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Pyrénées-Atlantiques : la prolongation de la chasse du blaireau suspendue

Dans plusieurs départements de France, la chasse complémentaire du blaireau est régulièrement attaquée devant les tribunaux par des associations anti-chasse. Dans les Pyrénées-Atlantiques, AVES France et One Voice viennent de faire suspendre deux arrêtés qui autorisaient cette chasse.

La chasse complémentaire du blaireau annulée dans les Pyrénées-Atlantiques.

C’est acté, la chasse du blaireau qui devait pouvoir continuer pour les chasseurs et les veneurs sous terre du 15 mai au 14 septembre ne sera pas possible. L’autorisation de réguler l’espèce durant cette période était régie par deux arrêtés préfectoraux que le tribunal administratif de Pau a décidé de suspendre.

Le dossier a été étudié sur demande de deux associations anti-chasse (AVES France et One Voice) .

C’est la deuxième année de suite que les animalistes parviennent à faire suspendre ces arrêtés en se basant sur le fait que le déterrage des blaireaux peut nuire aux blaireautins, encore présents dans les terriers en cette période estivale.

Bien qu’il ne soit pas considéré comme une espèce ESOD suite à une régulation réussie des chasseurs et des piégeurs, le déterrage du blaireau restait possible pour protéger des cultures ou des infrastructures de l’installation de ce dernier. Aujourd’hui, le tribunal a été plus attentif au statut de gibier de l’espèce et par conséquent, a jugé utile de ne pas rester dans la nuance.

Une erreur qui sera payée par les agriculteurs mais pas seulement.

Les chasseurs ne pourront donc pas intervenir si une famille de blaireaux décide de s’installer dans un lieu ou ils risquent de poser problème.

Le mustélidé peut causer de graves dégâts par les profonds terriers qu’il creuse et il n’est pas rare que les agriculteurs se retrouvent avec des machines endommagées par les trous creusés. Il est également porteur de la tuberculose bovine, maladie qui force l’éleveur à faire euthanasier son cheptel en cas de détection.

D’autres entités peuvent subir de plein fouet la présence du blaireau comme la SNCF. Les incidents de trains rencontrés à cause des blaireaux sont nombreux mais sans intervention possible, il faudra que des dérogations soient obtenues ou que d’autres solutions, souvent bien plus coûteuses, soient trouvées.

Si la régulation de l’espèce ne continue pas d’être assurée comme le font nos aïeux depuis des décennies, il y a fort à parier que de nouveaux déséquilibres au sein de la biodiversité locale n’apparaissent. Mais ce jour là, il y a peu de chances que ce soit vers One Voice ou vers Aves France que les autorités se tournent…

[Vidéo] Des renards aperçus près de Paris sur l’autoroute A13 fermée depuis quelques jours

Un tronçon de l’autoroute A13 est fermé depuis le 18 avril dernier pour des fissures dans la chaussée. Le calme apparent de cette autoroute a laissé place au retour des animaux et une femelle accompagnée de ses renardeaux ont pu y être observés récemment.

C’est bien connu, la nature a horreur du vide et lorsqu’une infrastructure humaine est abandonnée, elle est vite colonisée par les animaux et la végétation y reprend ses droits.

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Sur l’autoroute A13, une portion est fermée entre Paris et Vaucresson suite à des fissures qui se sont formées dans le bitume suite à un glissement de terrain.

L’absence de véhicules a permis à la zone de retrouver le calme et la quiétude, ce que n’ont pas manqué de remarquer une famille de goupil, venus arpenter les abords de la chaussée.

Il s’agit apparemment d’une femelle et de ses renardeaux qui ont été récemment aperçus sur les lieux comme le rapporte cette vidéo postée par Le Parisien :

La randonnée pédagogique organisée par les chasseurs de la Mayenne a été un franc succès

Les chasseurs se mobilisent de plus en plus auprès des autres usagers de la nature pour leur faire découvrir leurs territoires et leur passion. C’est dans ce contexte que les chasseurs de la Mayenne ont décidé d’organiser une randonnée à vocation pédagogique à destination du grand public.

Une marche organisée pour casser les préjugés.

On entend souvent certaines personnalités politiques ou des figures de l’écologie anti-chasse clamer que les chasseurs et les promeneurs ne peuvent s’entendre. Ce cliché totalement erroné n’a que pour seul but de diviser les Français de façon idiote pour promouvoir une idéologie anti-spéciste qui finira de toute façon par interdire aussi les promeneurs en forêt.

Bien que partout en France, les relations promeneurs et chasseurs soient au beau fixe, les membre de l’Association des Chasseurs de Grand Gibier de la Mayenne ont décidé d’organiser un évènement, non pas au service des chasseurs, mais des promeneurs.

