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[Vidéo] Un beau petit brocard complètement alcoolisé

Le phénomène des chevreuils ivres revient tous les ans et chaque fois que la période arrive, de nombreuses vidéos apparaissent sur les réseaux sociaux.

Cette fois, c’est apparemment lors qu’une balade en forêt que la personne qui a pu prendre ces quelques images est tombée sur un brocard passablement alcoolisé.

Sa consommation de bourgeons lui a manifestement joué des tours et il lui faudra donc plusieurs heures pour se remettre de son ivresse.

Si jamais vous tombez sur l’un de ces chevreuils ivres, laissez le simplement récupérer et ne l’emmenez pas directement chez le vétérinaire, il a simplement besoin de reprendre ses esprits. Vous pouvez veiller sur lui pendant quelques temps comme a pu le faire l’auteur de cette vidéo mais il n’y aucune raison de stresser l’animal en l’emportant avec vous.

C’est la meilleure des réactions à avoir si vous tombez sur un animal sauvage.

@28eddychesneau

♬ son original – ChesneauEddy

Durant les Saints de Glace, attention à votre potager!  

Chaque année, au mois de mai, un événement météorologique traditionnel attire l’attention des jardiniers avertis : les Saints de Glace. Cette période, souvent associée à une baisse des températures et à un retour possible de fortes gelées doit inciter à la précaution pour protéger vos cultures. Les légumes du potager, les plantes et autres cultures peuvent être affectées par un gel tardif. Alors, comment prévenir les risques et comment réagir pour sauvegarder votre jardin ?

C’est quoi les Saints de Glace?

Les Saints de Glace, c’est une période spécifique bien connue des jardiniers qui a lieu chaque année à la mi-mai. Selon la tradition populaire, la période des Saints de Glace correspondrait à une baisse des températures susceptible de provoquer des gelées tardives. Durant ces quelques jours, il est conseillé de faire preuve de prudence et de protéger vos cultures au jardin.

Cette période doit son nom à trois Saints de l’Église Catholique : Saint Mamert, Saint Pancrace et Saint Servais.

Leurs fêtes se déroulent respectivement les 11, 12 et 13 mai de chaque année. S’il est vrai que les données météorologiques confirment souvent une baisse des températures à cette période de l’année, il est important de préciser que le risque de gelées n’est pas systématique et peut varier en fonction de votre région.

Prévenir les risques liés aux gelées tardives

Si vous êtes un jardinier passionné, vous savez à quel point il est important de protéger vos cultures des aléas de la météo. Pendant la période des Saints de Glace, il convient de redoubler de vigilance pour éviter que vos légumes et autres plantes ne soient endommagés par le froid.

La première chose à faire est de surveiller attentivement la météo. Si des gelées sont annoncées, il est recommandé d’agir et plusieurs solutions existent pour protéger vos cultures. Vous pouvez par exemple recouvrir vos plantations d’un voile d’hivernage. Ce dernier permet de créer une barrière contre le froid tout en laissant respirer la plante et vous assure ainsi une protection temporaire suffisante pour laisser passer la gelée.

D’autre part, si vous avez la possibilité de rentrer certaines de vos plantes à l’intérieur, n’hésitez pas à le faire. Les légumes de saison comme les tomates ou les courgettes seront particulièrement sensibles au froid.

Comment réagir si votre potager a subi une gelée ?

Malgré tous vos efforts, il se peut que votre jardin ne subisse malgré tout une gelée durant la période des Saints de Glace. Fort heureusement pour vous, tout n’est pas perdu.

Dans un premier temps, il sera important d’évaluer les dégâts. Certaines plantes peuvent en effet résister à un léger gel, d’autres en revanche, risquent de ne pas survivre. Dans ce cas, il sera nécessaire de retirer les parties endommagées par le gel pour éviter que le reste de la plante ne souffre de la présence des parties mortes. Ensuite, prévoyez de pailler le sol de votre potager dès la première gelée, cela permettra d’isoler la terre du froid et d’aider les cultures à se remettre plus rapidement. Enfin, n’oubliez pas d’arroser lorsque les températures remontent car l’eau contribuera à réchauffer le sol.

Même si les Saints de Glace peuvent représenter une menace pour votre jardin, sachez que des solutions existent pour limiter les dégâts. Il suffit souvent d’un peu de vigilance et de quelques gestes simples pour préserver vos cultures.

N’oubliez pas que le jardinage est une activité qui demande de l’adaptabilité. Chaque année, la météo nous réserve des surprises. À nous de savoir y réagir de la meilleure des manières. Alors, amis jardiniers, ne baissez pas les bras face à Saint Mamert, Saint Pancrace et Saint Servais!

