En ce début de semaine, la préfecture du Jura a été contrainte de faire appel aux services d’un lieutenant de louveterie pour protéger un troupeau menacé par un loup qui devenait extrêmement problématique. Le prédateur a été abattu dans le cadre d’un tir de défense sur un territoire à la frontière avec le Doubs, sur la commune d’Arsure-Arsurette.
Un gros mâle abattu en tir de défense.
Il y a quelques jours, un louvetier a été chargé de protéger un troupeau alors qu’un loup avait visiblement été repéré sur la commune d’Arsure-Arsurette dans le Jura.
Consciente du danger que représente un individu problématique pour un troupeau, la préfecture a accordé l’autorisation de tir.
Cette nouvelle a rapidement circulé sur les réseaux sociaux, créant encore une fois l’émoi des écologistes et autres pro-loups.
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Selon les médias locaux, il s’agissait d’un mâle d’une quarantaine de kilos qui a été abattu dans le cadre d’un tir de défense alors qu’il menaçait un troupeau de bovins.
Les autorisations de tir plus facile à octroyer?
La propagation du loup en Europe de l’Ouest n’est pas sans causer de nombreux désagrément pour les ruraux sans parler des risques considérables pour l’être humain.
Bien que les tirs de défense et le prélèvement des loups jugés problématiques soit vivement dénoncé par les animalistes, le Parlement Européen vient pourtant de donner raison à la partie adverse.
En effet, Bruxelles vient de voter officiellement la baisse du niveau de protection du loup ce jeudi 08 mai, ce qui devrait faciliter les choses d’un point de vue administratif pour la gestion du prédateur.
L’objectif du Parlement Européen était de donner l’opportunité aux pays de gérer localement les problématiques liées à la présence du loup et donc, de faciliter les tirs sur les animaux considérés comme dangereux ou sur des zones ou les prédateurs sont jugés trop nombreux.
S’il semble que le mâle abattu en ce début de semaine soit le premier loup abattu cette année en Franche-Comté, il est fort probable que ce ne soit pas le dernier.
8 réflexions sur « Un loup jugé problématique abattu dans le Jura »
Il est bien ou il est, c est un bon loup .
en cas de retour des lions d’Europe , ce qui necessite un croisement avec le lion leo leo de leo spelaea apres insemination d’une leo leo avec cellule souche extraite du permafrost sur des petits mort il y as des milliers d’années mais dont certaines cellules seraient viables apres traitement de réactivation en cas de cryoprotecteurs present , le lion d’europe etant une espece eteinte par extermination de la min de l’homme dont les derniers individus sont mort dans les jeux du cirque romain au 1er siecle avant JC , etant non exotique et éspèce endemique il a le droit au meme status que l’ours ou le loup (avec population rarissime , meme une protection superieure ), bien sûr sur des territoire en réserves (à minima dans les 200 km^2 20km *10km par exemple) , là effectivement s’introduire sur le terrain et croiser un lion de 300 kg et sa famille , on peut avoir peur si il ne nous connait pas ou ne permet pas l’entrée sur son territoire . ou si un ours s’approche d’un troupeau il est abattu aussi ?
Comment est il jugé problématique ? sa simple présence ? des tentatives d’attaques ? (autre problematique possible , que quelqu’un le voit et ait peur ! mais la le probleme ce n’est pas le loup)
Il faut habiter très loin du monde rural, des éleveurs, pour oser dire que le problème ce n’est pas le loup! (lâchez votre clavier et mettez des bottes!)
Gaston F , perso dans ma famille les loups n’étaient pas un probleme en tant qu’eleveurs et cultivateurs . ils avaient meme un chien loup en garde de propriété , bien plus efficace qu’un chien mais vous ne devez pas connaitre l’origine du loup qui montre patte blanche directement lié à l’homme est un loup pour l’homme , ou l’origine de ce conte qui montre comment les escroqueires accusant des loups avaient lieux pour vol de betail avec quelques tetes tués pour accusation , facile avec une tete de loup pour faire des marques de machoires .
le chien loup ma mere ne l’as pas connu elle est né en 48 , mais ma grand mere oui dans sa jeunesse
Pauvre loup on a voulu le réinstaller en France et maintenant on baisse son niveau de protection . Que de souffrance infligé aux animaux par l’homme
Giselle, tiendrez vous le même raisonnement si vous étiez éleveuse ou si vous deviez payer le coût des loups,plus de trente millions d euros ,je ne pense pas.eliminer les plus téméraires pour qu ils craignent l humain est nécessaire pour une coexistence possible.