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A bientot
 

Chasse à l’arc

Ce mode de chasse très ancien remontant à l’aire paléolithique a beaucoup évolué avec la modernisation. Longtemps interdite car assimilée bien à tort à du braconnage, la chasse à l’arc a (re)gagné depuis 1995 – année de sa reconnaissance – ses lettres de noblesse.

S’il s’inscrit pleinement dans les règles modernes de gestion de la faune sauvage, ce mode de chasse se distingue essentiellement par sa dimension culturelle : elle permet une découverte de la nature comme de soi-même au travers de l’émotion. C’est une expérience éducative où le chasseur réactualise nos facultés animales, peu utilisées d’ordinaire (la ruse, la vue, l’ouïe, la ténacité, l’attention, la combativité…) et exalte aussi nos aptitudes humaines à réfléchir sur l’écologie.

La chasse à l’arc synthétise aujourd’hui le paradoxe très moderne de chasser avec des outils primitifs, fabriqués par des technologies les plus avancées.

Cette chasse à tir est silencieuse particulièrement difficile donc, demande une connaissance parfaite du milieu et des animaux. C’est en effet à quelques mètres seulement qu’il faut approcher le gibier avant de décocher une flèche. On chasse à l’affût ou à l’approche.

Tous les types de gibiers peuvent être chassés à l’arc (lapin, lièvre, ragondin, rat musqué, oiseaux, grand gibier…). Le matériel, notamment les pointes de flèches, doit être spécialement adapté. A ne pas confondre avec l’arbalète qui est interdite à la chasse.

La chasse à l’arc séduit deux types de publics : ceux qui ont beaucoup chassé et qui cherchent des difficultés et des sensations nouvelles, et ceux qui ne sont pas attirés par la chasse au fusil.

Pour chasser à l’arc Etre détenteur de son attestation de participation à une session de formation pour la pratique de la chasse à l’arc.

Pour finir 2 types d’arc sont principalement rencontré. L’arc à poulie dit Compoud et l’arc sans poulie et plus traditionnel dit recurve.

Chasse à la billebaude

C’est le mode de chasse le plus pratiqué dans l’hexagone. Le chasseur parcours son territoire (bois, plaines, friches etc) avec ou sans chien sans chasser de gibier en particulier. Tous les petits gibiers à poils et à plumes sont ainsi convoités.

La chasse avec chien d’arrêt concerne essentiellement le gibier à plumes (perdrix, bécasses, faisans, etc.) mais aussi gibier à poil comme le lièvre. Le chien d’arrêt prend l’émanation du gibier, l’approche, le marque et l’arrête jusqu’à l’arrivée du chasseur. Le ou les chasseurs peuvent ainsi approcher calmement et servir l’animal arrêté.

La chasse avec chiens  » leveurs de gibier  » se pratique avec des chiens très vifs et très ardents comme le Springer ou le Cocker. Ils trouvent le gibier mais ne l’arrêtent pas et le font partir sans le poursuivre. Ils peuvent travailler dans tous les types de milieux mais excellent dans les broussailles, fourrés, ronciers, etc.

Il est aussi tout à fait possible de pratiquer la chasse devant soi avec des chiens courant, créancé ou non, mais il ne faut pas confonde ce mode de chasse avec la petite vénerie. Ce mode de chasse procure de très belle sensation de part la diversité des espèces rencontrées ainsi que des lieux parcourus. Il peut se pratiquer seul ou en groupe ou il sera souvent signe de convivialité. Ce mode de chasse se pratique de l’ouverture général à la fermeture en fonction général (dates variable celons chaque espèce chassez).

Battue aux petits gibier

Ce mode de chasse se pratique souvent sur des territoires de plaines assez vaste bien que cela ne soit pas une règle absolue.

Les principaux gibiers chassés sont le faisan, la perdrix ou encore la caille. Parfois le lièvre ou le lapin

Des rabatteurs, armée ou non, avance en ligne vers une ligne de tireur. La zone ainsi rabattu est souvent de plusieurs dizaines d’hectares. Au fil de la progression des postés tirent les oiseaux qui tentent de franchir la ligne mais on interdiction de se déplacer pour des raisons évidente de sécurité.