Avec un peu de préparation, vos légumes de saison sortiront vainqueurs de cette période de froid. Gardez à l’esprit qu’en jardinage comme à la chasse, rien n’est jamais définitif. Chaque échec est une leçon de plus pour l’année suivante.

Restez vigilants et à nous les délicieuses salades de laitues ou de tomates pour accompagner les saucisses de sangliers et autres brochettes de chevreuils que nous dégusterons cet été!

[Vidéo] Un loup attrape un sanglier en pleine ville

Le loup approche de plus en plus des villes et villages dans toute l’Europe. Si les pro-loups réfutent cet état de fait en affirmant qu’il ne s’agit que de quelques exception, les nombreuses vidéos qui en attestent laissent penser le contraire.

Dans la ville de San Polo dei Cavalieri, une commune de la métropole de Rome, des riverains ont pu assister à une nouvelle incursion du loup dans les rues italiennes.

A lire aussi : [Vidéo] Un chien aux prises avec deux loups venus attaquer un veau dans une ferme

Le loup n’est pas le seul animal à investir les zones urbaines d’Italie car les sangliers font eux aussi de plus en plus acte de présence à proximité des maisons.

Cette situation a donné lieu à un acte de prédation au beau milieu de la ville et des habitants ont pu filmer un loup en pleine bataille avec un sanglier qu’il tentait de maîtriser pour en faire son prochain repas.

En Haute-Loire, les chasseurs ont décidé de ne plus tirer la perdrix grise

La chasse du petit gibier connaît de nombreux déboires depuis quelques années. La passion des chasseurs pour cette pratique est pourtant restée intacte et ces derniers se mobilisent à 100% pour que le gibier revienne dans nos campagnes.

Interdiction de tirer la perdrix grise pendant deux ans.

C’est durant l’assemblée générale des chasseurs de Haute-Loire que la décision prise par la Fédération a été partagée aux chasseurs du département.

Le nouveau schéma départemental de gestion cynégétique inclus désormais une partie importante au renfort des populations de perdrix grises, grandes perdantes des changements connus dans nos campagnes sur les dernières décennies.

Si auparavant, les compagnies foisonnaient dans la plaine, ce n’est aujourd’hui plus du tout le cas.

La baisse des couverts, l’agriculture intensive, le changement climatique, la présence toujours plus importante du sanglier dans les plaines, les prédateurs, etc. sont autant de raisons qui ont poussé les chasseurs à se mettre au chevet de l’oiseau.

Pour mettre en place un plan de sauvegarde de l’espèce sur le territoire, les chasseurs ont donc décidé de ne plus du tout réaliser de prélèvements durant au moins deux saisons. Cette suspension de la chasse à la perdrix grise ne pourra intervenir que si des résultats significatifs sont constatés, sans quoi, l’interdiction sera renouvelée par la Fédération.

40.000 euros débloqués en faveur de la perdrix.

La Fédération veut se donner les moyens de réussir et a annoncé qu’une enveloppe de 40 000 euros allait être débloquée en ce sens.

Plusieurs lâchés d’oiseaux reproducteurs seront menés dans les mois et années à venir, ce qui fait suite aux actions déjà menées auparavant.

Malgré les différentes tentatives de réintroduction de reproducteurs, aucune hausse réelle des populations n’ont été constatées sur le terrain malgré des quotas de prélèvements drastiques.

Aujourd’hui, le but est de remettre sur les rails une espèce qui semble ne pouvoir compter que sur les chasseurs.

Plusieurs ACCA ont décidé de mener l’aventure et de s’investir dans ce projet d’envergure qui vise dans un premier temps à rétablir 400 couples de perdrix grises de manière pérenne sur certains territoire et de pouvoir s’assurer de la viabilité d’une population de perdrix rouge sur la durée.

[Vidéo] Humour : quand François l’Embrouille tente une carrière d’armurier véreux

L’acteur François Damiens a été rendu célèbre par ses nombreux rôles au cinéma mais pour certains, difficile de l’oublier dans ses caméras cachées pour lesquelles il va créer le personnage de François l’Embrouille.

Il se retrouve alors dans différents contextes ou il joue le rôle de faux dentiste, tatoueur ou encore boucher.

A lire aussi : [Vidéo] L’amour est vraiment dans le pré (humour!)

Lors de ces caméras cachées, il joue de son incompétence et d’une confiance en lui à toute épreuve qui agace parfois au plus haut point ses interlocuteurs.

