 52 ème année de permis, vous chassez uniquement le weekend ?
    Est-ce vous que je vois tous les vendredi soir venir lâcher des faisans d’élevage le long des bois pour mieux leur tirer dessus des le samedi matin?
    Ces pauvres oiseaux restés en cage, ne savent même pas voler et on peut les attraper à mains nues.
    Quelle gloire ce doit être monsieur de rentrer chez soi avec 2 ou 3 de ces volatiles sanguinolant.
    Pour en revenir à l’exemple que vous croyez donner, j’ai quelques vidéos des monceaux de cartouches jonchant le sol ou éventuellement du maïs laissé façon « petit Poucet » pour appâter le gibier.
    Egrainer est interdit, mais ce n’est sans doute pas trop votre problème….
    Ce que vous ne semblez pas comprendre monsieur, c’est que tous les chasseurs n’ont pas forcement l’éthique que vous prétendez avoir.
    Sinon Monsieur, l’insulte est généralement l’argumentation des esprits ayant trouvé leurs limites.
    En ce qui vous concerne, il n’a pas fallu attendre longtemps…

  2. Chez moi, il y a des forêts entières de chênes verts. Un jour, un monsieur de la ville qui était en visite me dit : « C’est impressionnant tous les oliviers qui poussent ici ».
    Je lui ai répondu que ces arbres produisaient des olives pour les cochons sauvages. Ce monsieur n’était pas chasseur mais pas du tout anti-chasse. Il a bien ri de sa méprise et moi aussi. Nous avons bu un café ensemble au bar du village.

    1. Monsieur, il peut m’arriver de plaisanter avec des copains, occasionnellement chasseurs et j’adorerai rigoler avec vous autour d’un verre.
      Malheureusement, sur le terrain je croise rarement des chasseurs ayant beaucoup d’humour.
      Je vous souhaite sincèrement une très belle journée.
      Au plaisir de vous rencontrer.

  3. J’ai toujours vécu en ruralité et au contact de chasseurs qui tirent tous les matins à cette période pas loin de chez moi.
    Quand je les vois débarquer à 7 ou 8 4×4 à défoncer les chemins ou encore à se mettre en ligne tous les 50 mètres à attendre le gibier rabattu en bouffant leurs sandwich/bière et abandonnant les emballages sur place. Quand je regarde par terre en fin de saison et que je vois des monceaux de cartouches non ramassées. Que je discute avec l’un ou l’autre (parce que oui, j’ai aussi des copains chasseurs) et qu’ils reconnaissent que les quotas de chasse, c’est pas vraiment leur problème, et je pourrai continuer à vous énumérer d’autres exemples, je me demande vraiment quels sont réellement les Guignols en ruralité…

    1. Monsieur Lassus,
      Moi aussi « j’ai toujours vécu en ruralité », et j’y suis même né.
      Non, les chasseurs ne défoncent pas les chemins, même s’ils circulent pour certains en 4×4.
      Ces ruraux empruntent en effet des communaux ou des privés et les chemins abimés sont remis en état par les propriétaires ou les associations de chasseurs qui les utilisent. Ce sont, hélas, des urbains qui les défoncent en faisant du Trial sur des sentiers pédestres ou encore du Quad sur les pistes. Les amateurs de Trial empruntent même des sentiers pédestres ouverts par les chasseurs, en pleine montagne, sur les crêtes, et y laissent les sillons des roues de motos qui se remplissent d’eau boueuse et deviennent impraticables. Et les Quads défoncent les chemins après les pluies. Ils se régalent dans la boue !
      Dans ma commune la Mairie a dû apposer des panneaux d’interdiction à cause de ces excès qui se répétaient tous les samedis et tous les dimanches. Ils venaient à 20, 30 et parfois plus, motos et quads, faire du sport motorisé dans la boue bien fraîche.
      A cause des abus et incivilités, seuls les riverains et les propriétaires terriens sont autorisés à utiliser un véhicule pour emprunter certains chemins ou pistes pour aller CHEZ EUX. Oui, monsieur, CHEZ EUX pour y travailler et pas seulement y chasser.
      Les papiers gras et autres détritus laissés dans la nature par des promeneurs sont ramassés par les chasseurs. D’ailleurs ce sont les chasseurs qui ouvrent des sentiers, nettoient les milieux fermés, labourent des terres, sèment des champs pour le maintient de la biodiversité, apportent de l’eau aux animaux en période de sécheresse etc.. Les urbains qui ont mal aux poignets et aux avant-bras et pour qui il est plus facile de critiquer que de tenir une serpe ou une tronçonneuse, profitent pour leurs loisirs de cette Nature qu’ils revendiquent et qui, à 80 %, est privée.
      Les quotas de chasse, cher monsieur, sont respectés. En battue, les prélèvements de chevreuils ou de cervidés sont limités, les animaux prélevés sont bagués et déclarés immédiatement. En chasse au petit gibier, un grand nombre d’espèces « chassables » ( perdrix, lièvres, faisans, bécasses etc. ) sont soumises à des quotas, et chassables uniquement certains jours jours de la semaine. Les bécasses par exemple doivent être baguées sur place et déclarées immédiatement lors de leur capture dont le nombre annuel de prises est déterminé par arrêté préfectoral. Enfin si vous voyez des chasseurs tous les 50 mètres au bord d’un sentier, c’est parce qu’en battue on ne peut pas chasser autrement tout en respectant les distances de tir et autres angles de sécurité après avoir balisé les lieux par des panneaux de signalisation. Quant au sandwiches qu’ils sont en train de « bouffer » (car ils ont faim comme vous et moi), c’est comme le déjeuner bien chaud que vous prenez chez vous, assis sur une chaise devant votre téléviseur pour regarder un passionnant replay de « N’oubliez pas les paroles ».
      Je vous souhaite une bonne journée

