Dans la commune de Saint-Orens, près de Toulouse, des habitants ont, comme beaucoup aujourd’hui en France, constaté des dégâts de sangliers sur leurs terrains privés comme sur la voirie.
Le maire de la commune, en accord avec la préfecture, a donc dû justifier de la mise en place d’une opération de régulation des sangliers à travers des prélèvements et une campagne de piégeage. Les associations animalistes du secteur ne l’ont pourtant pas entendu de cette oreille.
Des membres de l’association Sentinelle et de l’ASPAS se sont rendus devant la mairie (13 personnes si l’on s’en réfère aux photographies prises sur place) pour manifester leur opposition.
A la tête des opérations, on retrouve Alain Marek, délégué de l’ASPAS qui se présente comme un ancien lieutenant de louveterie ayant enfilé depuis une cape de défenseur des animaux. Il était venu assister sa camarade de l’association Sentinelle qui voulait mener ce combat. Combat qui est peut-être finalement très politique lorsque l’on sait que cette dernière est une ancienne adjointe du maire, passée entre deux dans l’opposition et qui n’aurait pas reçu suffisamment de suffrages pour reprendre un poste au sein de la municipalité.
Les arguments contre cette régulation sont comme souvent imparables :
- Il suffit de raser toutes les herbes dans le bois car les sangliers ne dorment que dans les espaces qui ne sont pas entretenus,
- les habitants qui sont victimes de dégâts n’ont qu’à le dire et l’ASPAS ira leur donner un coup de main.
Même si le maire de Saint-Orens a clarifié la situation sur les dégâts occasionnés par les sangliers et le danger qu’ils peuvent représenter pour la circulation, il faut s’attendre à ce que les associations animalistes multiplient ces actions qui n’ont pas de réel impact sur les politiques de régulation mais qui leur permettent d’exister dans les médias.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .