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A bientot
 

Deux chasseurs possiblement morts de la maladie « du cerf zombie »

Aux États-Unis, une maladie étrange se propage parmi les cervidés et inquiète les autorités qui ne savent pas encore grand chose de cette pathologie. Une étude a récemment été publiée et les chercheurs ont travaillé sur l’hypothèse d’une transmission possible de la maladie « du cerf zombie » à deux chasseurs décédés à quelques semaines d’intervalle

La maladie du cerf zombie, qu’est ce que c’est?

Depuis plusieurs mois, les chasseurs, les gardes et les agents de terrain de différents services ont remarqué que les cerfs locaux semblaient être de plus en plus touchés par la maladie du cerf zombie. Cette pathologie a été ainsi baptisée car les symptômes et le comportement adopté par les animaux rappelle celui des zombies dans les films d’horreur.

Ces derniers maigrissent, deviennent agressifs, confus et salivent abondamment.

En réalité, ces symptômes sont causés par la maladie qui va affecter les protéines présentes dans le cerveau. Les maladies similaires les plus connues de ce type sont la maladie de Creutzfeldt-Jakob ou encore la vache folle.

Il n’existe pour le moment pas de vaccin ni de traitement contre cette maladie.

La maladie du cerf zombie potentiellement transmissible à l’homme?

Le rapport publié récemment sur une potentielle transmission entre l’animal et l’homme souhaite approfondir les connaissances sur le sujet et attirer l’attention des pouvoirs publics sur le sujet.

Pour ce faire, les chercheurs se sont appuyés sur le décès de deux chasseurs décédés qui auraient développé les mêmes symptômes.

Les deux chasseurs ont été chasser en 2022 dans le même lieu et ont consommé la même venaison avant que les symptômes de leurs maladies ne se déclarent. L’un des deux chasseurs, âgé de 72 ans, est décédé après avoir déclaré les premiers symptômes de la maladie à savoir une agressivité excessive, une forte agitation et des crises de convulsions.

Si le corps médical avait jusqu’ici déclaré qu’il s’agissait de la maladie de Creutzfeldt-Jakob, l’apparition de la même maladie dans la mort de deux chasseurs qui avaient potentiellement été en contact avec des cervidés infectés lors de leur séjour de chasse a mis la puce à l’oreille des chercheurs.

Dans un contexte ou la maladie du cerf zombie apparaît être en forte augmentation, il n’est pas impossible que la maladie ait pu se transmettre de l’animal à l’homme.

La mise en lumière de ces deux cas va forcément orienter les chercheurs vers une surveillance accrue de cette maladie et il faudra pouvoir déterminer si oui ou non, la transmission inter-espèces est possible ou non.

[Vidéo] Une grosse pierre coincée entre les bois d’un brocard

Le brocard est un animal très prisé d’une partie des chasseurs de grand gibier passionnés des différentes coiffes que ce dernier peut porter au cours de sa vie.

Les plus gros, les têtes bizardes, les velours, les assassins, on retrouve tout un panel de possibilités qui rendent ce gibier si fascinant.

A lire aussi : Un trophée de chevreuil incroyable!

Si les détails surprenants qui font que l’on s’arrête sur les bois d’un brocard sont en général inhérentes à la pousse de ces derniers, le brocard dans la vidéo ci-dessous a un petit truc en plus qui ne vient pourtant pas de lui.

Difficile de savoir comment, mais la bête a réussi a coincer une grosse pierre entre ses bois et se promène donc partout avec.

Haies, restauration de mares, les chasseurs du Lot au chevet de la biodiversité

En ce début de printemps les chasseurs du Lot mènent de nombreux chantiers en faveur de la biodiversité, c’est également l’occasion de faire le point sur ceux réalisés en 2023 lors de l’assemblée générale de la fédération.

En 2023 ce sont 15 chantiers participatifs de plantation de haies qui ont eu lieu sur 15 communes. 930 arbres ont été plantés avec l’aide de 422 bénévoles dont 176 écoliers. « Toujours sur la base de chantiers participatifs, ce sont une cinquantaine d’arbres fruitiers de variétés anciennes qui ont été plantés. Nous doublons cette démarche par des semis au sol de plantes mellifères pour les abeilles et les pollinisateurs » explique la fédération.

