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Les canons

Le canon est la partie la plus importante du fusil : c’est en effet de la qualité de sa fabrication que dépendra le tir. Le métal employé pour la fabrication des canons doit être non seulement résistant, mais élastique. On utilise l’acier demi-dur ou l’acier dur.

Les aciers extra-durs sont d’un « dressage » difficile et manquent d’élasticité.

Les aciers inoxydables, lancés par une aciérie autrichienne (1910), ont été presque abandonnés depuis la dernière Guerre.

L’intérieur du canon comprend différentes parties: le drageoir, destiné a recevoir le bourrelet de la cartouche; la chambre, où est placée la cartouche; le cône de raccordement de la chambre à l’âme; l’âme, constituée par la partie cylindrique du canon; le choke, avec son cône de raccordement qui le relie à l’âme.

Trois méthodes sont employées pour la fabrication des canons : celle des canonniers professionnels et celles des usines, qui fabriquent mécaniquement

– Première méthode : Dans un canon, les tubes sont plus épais au tonnerre qu’à la bouche, et par conséquent ont une forme conique. Le canonnier, utilisant des barres cylindriques, les fait refouler au diamètre voulu à une extrémité, puis,il procède au perçage, au reforage et a l’alesage, en laissant a la bouche une réserve de métal dans laquelle sera fraisé le choke.

Les tubes sont alors tournés et meulés. Par un usinage en queue d’aronde, le crochet (qui sert à fixer le canon sur la bascule) est fixé entre les tubes et brasé. Le canonnier ajoute alors les bandes inférieures et supérieures, les cales, la pièce d’appui du devant; après quoi, l’ensemble est brasé au cuivre ou soudé à l’étain.

L’ouvrier rabote ensuite l’extérieur du canon et, lorsque celui-ci a été basculé et le fusil équipé, il termine l’alésage intérieur en même temps qu’il fraise le choke.

– Deuxième méthode : Dans les fabrications en grande série, on utilise des barreaux qui sont percés, reforés et alésés à une dimension voisine de la cote finale.

La forme conique du tube et sa partie cylindrique destinées a entrer dans la frette sont obtenues sur des tours avec reproducteurs. Dans l’opération du tournage, on laisse en bout de tube une réserve de métal qui permet de réaliser le choke par rétreint; on rectifie ensuite l’extérieur du tube. Les machines « centerless » permettent de rectifier l’extérieur d’un tube avec une précision pouvant atteindre 0,02 mm.

La concentricité des parois des tubes est rarement réalisée, sauf dans les canons fins, fabriqués par des canonniers habiles ou dans des usines modernes bien équipées. Les deux tubes termines sont étames, puis soudes a l’étain ou au moyen d’un alliage a base d’argent dans une frette et relies par une entretoise en H épousant leurs profils et garantissant une solide absolue.

– Troisième méthode : Cette méthode moderne est utilisée pour les fabrications en grande série et nécessite des machines a forger complexes et très coûteuses. Il y a le forgeage a chaud et le forgeage a froid, mieux désigné par « martelage à froid ».

Les canons forgés sur ces machines automatiques offrent une qualité extrêmement régulière et sont les meilleurs

La crosse

Pratiquement aussi importante que le canon, la crosse joue un rôle essentiel. Une crosse mal adaptée est souvent à l’origine de problèmes; n’hésitez pas à mettre votre fusil à conformité, c’est à dire régler les 3 points de mesure ci-dessous, à votre morphologie.

Longueur :

La longueur se mesure de la détente avant au milieu de la plaque de couche. Elle varie de 360 mm à 365 mm pour les crosses standards, ce qui est insuffisant pour les chasseurs de grande taille, la longueur des bras étant en général en rapport avec la taille (2cm de plus que l’avant bras).

Pente :

La pente est l’inclinaison de la crosse par rapport au canon. Elle doit être en rapport avec la hauteur du cou; elle se mesure au busc et au talon de la crosse et varie, pour les crosses standards, de 36 à 38 mm au busc et de 60 à 65 mm à la plaque. Un fusil trop penté fait tirer bas, alors que le manque de pente fait tirer haut.