Quand il décide de tenir une armurerie, les choses vont forcément déraper et les clients vont se retrouver pris au dépourvu, surtout lorsqu’ils se rendent compte que l’armurier en question n’est pas du tout quelqu’un de confiance!

[Vidéo] L’étonnante vidéo d’un sanglier « scalpé » fait le buzz sur les réseaux sociaux

Le sanglier est un animal extrêmement résistant mais cette fois, les choses vont surement un peu trop loin. Malgré de violentes blessures, les sangliers sont capables de continuer leur chemin et de guérir sur la durée de façon parfois surprenante.

Dans cette vidéo, on peut observer un sanglier qui semble avoir été littéralement scalpé. Il lui manque le haut de la boite crânienne et grâce aux images capturées par un piège photographique, il est possible de voir ce qu’il se passe à l’intérieur.

A lire aussi : [Vidéo] Un sanglier contre-miré filmé par un piège photographique

Difficile de savoir ce qui a pu arriver à cet animal mais vu la netteté de la blessure, il est fort possible que le sanglier soit passé dans l’outil d’une machine agricole.

Attention, les images qui suivent peuvent s’avérer difficiles à regarder, nous conseillons donc vivement aux âmes sensibles de s’abstenir.

@andersonaragoni Animal bruto e extremamente resistente! Na metade do vídeo ele se aproxima da câmera, e podemos observar melhor. Temos registros dele pouco tempo antes, onde apareceu completamente saudável. Logo trarei mais imagens #vidaselvagem #javaliselvagem #javaporco #animaisselvagens #ceva #caça #caçada #caçador ♬ som original – Anderson Aragoni

Que faire si je trouve un jeune animal sauvage ?

Chaque année la question revient à la même période, c’est à dire entre avril et juin. En effet, c’est pendant ces mois de printemps que la grande majorité des mammifères et oiseaux mettent bas, c’est à dire donnent naissance à leur progéniture.

Si vous vous promenez en forêt ou dans les champs, il peut arriver que vous tombiez né à né avec un faon, un levreau ou alors un oisillon tombé du nid et vous vous demandez ce qu’il faut concrètement faire. Tout va dépendre de l’animal mais globalement le maître mot, même si cela peu paraitre surprenant, est… de ne rien faire. Voyons tout de même en fonction des types d’animaux.

Que faire si je trouve un oisillon seul ?

Si vous êtes dans un champ ou une friche et que vous trouvez un oisillon avec ou sans plumes il peut s’agir d’un perdreau ou d’un faisandeau, dans ce cas il n’y a absolument rien à faire car sa mère peut se cacher à quelques mètres sans que vous le sachiez. Reculez vous, changez d’endroit sans faire de bruit et si vous avez un chien, tenez le bien entendu en laisse. La poule viendra surement le récupérer.

Si vous êtes en forêt, dans un parc ou dans un jardin et que vous voyez un tout jeune oisillon avec ou sans plumes au pied d’un arbre il peut être tombé du nid, c’est alors l’un des rares cas ou vous pouvez peut-être le sauver. Regardez dans les basses branches alentours et vous verrez peut-être son nid, dans ce cas le prenez le délicatement, et sans vous blesser, remettez-le dans son nid. Les oiseaux ont beaucoup moins d’odorat que les mammifères et il ne devrait donc pas y avoir de rejet de la part des parents.

Oisillon tombé du nid

Que faire si je trouve un mammifère ?

Les jeunes mammifères que l’on trouve le plus fréquemment et qui posent le plus de problèmes sont les faons de chevreuils. En effet, il n’existe pas plus adorable qu’un faon et la tentation est souvent immense de la part des promeneurs qui tombent dessus de vouloir leur porter secours, au dépend de leur vie. Les chevreuils ont, à l’inverse des oiseaux, un odorat très développé et si une chevrette sent l’odeur humaine sur un petit de sa portée elle risque probablement de l’abandonner. Le conseil est donc de ne jamais toucher un faon avec les mains, et globalement un mammifère quel qu’il soit.

Comme un oiseau, sa mère est peut-être toute proche et le faon n’est pas abandonné mais découvre juste son environnement. Il peut cependant arriver que l’animal soit en danger, sur une route par exemple. Dans ce cas, il faut être pragmatique et choisir le moindre mal… Si vous avez des gants ou un plaid c’est l’idéal car vous pourrez saisir l’animal sans laisser trop de présence olfactive. Prenez le, positionnez le sur le bord en sécurité et… partez.

Si vous trouvez un lapereau ou un levreau ou même un hérisson, les consignes sont les mêmes : évitez de le toucher et il ne faut le déplacer qu’en cas de danger imminent.