La fin de la battue donne généralement lieu à un moment instance puisque bien souvent de nombreuses compagnies de perdreaux on préféré piété que de franchir au vol la ligne et elles décolleront toutes à la fin lorsque ligne de rabatteurs et de tireurs deviennent très proche.

Les chasses d’antan faisaient souvent participer tout le village à ces battues à la plus grande joie des enfants. Les tableaux été souvent indécent mais les populations le permettais.

Notons aussi la particularité du « chaudron » qui consiste à encerclé une parcelle en rond et de rabattre tous ensemble vers le centre.

La poudre

Les poudres de chasse vendues en France sont fabriquées par la S.N.P.E. (Société Nationale des Poudres et Explosifs). La poudre noire n’est plus employée que dans les anciens fusils et pour le chargement des répliques d’armes anciennes.

Les poudres actuellement fabriquées par la S. N. P. E. pour les armes lisses sont :

– la poudre T, qui est de beaucoup la plus connue; elle a été mise en vente en 1900 et va bientôt être abandonnée; – les poudres venues bien plus tard, après la Seconde Guerre mondiale, et qui comportent en particulier des poudres progressives permettant de propulser des charges lourdes, comme les poudres Ba2, Ba3 et Ba6;

– les poudres sphériques S2 et S3;

– enfin, la série des poudres A pour chargements classiques : AO pour balles, Al, A2 et A3.

Ces poudres ne sont en principe vendues qu’aux encartoucheurs.

Autrefois, le chargement des cartouches par les chasseurs était beaucoup pratiqué en France. Aujourd’hui, cette pratique a pour ainsi dire disparu. La cause en est certainement que le prix des cartouches industrielles, fabriquées sur des machines automatiques à grande production, est devenu inférieur au prix des cartouches faites soi-même. Il n’est pour s’en convaincre que de comparer les prix des composants de rechargement, dans un catalogue, avec les prix de certaines cartouches bon marché.

La bourre

Le général Journée donne une définition parfaite du rôle de la bourre dans une cartouche de chasse : Les bourres, placées entre la poudre et les plombs, ont pour but de transmettre aux plombs la poussée des gaz de la poudre, tout en formant un tampon élastique au début du mouvement, afin de réduire la pression et la déformation des plombs.

« Les bourres doivent empêcher complètement les gaz de la poudre de pénétrer dans les plombs »

La bourre la plus employée dans tous les pays est la bourre en feutre, encollée et graissée sur son diamètre extérieur.

La bourre en liège graissé a de nombreux adeptes; elle a l’avantage d’être douce à tirer et de donner d’excellents groupements; en revanche, la pénétration des plombs est défectueuse, leur vitesse étant inférieure de 50-70 m/s à celle que l’on obtient avec une bonne bourre grasse.

Il convient de mentionner 2 bourres de qualité, en liège :

La bourre Iris, composée d’une bobine en liège avec ceinture de feutre graissé; parfaitement calibrée, elle donne d’excellents groupements et conserve une vitesse normale. La bourre Gabel, composée de grains de liège contenus dans un cylindre en carton ondulé et graissé, serti aux deux extrémités.

Il existe aussi des bourres de remplissage, dont l’épaisseur varie de 3 à 5 mm; elles sont en papier, feutre sec ou graissé et n’ont aucune influence sur le rendement de la cartouche.

Enfin, avec le développement pour tous usages des matières plastiques, ces dernières ont aussi envahi le domaine des cartouches, en commençant par les douilles pour aboutir aux obturateurs et bourres.

Les obturateurs, placés derrière la bourre (côté poudre), sont constitués par une coupelle aux lèvres souples assurant une obturation totale contre les infiltrations des gaz de combustion. Ils permettent une diminution de la charge de poudre et évitent les plombs agglomérés par fusion.

Mais la grande nouveauté a été l’apparition des bourres à jupe et à godet, la jupe arrière formant obturateur et le godet avant contenant la charge de plombs, évitant leur frottement et usure contre les parois du canon et assurant.