Avantage ou dévers :

L’avantage est la déviation latérale que présente la crosse par rapport à la ligne de visée. L’épaule et l’œil n’étant pas dans le même plan, il est indispensable que la crosse soit déviée vers la droite. Pour les gauchers, elle est déviée vers la gauche.

Les crosses sont généralement réalisées en noyer. Le noyer a l’avantage de ne pas se déformer avec l’âge.

Il existe 3 types de crosse :

– La crosse anglaise : Ligne droite elle est souvent employée pour les fusils de luxe

– La crosse demi-pistolet : Ligne légèrement arrondie, peu utilisée, mais se trouve classiquement dans les fusils anciens juxtaposé

– la crosse pistolet : Type de crosse la plus répandue elle permet un meilleur maintien de l’arme lors du tir.

Une crosse contient 5 grande partie :

– le nez
– le pied de nez
– le talon
– la pointe
– la plaque de couche

Fusil de chasse juxtaposé

Le fusil juxtaposé reste l’arme de chasse par excellence. C’est l’image même de la chasse. Sa fabrication est plus facile que les autres types de fusils de chasse car il se compose de peu de pièces. On pourra ainsi le trouver à des prix très abordables sans pour autant avoir un défaut de qualité. Mais de nos jours cette règle s’applique à de nombreuses armes de chasse. Cependant ne tombons pas dans l’excès car il existe encore de mauvais fusils. Cela se voit très vite sur de nombreux points.

Certains chasseurs lui reprocheront un manque de visibilité à cause de l’alignement des canons.

Les plus beau et plus chers fusils sont fabriqué en juxtaposé. Pour finir notons que l’on rencontrons principalement le fusil juxtaposé en calibre 16.

Fusil de chasse superposé

Le fusil de chasse superposé ne s’est développé qu’à partir des années 20-30. Avant, à cause des chiens, sa fabrication était impossible.

Sa conception à pu se faire suite à l’arrivée des fusils hammerless (fusil à chiens incorporés). Il fut lancé par les tireurs de pigeons qui trouvaient sa visée plus rapide et plus précise que les juxtaposés.

En fait il n’y a guère de différence entre les fusils de chasse juxtaposé et superposé au niveau de la précision si ce n’est qu’ils sont dotés de 2 bandes latérales de résistance égale, ce qui régularise la flexion du canon et améliore son réglage en hauteur.

Le fusil superposé est de nos jours le fusil le plus répandu.

Fusil de chasse semi-automatique

Le fusil de chasse semi-automatique est souvent improprement appelé fusil automatique (qui signifierait que l’arme tir en rafale!).

Le réarmement se fait pas la récupération du gaz produits par le tir de la cartouche précédente, mais aussi sur certains autres fusils comme les Benelli par culasse à inertie inventée par la firme du même nom. Les fusils ne peuvent tirer que 3 cartouches conformément à la loi. Il y a un bon nombre d’années ils pouvaient en contenir 5 voire plus.

L’utilisation de ce fusil de chasse est controversée. Les puristes y verront un non respect de la chasse…

Cependant plusieurs avantages sont à mettre au crédit de cette arme. Le premier avantage est la cadence de tir. Il est possible de tirer ces 3 cartouches en un temps très réduit. Un avantage certain pour les chasses aux canards ou encore aux gibiers migrateurs.
La présence d’un seul canon est aussi agréable lors de l’achat en raison de son prix car il est généralement inférieur à celui d’un fusil classique. L’on peut de plus disposer facilement d’un jeu de plusieurs canons

Il présente néanmoins plusieurs handicaps. Tout d’abord, le revers de la médaille, la présence d’un seul canon ne permet pas de sélectionner son plomb ni son choke. Il est d’autre part impossible de casser le fusil ce qui pose quelques problèmes, bien justifié, de sécurité. Longtemps un handicap le poids du fusil semi-automatique c’est considérablement réduit pour atteindre le même poids que les fusils de chasses classiques voire même plus léger.