Magnifique faon de chevreuil : ne pas y toucher !

Que faire si un animal est blessé?

Si un mammifère ou un animal est blessé il se peut en revanche qu’il ait besoin de vous, mais attention de bien le vérifier avant. Un animal nonchalant ou qui titube n’est pas forcément blessé, il peut simplement venir de naître.

Si vous trouvez en revanche un animal avec une aile ou une patte cassée vous pouvez délicatement le mettre dans un carton, sans lui donner d’eau ni à manger et contacter un centre de soin de la faune sauvage ou à défaut un vétérinaire mais cela n’est pas leur vocation première, vous vous en doutez. Pensez à prendre des gants (pour les rapaces notamment) et maintenez l’animal le plus possible dans l’obscurité, cela le calmera.

Pour finir sachez que si votre bon cœur vous amène à prendre soin d’un animal et qu’il se « retape » chez vous, la loi interdit de détenir quelconque animal sauvage. Certes, si vous gardez « panpan » à la maison, on ira pas vous dire grand chose, mais le problème se pose chaque année chez les particuliers par exemple qui ont décidé de garder dans leur jardins sangliers et autres chevreuils illégalement.

Jugée moins dangereuse qu’une balle, la Fédération de Loire-Atlantique souhaite le retour de la chevrotine

L’utilisation de la chevrotine a été interdit à la chasse pendant des années mais l’évolution des règles de sécurité font que cette munition retrouve peu à peu sa place dans certains départements. En Loire-Atlantique, la Fédération des chasseurs souhaite également le retour de la chevrotine dans leur département.

La chevrotine en battue considérée comme moins dangereuse qu’une balle.

En Loire-Atlantique, l’utilisation de la chevrotine pourrait de nouveau être autorisé à l’avenir sur demande de la Fédération des chasseurs.

Depuis plusieurs années, les chasseurs du département aimeraient pouvoir comme d’autres utiliser cette munition jugée moins dangereuse qu’une balle et qui donne de bons résultats si elle est utilisée correctement.

Les procédures de sécurité à la chasse ont largement évolué depuis l’interdiction de la chevrotine dans les années 80. Aujourd’hui, son utilisation se limiterait lors des tirs en battue à moins de 15 mètres. Cette courte distance de tir permet de s’assurer que l’animal ne sera pas juste blessé par quelques projectiles tout en limitant la possibilité d’un ricochet.

Interrogé par Ouest-France, Denis Dabo explique que cette décision serait une bonne chose :

« Nous le demandons d’abord pour des raisons de sécurité la chevrotine est moins dangereuse qu’une balle : elle peut tuer jusqu’à 150 m alors que la portée d’une balle peut aller jusqu’à 2000 m ! »

La chevrotine ne fait pas l’unanimité.

Difficile de mettre tous les chasseurs d’accord quel que soit le sujet abordé, mais en ce qui concerne la chevrotine, le débat est toujours clivant.

Certains aspirent à pouvoir utiliser cette munition dont l’usage est certainement justifié dans certains biotopes. Depuis quelques temps maintenant, l’utilisation de la chevrotine est autorisé dans les Landes ou en Corse et les résultats semblent plutôt prometteurs.

Pourtant, d’autres refusent en bloc le retour de la chevrotine considérée comme trop dangereuse et trop sujette aux ricochets. Pour les détracteurs de cette munition, même si les règles de sécurité sont respectées, ils est impossible de faire confiance à ces projectiles et préfèrent tirer une balle qu’ils seront certain de savoir à quel endroit elle sera placée.

A lire aussi : [Vidéo] A quelle distance la chevrotine peut être considérée comme « efficace »?

La question de l’efficacité de la chevrotine sur le sanglier fait aussi débat, des chasseurs estiment que le risque de blesser un animal est trop grand vis à vis d’un tir réalisé à balle, bien que l’utilisation de la chevrotine soit plébiscitée à courte distance.

Nuls doutes que la chevrotine n’a pas fini de faire parler d’elle dans les départements qui souhaitent son retour mais face à la prolifération des sangliers, peut-être bien qu’un jour cette mesure sera appliquée au niveau national.

Le Conseil d’État met à mort les chasses traditionnelles en interdisant définitivement la pante et la matole

Ce lundi 06 mai, le Conseil d’État a décidé de ne pas tenir compte des nombreux arguments des chasseurs qui souhaitaient conserver le droit de pratiquer les chasses traditionnelles de l’alouette à l’aide de pantes et de matoles. Par sa décision, la plus haute autorité juridique administrative Française vient d’interdire définitivement ces pratiques.