Mais ces actions en faveur de la biodiversité ne s’arrêtent pas là, l’année dernière les chasseurs Lotois ont également restauré 7 mares à l’abandon le long de la trame bleue du territoire. Ces mares sont d’une très grande utilité pour toute la faune et la flore, de la plus petite à la plus grande qui pourra s’y abreuver ou s’y reproduire.

Bravo les chasseurs !

[Vidéo] Le patou arrive dans les plaines de Haute-Marne

L’arrivée des patous en montagne a pu créer par le passé quelques problèmes avec les promeneurs mais cette fois, c’est également en plaine que les éleveurs ont besoin de ces chiens de défense.

En Haute-Marne, les éleveurs doivent aussi composer avec la présence du loup dans les plaines et par conséquent, ils mettent en place toutes les mesures de protection nécessaires.

A lire aussi : Un éleveur attaqué en justice par une randonneuse mordue par des patous a été relaxé

Les patous sont donc associés avec les troupeaux dans les plaines ce qui oblige les éleveurs à communiquer auprès des promeneurs qui risquent de passer près de leurs terres.

Dans un reportage de France 3 Grand Est, une éleveuse explique le comportement à adopter pour les promeneurs s’ils passent près d’un troupeau et demandent à ces derniers de se comporter correctement. Le patou est un chien de travail et pas un chien que l’on peut cajoler si on croise son chemin, il faut en être bien conscient pour éviter un potentiel accident.

Un partenariat entre les chasseurs et la gendarmerie a été signé dans les Hautes-Pyrénées

Ce jeudi 25 avril, gendarmes et chasseurs des Hautes-Pyrénées ont signé un partenariat avant la création d’une sorte de brigade verte. Les chasseurs seront une source importante de renseignements pour les militaires.

Une nouvelle brigade de gendarmerie dédiée à la protection de l’environnement.

D’ici deux ans, une nouvelle brigade territoriale devrait voir le jour dans les Hautes-Pyrénées et qui devrait avoir pour spécialité la protection de l’environnement. Une mission relativement nouvelle pour des gendarmes car il s’agit plutôt d’une compétence attribuée aux agents de l’OFB plutôt qu’à la gendarmerie.

Néanmoins, comme l’indique le Colonel Pierre Simon dans les colonnes de La Dépêche, il s’agit d’une « volonté du ministre de l’intérieur d’avoir une gendarmerie verte ».

Afin de préparer au mieux leurs actions sur le terrain, les militaire entament donc le dialogue avec les différents acteurs locaux comme les pêcheurs, les chasseurs, les piégeurs, les agents de l’OFB, etc.

Les chasseurs reconnus pour leur rôle de sentinelle.

Pour aider les gendarmes dans leurs missions quotidiennes, les chasseurs sont un partenaire de choix. Ces derniers sont toujours sur le terrain et connaissent parfaitement les territoires.

Bien évidemment, ce partenariat n’a pas pour but de permettre aux chasseurs d’intervenir en cas de situation délictueuses. C’est à des fins de renseignements que la gendarmerie et la Fédération des chasseurs ont signé une convention de partenariat.

Les chasseurs joueront donc le rôle de sentinelle sur le terrain et pourront faire remonter des informations en cas de braconnage, de dépôts sauvages, de pollution, de coupes rases, etc.

Les sociétés de chasse impliquées dans le projet auront un référent au sein de la brigade qui pourra alors centraliser les informations dans le but de proposer une intervention rapide selon la nature des faits.

Si ce partenariat semble une bonne chose à l’échelle locale, on peut tout de même se demander si une telle brigade ne risque pas de faire doublon avec l’OFB.

Les derniers mouvements menés par les agriculteurs ont beaucoup ébranlé l’Office Français de la Biodiversité et ses agents qui se sont sentis désavoués par le gouvernement. La création d’une telle brigade ne pourrait-elle pas être perçue comme une expérience permettant de voir si la compétence de police de l’environnement ne peut être transférée à la gendarmerie?

Même si ce n’est pas le cas, il apparaît tout de même clair que cette brigade va marcher en partie sur les plates-bandes des agents de l’OFB qui ne verront certainement pas d’un très bon œil le développement d’une telle brigade.

[Vidéo] Dans les forêts Wallonnes, l’obligation de tenir son chien en laisse c’est toute l’année

L’obligation de tenir son chien en laisse a fait réagir de nombreux internautes dernièrement puisque pendant quelques temps, à partir du 15 avril, les promeneurs doivent tenir leurs chiens en laisse une fois en forêt.