Fusil de chasse mono-canon

Les fusils à un coup ou mono canon sont peu utilisés. Ils fonctionnent de la même façon que les superposés ou juxtaposés au détail prêt qu’il ne peuvent tirer qu’une seule cartouche.

Il procurent l’avantage d’être peu onéreux, légers et ont de bonnes performances. De plus souvent chambré en 76 ou 89 ils permettent de tirer des charges magnums de 50Grammes voir plus.

Leur utilité est très restreinte et ne peut servir que pour les chasses de gibiers d’eaux et palombes (ils sont appelé canardière mais leur poids devient alors lourd).

Fusil de chasse dit « à pompe »

Le fusil dit à pompe ou encore « riot guns » a pour vrai nom le fusil à répétion manuelle. Semblable extérieurement au fusil automatique il diffère cependant sur plusieurs points. Tout d’abord son réarmement se fait en actionnant une longuesse (ou pompe) qui par son aller et retour éjecte la cartouche tirée et réarme la suivante. Ils peuvent contenir plus de 3 cartouches dans leurs magasins.

On lui reprochera tout comme l’automatique son éthique face à la chasse.

Le fait de devoir actionner un mécanisme fait perdre du temps ainsi que la ligne de mire. Mais en réalité, puisque la ligne de mire est perdue, il faut reprendre sa visée et cela s’avère très profitable. On peut ainsi reprendre une visée saine.
Son mécanisme très simple lui permet de ne jamais s’enrayer. Enfin, son coût est encore inférieur à celui d’un automatique.

Ces fusils sont classés en 4ème catégorie il sont donc soumis à autorisation administrative.

Cerf élaphe

Le cerf élaphe, le plus grand de nos gibiers, est un animal sédentaire qui vit dans de nombreuses forêts de France; sa population varie suivant l’esprit de responsabilité des chasseurs. Les forêts privilégiées sont en général les grands massifs forestiers.

Caractéristique:

Le cerf pèse en moyenne 120 à 150 kg, avec des extrêmes de 90 à 200 kg, pour une taille de 1,20 m à 1,30 m au garrot. Il est pleinement adulte à 6 ans et peut vivre jusqu’à 18 ans. Sa tête est à son apogée à 10-12 ans. La biche est d’un tiers plus légère et dépasse rarement 100 kg, L’époque du rut dure de la mi-septembre au début octobre; à la fin de mai ou en juin, la femelle met bas un faon, très rarement deux, après une gestation d’environ 240 jours, Il naît un mâle pour une femelle (exactement 11 mâles pour 10 femelles); c’est pourquoi l’équilibre naturel des sexes doit être recherché, Le pelage, uniformément roux et ras en été, s’allonge à l’automne pour devenir gris-marron et très épais l’hiver, Les sens sont bien développés, l’ouïe et l’odorat servant une très bonne vue.

Comportement et reproduction:

Les biches, après s’être isolées pour mettre bas, rejoignent très vite les hardes formées de groupes familiaux, que conduit une vieille femelle. Dans ces hardes, on rencontre les daguets; de jeunes cerfs les accompagnent parfois. Les mâles adultes vivent en groupes d’âge et de forces équivalents pendant l’hiver, le printemps et l’été; ils ne se séparent qu’au moment de la « muse », fin août, quand les plus vieux commencent à rechercher les hardes. Dès le début du rut, vers le 15 septembre, on peut entendre le brame, cri rauque, profond et impressionnant. Seuls les cerfs adultes manifestent ainsi leur excitation. Les plus forts rassemblent le plus grand nombre de biches et interdisent leur approche à ceux de leurs congénères auxquels ils se sont imposés. Les combats violents ne se produisent qu’entre animaux de forces égales; ils sont assez rares et, en général, après de nombreuses menaces, coups dans les branches et le sol, le plus faible va tenter sa chance ailleurs. Il arrive cependant que les animaux aille jusqu’au combat. Le bruit crée par les bois qui s’entrechoque sont impressionnant. Les animaux se charge et essaye de visé les flancs de leurs adversaire avec leurs andouillers de masacre. Il peut même arrivé que les bois des 2 cerf s’emmèlent et les pauvre bête ne peuvent plus se séparé; elle meurent alors de fin et d’épuisement. la fin du brame, épuisés, les cerfs refont leurs forces et, reprenant leurs habitudes, se groupent de nouveau.