Sur la commune de Villiers-Charlemagne, située au Sud de Laval dans la Mayenne, les chasseurs de grand gibier ont donc mis en place différents circuits et balisé les routes et les chemins de panneaux de signalisation, mais aussi de panneaux pédagogiques qui expliquent ce qu’est la chasse.

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Des informations sur l’organisation d’une battue, la signalisation, les miradors, les zones de tir, les plans de chasse et bien d’autres ont donc pu être découvertes par les promeneurs participants durant leur balade, ce qui a rendu l’évènement sportif aussi ludique qu’agréable.

La communication des chasseurs a été très bien accueillie par les promeneurs.

Les promeneurs qui ont été plus de 200 à participer à cette édition se sont montrés assez séduits par la démarche. Le fait que les chasseurs se mobilisent, prennent le temps et s’investissent pour leur proposer une sortie ainsi qu’un accueil digne de ce nom pour passer un bon moment a définitivement brisé les préjugés que certains pouvaient encore prendre pour argent comptant.

Les chasseurs n’ont d’ailleurs pas bâclé l’évènement car un kit était distribué à tous les participants contenant de la documentation, quelques goodies mais aussi un gilet orange, accessoire de sécurité devenu indispensable pour la sécurité à la chasse que les promeneurs sont de plus en plus nombreux à adopter eux-aussi.

Les promeneurs étaient ensuite conviés à un apéritif proposé à l’issue de la randonnée. Il était également possible de s’inscrire au repas du midi.

Des sonneurs sont venus sur place pour une représentation et des jeux concours étaient proposés aux participants restés sur place pour partager ces moments de convivialité.

Une exposition de photos et de pancartes explicatives était aussi installée dans la salle ou les participants pouvaient se réunir ce qui n’a pas manqué d’intéresser les promeneurs.

Devant le succès de cette édition et le plaisir que les chasseurs ont pu prendre à échanger avec les marcheurs, l’édition 2025 de cette randonnée pédagogique serait déjà dans les clous.

Toutes les informations sont à retrouver sur la page Facebook de l’Association.

[Vidéo] Un lièvre aux prises avec un rapace pour protéger ses petits

Les prédateurs terrestres font beaucoup de dégâts sur la petite faune, surtout en période de reproduction lorsque les petits sont les plus vulnérables.

Pourtant, le danger se trouve aussi dans les airs, car les rapaces constituent une menace non négligeable pour de nombreuses espèces qui ne voient pas toujours arriver la menace.

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Dans cette vidéo, on dirait bien qu’une hase a repéré le prédateur venant du ciel et est bien décidée à protéger ses petits contre l’oiseau.

Elle se débat et saute autant qu’elle peut pour chasser l’indésirable et sauver la vie de sa progéniture.

Les dégâts de sangliers toujours au centre de la fronde des chasseurs en Dordogne

La Dordogne n’est pas épargnée par les dégâts de sangliers et les chasseurs paient le prix fort depuis quelques années pour indemniser les agriculteurs victimes des incursions des suidés. La Fédération des chasseurs a tenté de mettre en place une taxe évolutive selon les dégâts constatés par secteurs mais force est de constater que cette taxe soulève la colère de pas mal de nemrods.

Une taxe évolutive pour indemniser les dégâts de sangliers.

L »une des raisons pour lesquelles plusieurs sociétés de chasse se sont mobilisées était la hausse de la taxe territoriale. La Fédération des chasseurs de Dordogne avait pour ambition de « punir » en quelque sorte ceux qu’elle considérait être les mauvais élèves du département en appliquant un barème qui revenait à taxer fortement les sociétés de chasse installées sur les secteurs ou les dégâts de sangliers sont importants.

Ce mode de calcul est jugé trop aléatoire et injuste par les chasseurs qui ont tenté de le faire savoir à plusieurs reprises à la Fédération qui était décidée à rester sur sa position.

Pourtant, ce nouveau mode de calcul mettait en péril certaines sociétés de chasse qui devaient payer jusqu’à plus d’un euro de l’hectare quand d’autres ne payaient que quelques centimes.

Cette mesure accompagnée d’un prix élevé des bagues à sangliers ont poussé les sociétés de chasse du département à se rassembler sous le Collectif Chasse 24 qui s’est organisé pour peser dans le débat avec la Fédération.

Des avancées ont eu lieu lors de l’assemblée générale.

Le samedi 13 avril s’est tenu l’assemblée générale de la Fédération des chasseurs de la Dordogne et bien évidemment, les membres du collectif sont intervenus dans les débats.