Le Conseil d’État n’a pas traîné pour briser les chasses traditionnelles.

La pilule passe difficilement pour les chasseurs du Sud-Ouest qui sont les premiers touchés par cette interdiction car c’est dans cette région que ces modes de chasse sont les plus pratiqués. Malgré tout, ce matin c’est toute la chasse Française qui est sonnée suite à cette interdiction rapide et lapidaire ordonnée par le Conseil d’État.

Bien que les chasseurs aux pantes et à la matole aient produit des études qui démontrent la sélectivité de cette chasse, que la FNC ait démontré que les dernières critiques émises par le Conseil lui même ont été prises en compte et que ces modes de chasse respectent les directives Européennes, l’institution a tout de même décidé de casser les arrêtés du 04 octobre 2022 qui encadraient de nouveau cette chasse.

Force est de constater que l’idéologie est plus forte que les faits car One Voice a une fois de plus remporté la bataille dans une affaire ou, le but est purement et simplement de nuire aux chasseurs.

On interdit donc aux chasseurs d’attraper des alouettes dans leurs filets, sachant qu’une partie peut se sauver ou être relâchée mais dans le même temps, on peut tout à fait tirer ce gibier au fusil.

Aujourd’hui, l’incompréhension et l’amertume sont les sentiments dominants pour tous les nemrods de France.

Des réactions sont à prévoir du côté des anti-chasse comme des chasseurs.

Le fait que le Conseil d’État puisse dire amen à une telle requête de One Voice va forcément pousser cette association ou d’autres à tenter de nouvelles actions contre d’autres modes de chasse. Demain, ce sera la vènerie, la chasse à la palombe, la chasse au gabion, et finalement ce sera la chasse dans son intégralité qui sera visée par les mêmes procédures.

Les chasseurs le savent et cette décision du Conseil d’État d’interdire ces chasses traditionnelles risque bien de déclencher une vague de contestation et des manifestations de chasseurs à quelques semaines des élections européennes.

L’heure est avant tout à la réflexion pour digérer cette nouvelle interdiction qui frappe le monde cynégétique mais malgré toutes les procédures suivies par les chasseurs et la FNC qui ont démontré le bien fondé de ces modes de chasse et le peu d’impact qu’ils ont sur les populations d’alouettes, le Conseil d’État juge tout de même que la tradition « ne suffit pas » s’appuyant donc davantage sur la forme que sur le fond du dossier.

Déjà ce matin, les chasseurs se disent prêts à se mobiliser en cas de manifestations organisées au niveau régional mais aussi au niveau National pour faire entendre leur désaccord.

Willy Schraen a annoncé dans un communiqué qu’il allait consulter les chasseurs de France pour décider de la suite à donner à ce dossier :

« Nous allons continuer le combat contre cette humiliation permanente du monde rural. Les textes européens et leur interprétation par le Conseil d’Etat, sont dorénavant un outil de destruction massive pour tous les ruraux qui vivent passionnément leurs traditions séculaires au cœur de leurs terroirs. Rien ne peut justifier cette privation méthodique de nos cultures et de nos libertés, hormis une volonté idéologique de nous voir disparaître. Je consulterai dans les jours qui viennent les chasseurs de France, pour décider de la suite à tenir sur
ce dossier majeur pour l’avenir de la chasse en général, car dorénavant plus rien ne peut empêcher d’autres chasses traditionnelles d’être attaquées sur les mêmes bases juridiques. Je remercie sincèrement les Fédérations, leurs salariés, l’équipe de la FNC et nos avocats, qui ont tout donné dans ce dossier. »

[Vidéo] L’évolution d’une blessure grave d’un cerf filmé par un piège photo au fil des mois

La nature est souvent magnifique mais elle sait aussi régulièrement se montrer impitoyable. Le moindre écart est payé au prix fort par les animaux et si le grand gibier pouvait prétendre à se remettre d’une blessure handicapante au fil des mois par le passé, le retour des prédateurs compromet sérieusement leurs chances de survie.

Dans les Pyrénées-Orientales, un cerf a pu être régulièrement observé sur les deux dernières années.

A la fin de l’année dernière, l’animal s’est apparemment blessé au sabot arrière gauche.

A plusieurs reprises, les pièges photographiques disposés dans la région ont permis de suivre l’évolution de la blessure de l’animal.

Cela ne l’empêche manifestement pas de vivre mais difficile de croire qu’un animal aussi handicapé ne puisse s’en sortir s’il devait croiser une meute de loups.

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