    2. Réponse à Lassus
      C’est mon 52 éme permis et je n’ai jamais chassé tous les matins, uniquement le dimanche et oui la semaine je travaille (encore malgré mes 68 ans) et travailler en semaine est les cas de la majorité des chasseur s savez vous.
      Je suis dans une petite société et pour nous les quotas sont importants et nous les respectons et oui nous gérons notre chasse monsieur, nous nous limitons si nous jugeons certaines espèces en sous nombre.
      Quand au monceau de cartouches de fin de saison personnellement je n’en ai jamais vu ne seriez vous pas prés d’un stand de ball trap? mais rassurez vous elles sont ramassées et triées……
      Quand aux emballages de sandwich et autres nous en trouvons souvent le long des chemins et ils sont estampillés Macdo ou autre poison alimentaire que mangent le jeunes……les chasseurs ne bouffent pas Monsieur ils mangent comme tout le monde et généralement de bons produit de leur terroir.
      Quand au guignol dont vous parlez, je pense que je suis en train de perdre mon temps à lui répondre.
      Cdt

    1. Réponse a Hervé bonterre.
      Effectivement,ce sont des terres de privés, toutefois vous oubliez cher monsieur,que les chemins qui traversent « ses terres » sont publiques.et pourtant des gogols dans lesquels,je retrouve des chomeurs pour ne pas dire pire se précipitent pour vous dire de partir, et à cheval
      ,la c’est pire.la chasse est inutile et emmerde tout le monde mêmes les vrais ruraux,et quand vous parlez des gens qui ne comprennent pas les ruraux et bla bla blas.tout les soit disants propriétaires des terres de chasse, sont des Flamands

  4. Quand on vient dans le monde rural, la nature, on n y est pas dedans,si on se contente de boire un café les jours de beau temps sur sa terrasse. Quand on vient vivre proche de la nature, premièrement, on s intégre aux locaux, on découvre, on s y promène, on apprend. Deuxièmement, si on connaît pas la pêche, la chasse, l agriculture, on invective pas, on respecte. Les corses l ont compris, chez eux, les bobos irrespectueux sourient et se la ferme. Ville où campagne, il faut bien réfléchir avant.

    1. Ce qui est douloureux pour les ruraux c est que le rapport à l espace a changé.
      Les endroits autrefois déserts et réservés aux seuls ruraux sont désormais accessibles grâce aux applications de géo-localisation. Koomot , visiorando , le moindre chemin, sentier, trace est répertorié .
      Les vélos électriques permettent à des gens sans condition physique d accéder à des sites réservés autrefois à de très bons marcheurs cheuses.
      Les RTT et autres horaires atypiques ne limitent plus au seul dimanche la fréquentation est quotidienne. Sans compter les gens sur-entraînés ées et qui veulent vivre la  » nature  » . Enfin les préoccupations écologiques et citoyennes se heurtent à des modes de vie et de loisirs en voie de disparition. Chasseurs, boulistes, amateurs de jeu de cartes , loto , course cycliste, vogue.
      Les ruraux sont devenus des rurbains , qui travaillent en ville et qui consomme Nature . L ‘ ancien temps ne reviendra pas et la chasse associative disparaitra faute de Chasseurs bénévoles.

    2. S’intégrer c’est toute la question. C’est comme pour l’immigration massive, on vient manger la confiture aux frais des contribuables mais respecter le pays d’accueil et ses valeurs on connaît pas.

    1. Un urbain à l’écoute de la ruralite, ça me fait rire..tous ceux qui sont ici sont identiques, ils pensent tous que la campagne leurs appartient et qu’ils sont partout chez eux..la campagne est aux propriétaires, il ne faut pas l’oublier..mais ça ???

    1. Ça ne fait pas là différence entre un épicéa et un sapin, la grenouille et la femelle du crapaud, les seuls champignons qu’ils connaissent c’est ceux de Paris … Et ça veut nous donner des leçons et prendre le pouvoir . GUIGNOLS

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