Tout d’abord, le collectif a salué une baisse importante du prix des bagues à sangliers ce qui permettra aux chasseurs d’en faire l’acquisition plus facilement et de s’assurer d’une régulation plus efficace.

D’un autre côté le nouveau mode de calcul de la taxe territorial restait en vigueur et il convenait de le modifier sous peine de voir disparaître des sociétés de chasse qui seraient contraintes de déposer le bilan.

Le collectif a d’abord déploré le manque de communication possible avec la Fédération malgré les différentes tentatives de ses représentants. Le Collectif Chasse 24 estime que c’est un manque de respect envers les chasseurs que de ne pas répondre aux sollicitations des représentants des sociétés de chasse concernées.

Un vote a néanmoins été mené durant l’assemblée générale et a réduit les écarts de prix à l’hectare en augmentant d’un centime le tarif de base mais en faisant descendre à 0.69 centimes d’euros la taxe pour les communes les plus touchées.

Le Collectif chasse 24 demande aux chasseurs des communes les moins impactées par les dégâts de sangliers de se montrer solidaires car un centime en plus à l’hectare de leur côté peut faire une grande différence pour les sociétés de chasse ou les dégâts sont conséquents.

Dans un message posté sur les réseaux sociaux qui résume les évènements qui se sont déroulés lors de cette assemblée générale, le collectif ne mâche pas ses mots en ce qui concerne la Fédération :

« Devant notre vieillissement et vu la baisse du nombre de chasseurs, si nous voulons attirer des jeunes à partager notre passion il faudra que celle-ci soit attractive et non pas chargée de contraintes, de contrats d’objectifs, de rendement, de productivité, et ceci en toute sécurité…quand on sait les risques potentiels des actes de chasse.

Nous demandons également à la fédération de mieux communiquer avec nous et d’arrêter de nous infantiliser. Nous sommes bien conscients de la problématique prolifération des sangliers 200% dans nos régions.

La FDC 24 c’est nous tous les chasseurs et chasseresses de la Dordogne. »

[Vidéo] Timelapse des 57 jours d’une mésange qui investit un nichoir

La mésange est assurément l’un des oiseaux préféré des Français et bon nombre d’entre eux s’investissent pour leur offrir un endroit paisible ou nicher quand vient la saison.

L’oiseau est un atout certain pour la biodiversité de par sa consommation d’insectes mais c’est aussi un oiseau que l’on aime énormément observer et entendre chanter.

Les chasseurs se sont souvent mobilisé pour la mésange comme dans les Hauts-de-France ou la Fédération des chasseurs a décidé de distribuer gratuitement des nichoirs qui leur seront destinés.

Dans cette vidéo, on peut observer comment en 57 jours, un nichoir passe de simple boite vide à un nid bien occupé.

L’ours venu de Lettonie ne sera pas relâché en Ariège

L’affaire avait fait grand bruit durant l’été dernier quand une oursonne était venue en France depuis la Lettonie. De grands débats ont eu lieu sur une potentielle introduction de la petite ourse en Ariège mais finalement, c’est en Suisse que l’animal a trouvé sa place, pour le plus grand soulagement des éleveurs Français.

Un ours arrivé de nulle part.

Pendant quelques semaines, de grands débats ont été organisés entre différents acteurs de la ruralité et du suivi de l’ours en France pour savoir si oui ou non, une ourse pouvait être relâchée dans un de nos départements.

L’Ariège était un bon candidat mais dès que l’idée a été émise par les pro-ours, les levées de boucliers n’ont pas tardé du côté des éleveurs et des ruraux.

L’oursonne, baptisée Tanie, était arrivée depuis la Lettonie ou personne ne voulait la prendre en charge jusque dans un zoo refuge d’Eure-et-Loire. Son arrivée en France avait déjà fait beaucoup de bruit car beaucoup se sont demandés d’où sortait cette ours et des élus se sont étonnés de ne pas avoir entendu parler de cette histoire.

L’ourse a finalement été prise en charge par un parc Suisse.

Finalement, les éleveurs Ariégeois pourront dormir un peu plus tranquilles dans les semaines à venir car Tanie et un autre ours du refuge nommé Lugo ont été accueillis par le Juraparc, un parc ouvert en Suisse.

Les deux plantigrades pourront y couler des jours heureux en semi-liberté sans faire de dégâts dans le cheptel Français ni courir le risque de se frotter aux ours déjà présents dans les Pyrénées.

C’est d’ailleurs surement l’argument qui a pesé le plus dans la balance car les pro-ours ne cessent de rappeler que la consanguinité chez les ours Français est une menace depuis que plusieurs d’entre eux ont trouvé la mort ou n’ont plus donné signe de vie.