Cette obligation n’est pas une règle prise pour ennuyer les gens mais parce qu’il est nécessaire de respecter l’environnement dans lequel les promeneurs se trouvent ainsi que l’environnement.

A lire aussi : [Vidéo] Quand tu as deux chiens de chasse mais qu’ils ont un peu de mal…

Une vidéo a été postée récemment par le Service Public de Wallonie pour informer le public de cette obligation.

Bien évidemment, il existes quelques exceptions comme pour les propriétaires forestiers ou les chasseurs mais cette distinction risque bien d’encore une fois faire réagir.

Les pêcheurs Québecois réclament le permis de pêche gratuit à partir de 65 ans

Comme les chasseurs, il est parfois bon pour les pêcheurs de regarder ce qu’il se passe au niveau international. La nouvelle concerne un pays Francophone bien qu’il soit outre-Atlantique mais malgré la distance, elle risque de faire tomber de leurs chaises plusieurs pêcheurs Français et notamment nos retraités.

Un permis de pêche gratuit pour les séniors.

Quand on pense aux voyages de chasse et de pêche, difficile de ne pas penser aux USA ou au Canada. Le Québec, province très attrayante pour nos activités favorites est une terre ou les innovations sont régulières, qu’il s’agisse de matériel ou de réglementation.

Dernièrement, ce sont des pêcheurs du Québec qui se sont interrogés sur le prix du permis de pêche dont ils doivent s’acquitter.

Cette interrogation leur est venue du fait que certains d’entre eux se sont rendu en Ontario pour pêcher, et quelle ne fut pas leur surprise quand on leur a annoncé qu’à partir de 65 ans, ils pouvaient pêcher gratuitement.

Dans d’autres provinces, les tarifs sont également bien inférieurs à ce qu’ils paient au Québec comme un permis annuel à 5,50$ en Colombie-Britannique ou 6,80$ en Nouvelle-Écosse. D’autres provinces proposent également le permis gratuit comme Alberta, ou le Saskatchewan.

A lire aussi : [Vidéo] L’immense joie dans les yeux d’un enfant qui pêche son tout premier poisson

Ces tarifs attractifs pour les plus de 65 ans a été très bien perçue par les pêcheurs en vadrouille qui ont finalement cotisé toute leur vie auprès des institutions locales et se voient donc récompensés pour leurs vieux jours.

Les pêcheurs ont entamé des démarches mais sans convictions pour le moment.

Comme le rapporte le Journal de Québec, un des pêcheurs concernés a tenté de contacter le député local ainsi que le ministre de l’Environnement Québecois. Pour le moment, il semble que ses missives soient restées sans réponse concrète mais il ne désespère pas qu’un jour, sa demande soit étudiée.

Le prix de permis de pêche est de 19,71$ au Québec, ce qui peut paraître relativement peu pour nous qui payons 110€ (soit 161,55 $ Canadiens) pour une carte de pêche nationale en moyenne sans compter que, parfois, les pêcheurs s’acquittent d’une cotisation supplémentaire selon les associations.

Difficile de savoir si les séniors Québecois auront gain de cause et pourront pêcher gratuitement mais ce qui est déjà sûr, c’est qu’une telle mesure ne verra probablement jamais le jour chez nous!

[Vidéo] Jour de chance incroyable pour ce lièvre happé dans une machine agricole

La mécanisation de l’agriculture a causé bien des dégâts pour la biodiversité qui fait parfois les frais de certaines machines.

La technologie a permis de faire évoluer les pratiques et les agriculteurs sont toujours plus impliqués dans les sauvetages quand c’est possible.

C’est ainsi qu’on a vu arriver sur le terrain les drones équipés de caméras thermiques ou les dispositifs d’effarouchement permettant de faire fuir la petite faune avant le passage d’un tracteur.

Malheureusement, la technologie ne permet pas encore de sauver 100% des animaux qui risquent de rester gîtés jusqu’à l’arrivée des machines qui peuvent donc les avaler.

C’est ce qui est arrivé à ce lièvre qui a beaucoup de chance car il se retrouve happé dans la trémie d’une moissonneuse mais va réussir à en sortir indemne grâce à la réactivité du conducteur de l’engin.

