C’est en partenariat avec le CNRS que les chasseurs du GIC Courance et Mignon dans les Deux-Sèvres suivent avec une grand précision l’évolution de la perdrix grise sur leur territoire. Pour cela, ils ont équipé quelques individus d’une balise GPS qui leur permet de suivre les oiseaux à la trace.
Une opération de suivi de grande envergure.
Le GIC de Courance et Mignon rassemble les 5 ACCA de la Rochénard, de Vallans, de Val-du-Mignon, d’Epannes et de La Foye-Monjault. Ce rassemblement a permis la mise en place d’un programme de suivi de la perdrix grise sur tous les territoires et d’harmoniser les actions d’aménagement du territoire comme du repeuplement.
Sur près de 6500 hectares, ce sont 2600 perdrix grises qui ont pu être baguées. Ce suivi a permis la création d’une banque de données qui représente une base solide pour une étude de cette envergure. Menée en partenariat avec le CNRS, la Fédération des chasseurs des Deux-Sèvres espère obtenir des résultats concrets de cette opération qui devrait permettre d’en apprendre plus sur les différents paramètres à prendre en compte pour un repeuplement efficace de la perdrix grise sur leurs territoires.
Les chasseurs ne sont pas les seuls à être mis à contribution dans ce projet. Les propriétaires terriens, les agriculteurs et bien d’autres acteurs ont été contactés pour établir des conventions sur 10 ans afin d’offrir un environnement des plus favorables à l’établissement des perdrix grises sur les parcelles du GIC.
Une convention a même été signée avec RTE (responsable du Réseau de Transport d’Électricité) pour que des plantations appréciées des perdrix grises soient semées sous les pylônes de lignes à haute tension présentes sur le territoire.
Les chasseurs ont également mis à disposition 300 agrainoirs et autant de points d’eau sur leur territoire pour faciliter le développement de la perdrix grise. Des équipements qui profitent donc à l’oiseau étudié mais aussi au reste du petit gibier comme à toute la petite faune.
Des perdrix ont été équipées de balises GPS.
Pour assurer un suivi plus précis des perdrix grises, la Fédération des chasseurs a créé un poste sous le régime du service civique qui travaille en relation étroite avec le CNRS de Chizé pour remonter les informations récoltées auprès du GIC et conseiller au mieux les chasseurs dans leurs actions.
Le CNRS a quant à lui équipé une vingtaine de perdrix grises de balises GPS pour observer leurs déplacements et comprendre le cycle de vie de l’oiseau. Ces balises, d’une valeur de 1000 euros chacune, sont fixées sur le dos des perdrix et renvoient les données récoltées une fois toutes les 24h.
En cas d’inactivité prolongée, cela signifie souvent que l’oiseau est mort. Les balises sont alors récupérées pour être affectées à d’autres perdrix.
Les agents missionnés par la Fédération et interrogés par les journalistes de Ouest-France sont unanimes :
« On se rend compte que lorsqu’on lâche, 40 à 50 % des perdrix sont mangées dans les 15 premiers jours ».
Les prédateurs les plus en vue lorsqu’une perdrix est prédatée sont souvent les chats, les rapaces et les renards.
Cette étude qui dure depuis plusieurs mois va encore délivrer un grand nombre d’informations qui devraient permettre de mieux identifier les besoins et les points bloquants à prendre en compte lors d’une telle opération qui vise à recréer une population sauvage de perdrix grise sur un territoire.
Il y a donc encore beaucoup de travail mais les premières couvées sauvages aperçues sur le terrain démontrent que les choses avancent dans la bonne direction.
8 réflexions sur « Le foie gras rayé de la carte par la maire de Strasbourg au nom du bien-être animal »
Je préfère une bonne terrine ou un excellent pâté
elle ,ont devrait l’éradiquer au non du bien être humain.
Ce n’est que la mairie.
Ces verts ils se refuse tous les plaisirs de la vie, que leur existence doit être triste, il doivent se faire crier à mourir.
C’est vrai qu’en compensation, beaucoup fument le pétard, ils voient pendant quelques instant la vie en rose.
Mais après leur fumette, ils sont dangereux sur la route. Imaginez ils voient des éléphants roses traverser les voies de circulation, de même ils entendent hurler les loups au pied de la cathédrale et les ours grimper au sapin.
Pas à Bordeaux, le maire a supprimé les fêtes de Noël, il ne sait pas que Noël n’est pas une fête mais le jour de la naissance de Jésus. Bon pour EELV c’est une tradition d’un autre temps qu’il faut supprimer.
C’est pratiquement de l’abus de pouvoir , tout au moins cette décision sans consultation n’est pas très démocratique .
Enlever le foie gras du menu alors que c’est une de nos fierté c’est ne pas respecter les agriculteurs et les éleveurs
Les producteurs locaux (grande région du foie gras) devraient porter plainte pour diffamation.
La nous avons un maire qui impose son choix pas celui des français. Une honte à cette région d’avoir Eli un écologistes a leur mairie, maintenant on voit leur niveau d’intelligence.
Maintenant c’est pas a mais 3 maires pour le foie gras et un maire contre le sapin de Noël. Les gens son assez bêtes pour voter pour eux. Normal c’est des vieux qui accepte rien ou des ecolo des villes qui viennent dans nos campagnes. Voilà comment tuer des producteurs. Les écologiste sont pour la pertes de nos artisans commerçant.
Les maires écolos se croient tout permis. Et le libre choix il est où. Les pertes d argent pour les producteurs ils sent foutues tout ce qui les intéresse c est virer la viandes de tous les plats pour nous obliger à bouffer du foin.