cerf élpaheAlimentation

Gros mangeurs, les grands cervidés causent des dégâts importants dans les bois et dans les cultures, où les hardes sortent régulièrement au gagnage. Friands de glands et de faines, ils se nourrissent en hiver de têtes de bruyères et de lierre, de feuilles de framboisiers, de ronces, de graminées et de légumineuses des clairières et des allées. Au printemps, ils broutent la bourdaine, le saule et les jeunes pousses d’arbres, de préférence chêne, acacia, charme.Ils sortent malheureusement beaucoup, dès le début de l’été, dans les champs de céréales et plus tard ceux de maïs; leurs dégâts, bien qu’indemnisés largement par les caisses de compensation des fédérations de chasseurs, suscitent chez les agriculteurs un légitime mécontentement… mais, avant l’extension des cultures céréalières de ces  dernières années, les paysans évitaient les cultures trop tentantes et laissaient les bordures en pâturage, où les dégâts sont minimes!

Les bois du cerf

bois du cerf élpaheAu mois de mars suivant sa naissance, le faon mâle, appelé hère, présente 2 protubérances osseuses, les pivots, qui, petit à petit, vont laisser pousser les premiers bois. Ceux ci, lisses, recouverts par une peau appelée velours, grandissent jusqu’à atteindre leur développement maximal au mois d’août, époque à laquelle l’os se solidifie. Le velours se dessèche et le jeune daguet «donne aux branches» en frottant ses perches pour les débarrasser de cette peau morte. Les dagues apparaissent alors, toutes blanches, et c’est par leur frottement prolongé sur les écorces des jeunes arbres qu’elles prennent leur couleur, variant du brun clair au brun foncé suivant les essences (par exemple bouleau ou sapin). Le jeune mâle finit de frayer au moment du brame, auquel il se mêle peu. Après avoir passé l’hiver avec les hardes de biches, il perd ses perches en mai et le processus de la mue annuelle commence.
Bois du cerf     Deux ou trois jours après la perte de ses bois, une mince peau cicatricielle recouvre l’emplacement, légèrement sanglant, des bois. Une dizaine de jours après, la 2e tête commence à pousser, portant cette fois-ci au dessus du pivot une meule, base du merrain. Au cours des années suivantes, le même événement se produit chaque fois plus tôt, le très vieux cerf perdant ses bois vers le 20 février, pour terminer sa tête à la fin juin. Les bois repoussent de plus en plus forts pour atteindre leur plénitude vers la 8e tête. Ils restent 3 ou 4 ans à leur apogée, puis, le cerf vieillissant, ils diminuent de puissance jusqu’à «ravaler» avec l’âge. Seules des dagues épaisses et perlées subsistent.
Mais l’homme laisse très rarement au cerf la chance de vivre aussi longtemps. La taille et l’importance de la ramure ne sont pas, contrairement à ce qu’on croit généralement, fonction de l’âge de l’animal. Elles sont le reflet de sa force et de sa puissance, ainsi que de la qualité et de la richesse du terrain
Un cerf de bonne venue, daguet à sa première tête, passera huit-cors à sa 2e tête et dix-cors jeunement à sa 3e, avec une empaumure naissante; un cerf médiocre restera huit-cors toute sa vie, avec des bois plus gros mais sans jamais d’empaumure. Notons que le quatre-cors est une forme très rare de mauvais cerf, En fait, il n’existe pas de règles dans la formation des bois.
Le nombre d’andouillers se compte toujours en chiffres pairs c’est-à-dire qu’un cerf qui porte six à gauche et cinq à droite sera un douze-cors. Il pourra n’en être qu’à sa 3e tête; c’est une erreur de croire qu’un quatre-cors est systématiquement une 2e tête, un huit-cors une 4e tête, etc. On doit respecter les cerfs dont les bois, grandissant en hauteur, favorisent la pousse d’empaumures puissantes, et éliminer les cerfs dont la tête ne laisse prévoir qu’une enfourchure. Par une sélection rigoureuse, on éliminera également les quatre et six cors à la 2e tête, de même que les cerfs sans empaumures à leur 4e tête, Enfin, on favorisera les bois largement ouverts, qui donnent les plus beaux trophées.