Les balles

Il existe une grande variété de balles qui peuvent être tirées dans les canons lisses. Certaines sont empennées (Brenneke, Aquila). D’autres (Stendebach, Faunia) ont une hélice intérieure qui doit les faire tourner sur leur trajectoire. Enfin, les « slugs » américains ont l’arrière creux pour assurer leur stabilité par le principe des flèches, qui est aussi celui des balles empennées. La balle Blondeau, qui a la forme « diabolo » est une des plus précises. L’on trouve aussi les fameuses balles flèches Sauvestre et plus récemment les fameuses balles MG Rio

Cette précision est d’ailleurs très variable selon les modèles. Le chasseur a intérêt, avant de fixer son choix, à essayer sur cible différents modèles. Il faut aussi vérifier le réglage du fusil, car il peut être très différent de celui du tir à plombs, et il varie aussi suivant le type de balle.

Les cartouches à balles ont en général un chargement plus fort que les cartouches à plombs. La vitesse initiale, pour un poids de balle voisin de 32 g en calibre 12, se situe en moyenne autour de 430 m/s. La S. N. P. E. (Société Nationale des Poudres et Explosifs) préconise sa poudre spéciale AO (A zéro) pour le chargement des cartouches à balles.

Pour le tir du cerf et du sanglier, il faut, afin d’avoir une puissance suffisante, utiliser un fusil de calibre 12. Dans ces conditions, le tir reste efficace jusqu’aux distances normales du tir à plombs, c’est-à-dire environ 50 m.

Il existe dans le commerce des fusils spécialement agencés, du point de vue des organes de visée et des canons, pour le tir des balles : les slugs.

Carabine à verrou

Ce type d’arme (carabine à verrou ou à répétition manuelle) rayée est de beaucoup le plus répandu parmi les chasseurs de grand gibier. Il est strictement dérivé des mécanismes des fusils de guerre. Ces derniers ayant été construits à des dizaines de millions d’exemplaires. Le même outillage servant aux fabrications civiles, il en résulte que le prix de ces armes est très bas, du même ordre que celui d’un fusil à plombs du bas de gamme.

Maintenant il on été remplacer mais leurs coûts restent toujours faible car le proses de fabrication est éprouvé et simple.

Ces armes « bon marché » ont un mécanisme à verrou identique au fusil de guerre Mauser 98 et sont d’une robustesse à toute épreuve, tout en étant précises. Le mécanisme est caractérisé par un verrouillage à 2 tenons, situés à l’avant de la culasse mobile, et par un magasin vertical.

L’action de la culasse permet l’extraction de la douille tirée et le réarmement de la suivante (aller extraction, retour réarmement). Le percuteur se trouve bien évidement dans la culasse!

Dans la culasse de prix au-dessus, on trouve, construites par la plupart des fabricants, des carabines de système Mauser amélioré. Les perfectionnements concernent par exemple le guidage de la culasse mobile, l’adoption d’un chargeur amovible, un couvercle de magasin détachable, divers modèles de sûreté, un verrouillage à 3 tenons, divers types de détentes, etc.

Un autre type de carabine de renommée mondiale est la Manlicher, dont la caractéristique principale est d’avoir un magasin rotatif. Elle existe en 2 modèles : Steyr-Manlicher, à magasin détachable et le verrouillage arrière, et la Manlicher Schoenauer (rare de nos jours), plus classique.

Dans la classe des carabines de luxe, il y a les modèles à mécanismes entièrement nouveaux et dont certains ne manquent pas d’originalité. En premier, nous citerons la carabine Mauser 66S, qui se caractérise par 2 nouveautés : d’abord une culasse télescopique (improprement appelée culasse linéaire), qui a permis un raccourcissement du mécanisme et donc de l’arme, de 9 cm par rapport au Mauser 98 ; puis l’interchangeabilité des canons dans certains groupes de calibres.

Mauser a encore sorti le modèle 77 (nouveau modèle MO3), avec culasse mobile à 3 tenons à verrouillage arrière et chargeur détachable à magasinage vertical sur un rang.

Manlicher propose son modèle M « luxe » à magasin vertical amovible à 3 ou 6 coups. Sauer, avec son modèle 80, innove : verrouillage arrière par 3 linguets formant arc-boutant et magasinage sur un rang des cartouches.
Les carabines à répétition manuelle se font en tous calibres y compris les calibres magnum. Il y a du calibre 5.6mm au 11.6mm.

Souvent équipées de lunette elle conviendront aussi bien à la battue qu’à l’affût.

Carabine semi-automatique

Souvent appelées automatiques, elles sont comme le fusil automatique injustement nommées. Elles fonctionnent par emprunt de gaz, pour réarmer la cartouche suivante.