Tanie étant un ours de souche orientale, il y avait des risques pour que son introduction auprès de nos ours d’origine slovène ne soit pas des plus concluantes.

Ce qui est sur c’est qu’en Ariège, les élus ont poussé un ouf de soulagement. Dans un communiqué de presse, la Présidente du Département, le Président de la Chambre d’Agriculture et le Président de la Fédération Pastorale de l’Ariège vont même plus loin en parlant d’une possible mise en place de la régulation de l’espèce :

« Voilà la meilleure nouvelle de l’année, car désormais plus rien ne peut donc s’opposer à mettre en œuvre un processus de régulation de cette espèce protégée, que l’Ariège demande depuis si longtemps !

L’État vient de trouver comment « exfiltrer » des ours ariégeois en Suisse ! Que l’État sorte de son indolence et de sa soi-disant impuissance. »

[Vidéo] Quand même ton chien est en manque de chasse

L’inter saison est nécessaire mais elle peut parfois paraître trop longue, surtout lorsque plusieurs semaines sans prendre le chemin de la plaine se sont écoulées.

Cette pause n’est pas toujours mal vécue que par les chasseurs car nos compagnons qui sont au moins autant acharnés que nous pour partir à la chasse trouvent aussi le temps long.

A lire aussi : [Vidéo] Quand tu as deux chiens de chasse mais qu’ils ont un peu de mal…

C’est manifestement le cas de ce chien de chasse qui a bien du mal à contenir ses émotions devant une émission de chasse.

Alors que des faisans passent à l’écran, il ne parvient pas à contenir son émotion et s’appuie sur le mur pour y regarder de plus près.

La Moselle va autoriser l’utilisation des lunettes thermiques pour le tir de nuit des sangliers

La surpopulation de sangliers pousse les autorités à prendre des mesures encore jamais prises pour permettre aux chasseurs de pouvoir réguler au maximum les sangliers sur les territoires les plus touchés. La préfecture de Moselle vient d’annoncer que le tir de nuit était autorisé mais qu’en plus, l’utilisation de lunettes thermiques allait être expérimentée.

La régulation du sanglier jour et nuit.

Depuis l’arrêté publié le 5 avril 2024, le tir de nuit des sangliers est autorisé en Moselle par la préfecture du 15 avril 2024 au 1er février 2025.

Jusqu’ici, cette régulation nocturne est possible uniquement sous certaines conditions :

  • uniquement à l’aide d’une source lumineuse ou d’un adaptateur de visée à intensification de lumière,
  • à l’affût sur un mirador,
  • en tir fichant et à moins de 100 mètres,
  • après avoir déposé une déclaration à la mairie de la commune concernée par la régulation.

Cette régulation est menée sous la responsabilité du détenteur du droit de chasse qui va mener à bien ces opérations de tir de nuit mais doit s’assurer que toutes les conditions sont bien respectées, surtout en ce qui concerne la sécurité.

Les optiques thermiques bientôt autorisées.

Ce jeudi 25 avril, la préfecture de Moselle a publié un communiqué de presse dans lequel elle explique que le préfet envisage d’autoriser à titre expérimental l’utilisation du matériel à visée thermique et les lunettes à intensification de lumière.

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Jusqu’ici, ces optiques ne sont autorisées que pour la surveillance des territoires mais pas comme organe de visée à proprement parler.

Depuis quelques temps, de plus en plus de ces optiques apparaissent pourtant sur le marché ce qui laissait penser qu’un jour ou l’autre, il serait possible de s’en servir sous certaines conditions.

La préfecture de Moselle a annoncé qu’une mise en application de cette mesure peut intervenir dans le courant du mois de mai 2024, le temps que l’administration puisse mettre en place les différentes démarches nécessaires avant l’application du futur arrêté.

Suite à cette expérimentation, un bilan sera effectué pour valider ou non la pertinence de cette autorisation que l’on risque bien de voir arriver dans d’autres départements fortement touchés par les dégâts de sangliers.

[Vidéo] Un gros sanglier intrigué par un drone venu le filmer

Les nouvelles technologies envahissent tout l’espace disponible et aujourd’hui, avec les drones, nous sommes capables d’aller filmer ou photographier à des kilomètres de là ou l’on se trouve.

Les vidéos dans lesquelles on peut voir des hardes de cervidés ou des compagnies de sangliers en vue du dessus ne manquent plus mais les réactions du grand gibier face à ces drones restent parfois déconcertantes.

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Dans cette vidéo, un sanglier de belle taille voit arriver vers lui l’étrange objet volant.

Il semble d’abord intrigué et regarde l’étrange oiseau de face avant qu’un mouvement de ce dernier ne le décide à prendre la fuite.

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