Griffon Nivernais

CARACTÉRISTIQUES :

Très rustique, plutôt sec, il est bâti pour travailler sur la durée plus que sur la vitesse. Sa tête est décharnée et légère, avec un crâne presque plat, une truffe très apparente et un peu de barbe. Ses yeux sont souvent foncés, avec un air vif, et ses oreilles sont souples, assez poilues et légèrement tournées à leur extrémité. La poitrine descend jusqu’aux coudes, avec un poitrail pas très large, le dos est allongé, le rein soutenu. Le fouet, pas très long, est porté en sabre et est plus espié vers le milieu. Le poil, long, hirsute et broussaillant, est assez dur, de différentes teintes de gris (de préférence gris de loup ou gris-bleu), ou fauve avec un mélange de poils noirs et blancs.

APTITUDES À LA CHASSE :

Autrefois employé pour le loup, très courageux, le griffon nivernais est aujourd’hui utilisé au renard, au chevreuil, et au sanglier, qui est sa grande spécialité. Fin de nez, excellent rapprocheur, mordant, il a un poil qui le protège des ajoncs, des épines ainsi que des intempéries. Autre particularité, il peut être employé en très petit nombre, ce qui n’est pas le moindre de ses avantages.

ALIMENTATION :

Ses besoins sont très raisonnables, sauf en période de chasse, où ils sont multipliés par deux. Il faut compter 420 g de viande par jour en temps normal, ou l’équivalent en aliment humide ou complet sec. Une alimentation équilibrée est nécessaire pour une bonne santé et de bonnes performances au travail.

Conseils :

Education : Il n’est pas plus difficile qu’un autre à dresser. Une éducation progressive est préférable et donne souvent des chiens plus équilibrés que ceux soumis à une méthode plus musclée.

En ville : Même s’il aime les hommes et s’entend bien avec les enfants, ce n’est pas un chien de compagnie, et il n’est vi aiment pas fait pour la ville ou l’appartement.

Le springer spaniel

Caractéristiques :

Il est le plus haut sur pattes de tous les spaniels. Il mesure au moins 50 cm. Compact, son corps n’est ni trop long ni trop court. Son crâne est de longueur moyenne, assez large, arrondi, montant à partir du chanfrein en marquant le stop, divisé par un sillon longitudinal entre les yeux. Le cou est fort et musclé, sans fanon. Sa robe est foie et blanc ou noir et blanc, avec éventuellement des marques feu.

Aptitudes à la chasse :

Taillé pour les terrains difficiles, ce chien ne marque pas d arrêt mais « bourre », pour faire partir le gibier. Cette particularité des spaniels permet d’employer le springer avec succès dans les buissons épineux, les ravins, les fossés, bref dans les endroits d’où l’on doit déloger le gibier pour le tirer. Le rapport est chez lui totalement inné.

Alimentation :

Ce petit chien pèse quand même 20 kg. De constitution robuste, il a besoin d’une bonne gamelle. Veillez à ce que ses repas soient équilibrés, la qualité est pour le moins tout aussi importante que la quantité. Il a tendance à mendier, travers qu’il faut à tout prix combattre.

Conseils :

Éducation

C’est le maître qui doit avant tout apprendre à chasser avec lui, car ce n’est pas un chien facile. Infatigable, passionné, il est capable de s’éloigner rapidement de son maître et de lever un gibier hors de portée. Il faut donc bien le prendre en main. Son intelligence lui permet alors de comprendre très vite ce qu’on attend de lui.

En ville

Ce petit chien sait rester tranquille, mais il a besoin d’exercice. Facile et joyeux, il s’adapte bien à la vie au foyer. Il a même un féroce besoin de compagnie.

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