@martin…sp

🐇

♬ sonido original – Martín SP

Cinq communes d’un département Français autorisent le tir des chiens errants

Depuis le 10 avril 2024, 5 communes de l’Aveyron autorisent le tir des chiens errants de 20h à 8h du matin pour faire face à « l’ampleur des constats de dommages sur les troupeaux domestiques établis ces derniers mois » et « dont la conclusion n’écarte pas la responsabilité du loup ».

Cet arrêté préfectoral pour le moins surprenant a une durée effective de 1 mois et prendra fin le 10 mai prochain, d’ici là, les propriétaires de chiens fugueurs ont intérêt à garder un œil sur leurs animaux.

Les 5 communes concernés sont La Couvertoirade, L’Hospitalet-du-Larzac, Nant, Sainte-Eulalie-de-Cernon et Saint-Jean-et-Saint-Paul. Sur ces dernières, les agents de l’OFB et les lieutenants de louveterie uniquement pourront procéder au tir par balle des chiens qui sont considérés en divagation, mais quand un chien est-il considéré ainsi par la loi ?

Est considéré comme en divagation tout chien « en dehors d’une action de chasse, de la garde ou de la protection du troupeau », s’il « n’est plus sous la surveillance effective de son maître », s’il « se trouve hors de portée de voix de celui-ci ou de tout instrument sonore permettant son rappel » ou s’il « est éloigné de son propriétaire ou de la personne qui en est responsable d’une distance dépassant 100 mètres ».

Les associations de protections animale sont déjà montées aux créneaux, et, une fois n’est pas coutume, on doit avouer qu’il y a de quoi. Même si on ne doute pas du sérieux des agents de l’OFB et des lieutenants de louveterie qui ne tireront que sur des animaux formellement en train d’attaquer les troupeaux, la mesure prise par la préfecture laisse songeur.

Dans les Vosges, la réintroduction du Grand Tétras divise

En quelques jours, le Grand Tétras est passé d’un relatif anonymat à un sujet de discussion qui cristallise l’attention de nombreux acteurs. Alors que la préfecture a annoncé un grand plan de sauvetage de l’espèce dans le Massif des Vosges, certains essaient de tuer le projet dans l’œuf.

Le Parc Animalier de Sainte-Croix annonce être pour le plan de sauvetage du Grand Tétras.

Dernièrement, plusieurs associations écologistes locales ont annoncé qu’un recours allait être déposé pour empêcher le projet d’être mené à bien.

Selon ces associations, les conditions ne sont pas réunies pou que le Grand Tétras puisse être réintroduit dans le massif des Vosges et il faut d’abord réaliser un travail de fond avant de penser à déplacer des individus depuis la Norvège pour repeupler le département.

Cette prise de position n’est pas partagée par tous les acteurs locaux et le Parc Animalier de Sainte-Croix a publié un communiqué dans ce sens. La présidence du parc demande à ce que le Tétras ne soit pas « l’arbre qui cache la forêt ».

Par cette expression, le parc veut faire comprendre à tous que le Grand Tétras n’est pas la seule espèce qui pourrait bénéficier des actions qui seraient mises en place dans le cadre du projet. Ce dernier prévoit en effet d’améliorer l’habitat de l’oiseau mais aussi de trouver des solutions pour éviter que certaines parcelles de forêts ne soient trop fréquentées ni exploitées.

« Faire parler du tétras lui apporte une visibilité considérable en tant qu’espèce « parapluie » et permet d’aborder des sujets cruciaux en matière de biodiversité. C’est un projet mobilisateur et fédérateur pour le massif. Le tétras ne doit pas être l’arbre qui cache la forêt. D’autres habitats et d’autres espèces ont besoin de la même attention que celle portée à ce magnifique oiseau. »

Le projet autorisé mais en danger.

Les recours déposés contre le plan de sauvetage du Grand Tétras par les cinq associations mettent grandement en péril le projet qui a pourtant été approuvé en amont par les autorités après plusieurs mois de travail.

Un recours a été déposé en justice devant le tribunal administratif de Nancy et un second devant les autorités Norvégiennes d’où plusieurs Grands Tétras devaient être acheminés.

Il faut désormais attendre que les différentes administrations se prononcent sur l’affaire mais il reste incompréhensible qu’une poignée de militants puissent influencer à ce point un projet qui pourrait bénéficier à de nombreuses espèces uniquement parce que pour eux et pour quelques scientifiques, il serait trop ambitieux en ce qui concerne l’espèce visée.

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