Les carabines semi-automatiques sont typiquement des armes de battue et elles jouissent en France d’une certaine vogue, alors qu’elles sont pratiquement inutilisées en Europe centrale, où, il est vrai, le grand gibier se chasse surtout à l’approche et à l’affût.

Elles sont sensiblement plus lourdes et légèrement moins précises que les carabines manuelles (à des distances dépassant la centaine de mètres). Cette moindre précision étant due au fait que le mécanisme se met en mouvement et ébranle l’arme avant que la balle n’ait quitté le canon. Notre législation a réduit la capacité de ces armes à 3 coups et elles sont interdites dans certains pays. Dans certaines chasses, ces armes ne sont pas admises pour des raisons d’éthique.

Si vous souhaitez vous équiper d’une carabine semi-automatique, vous pouvez consulter une sélection de carabines de chasse sur Chasseur.com.

Elles présentent l’avantage en battue de pouvoir doubler, voir tripler rapidement. Cet avantage peut ce transformer en inconvénient si un chasseur ne sait pas retenir ses coups et tire à des distances ou dans des situations inconsidérées.

Drilling

L’arme mixte la « plus répandue » est le drilling. C’est typiquement une production d’Europe Centrale, où l’obligation du tir à balle de tous les ongulés, date du début du siècle, le fait apprécier depuis longtemps.

C’est une arme universelle qui convient bien au tir en battue où l’on rencontre aussi bien le grand gibier qui doit être tiré à balle que le petit gibier tiré à plombs. Toutes les combinaisons de chargement sont possibles : 2 coups à plombs et 1 à balle rayée; 1 coup à plombs, 1 à balle lisse et 1 à balle rayée; 2 coups à balle lisse et 1 à balle rayée.

Ces armes avaient la réputation d’être lourdes, mais, avec les progrès de la métallurgie, on trouve maintenant des drillings dont le poids est égale presque celui d’un fusil à 2 coups.

L’inconvénient du drilling est son prix élevé, mais il faut tenir compte du fait qu’il remplace un fusil et une carabine.

En ce qui concerne les calibres, toutes les combinaisons sont possibles. Une des plus usitées est : cal. 12 ou 16 pour les canons lisses; 7 x 65 R et 9,3 x 74 R pour le canon rayé.

Comme fabricants, on peut citer Sauer & Sohn, Krieghoff, Heym, Merkel et tous les artisans armuriers de Ferlach. Ces derniers fabriquent également pour la plupart des vierlings, arme à 4 canons dont un rayé puissant et un rayé faible pour le tir des nuisibles.

Express

Ces armes jouissent actuellement d’une vogue croissante. L’express est l’arme idéale de battue, car le 2ème coup est immédiatement disponible pour doubler. On le rencontrait surtout en superposé, mais il revient en force en juxtaposé, dont le mécanisme est plus simple, plus léger et moins cher.

De plus, la dispersion se faisant dans le sens horizontal, au lieu de verticale pour le superposé, on augmente la probabilité d’atteinte pour le 2ème coup, le corps du gibier étant plus long que haut.

Les carabines doubles express sont des armes d’un prix assez élevé et elles sont souvent traitées en armes de grand luxe. Elles ne souffrent pas de médiocrité et leur réglage est délicat. Il faut surtout, à l’achat, s’assurer de la coïncidence du groupement des 2 canons.

Quand ce groupement pour 5 salves de 2 coups à 100 m est inférieur à 75 mm, on admet que la précision est excellente; quand il dépasse 150 mm, la norme stipule que la précision est insuffisante.

Le calibre pour express le plus employé en Europe est le 9,3 x 74 R. Viennent ensuite les calibres 7 x 65 R et 8 x 57JRS et plus récemment le 30R Blaser. Chapuis, avec son express « Progress », propose également une arme à canons courts, pour le tir rapide «au jeté» en calibre 444 Marlin.

La balle d’un poids de 15,59g, d’une vitesse de 732 m/s et d’une énergie initiale de 424 kgm convient bien pour le tir de battue, où les distances de tir ne sont jamais grandes.

Pour les safaris en Afrique, les fabricants allemands et autrichiens proposent des express dans les calibres 375 H & H et 458 Win. mag. Les armes dans les vieux calibres nitro express allant du 450 au 600 ne se font pratiquement plus.

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