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A bientot
 

D’ici 30 ans le nombre d’ours pourrait atteindre les 350 dans les Pyrénées

ours

Selon un rapport du Conseil Général de l’Agriculture de l’Alimentation et des Espaces Ruraux, la bonne santé des populations d’ours en France fait que leur nombre ne devrait pas cesser d’augmenter. Mais comment parvenir à gérer une population d’ours en constante évolution avec les activités humaines déjà bien mise à mal?


Près de 350 ours dans les Pyrénées d’ici 30 ans.

Selon une étude du CGAAER rendue publique en ce début du mois de décembre, on apprend donc que l’un des objectifs importants à venir sera de préparer le terrain et la population à accueillir 350 ours dans les Pyrénées à l’horizon de 30 ans.

Il faudrait, selon le rapport des experts, revoir le protocole de gestion établi en 2006 « pour l’adapter aux rencontres plus nombreuses entre le mammifère et le public ».


Un plan d’action national devrait donc voir le jour à travers une feuille de route annuelle et développer un portail donnant accès au public aux informations concernant les populations d’ours dans la région.

Ce bilan a été établi d’après une analyse comparative réalisée entre la France et trois autres pays que sont l’Espagne, l’Italie et la Slovénie.

Une cohabitation forcée avec le grand prédateur.

Selon ce rapport, l’importance des dégâts commis par les ours ne constitue pas un sujet politique dans tous les pays concernés. Les rapporteurs (dont Loïc Dombreval fait partie) notent qu’il existe des spécificités Françaises sur lesquelles il faut travailler.

Parmi ces spécificités, on note l’opposition à l’effarouchement des ours, un nombre d’individus tués plus important qu’ailleurs ainsi que des indemnisations versées aux bergers sans avoir vérifié au préalable l’efficacité des mesures de protection.


Ce rapport risque bien de remettre le feu aux poudres du côté des éleveurs et des professionnels du monde pastoral qui vivent avec le risque d’une attaque d’ours sur leurs animaux en permanence.

Cette épée de Damoclès génère un certain nombre de débats dans notre pays et visiblement, l’expansion de l’ours dans les Pyrénées risque d’avoir de plus en plus de conséquences sur les professionnels comme pour le grand public en montagne.

En ce qui concerne la dangerosité estimée d’un ours, le rapport rappelle qu’un ours ne peut être considéré comme nuisible s’il ne commet qu’un seul dégât grave ou qu’il n’en commet que par intermittence. Selon le CGAAER, un ours n’est pas considéré comme dangereux car l’animal a tendance à se tenir à l’écart de l’homme.

4 réflexions sur « D’ici 30 ans le nombre d’ours pourrait atteindre les 350 dans les Pyrénées »

  1. Il serait préférable de s’occuper des abeilles plutôt que du dernier maillon de la chaîne alimentaire qui n’a d’intérêt que des fins politiques !!!!
    L’attrait de cette espèce limite le tourisme et le pastoralisme et en découle l’entretien des forêts et la perte de biodiversité que cela risque d’engendrer ainsi que les incendies dopés par le réchauffement climatique .
    Ce programme grands prédateurs montre bien la limite de décision que l’ont doit attendre de nos politiques !!!!

  2. Tout à fait d’accord avec les propriétaires terriens l écologie c est mis une balle dans le pied à cause d eux des gens honnête sont pénalisé

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