L’OFB vient de publier les prélèvements, ainsi que les attributions, pour la saison de chasse 2022/2023.
Cette année, les prélèvements des ongulés suivent des tendances variables selon les espèces. Les prélèvements du cerf élaphe, du chevreuil et du chamois continuent d’augmenter et atteignent une nouvelle fois des chiffres jamais enregistrés. Ceux du sanglier sont en baisse et passent sous la barre des 800 000 animaux tués. Ceux du daim et du sika sont en très forte diminution alors que ceux du mouflon et de l’isard, bien que fluctuants, semblent se stabiliser depuis une décennie.
Pour le cerf, avec une forte augmentation des réalisations (+ 8,4 %) par rapport à la saison précédente, les prélèvements dépassent pour la première fois les 80 000 animaux prélevés.
Pour le sanglier, avec une baisse de 6,3 % par rapport à la saison précédente, les prélèvements nationaux passent sous la barre des 800 000 animaux tués.
Pour le chevreuil, pour la deuxième année consécutive les prélèvements sont en légère augmentation (+ 1,4 %) et atteignent pour la première fois la barre des 600 000 animaux.
Pour le chamois, avec une hausse de 4,6 %, les prélèvements de cette saison atteignent un nouveau record historique dépassant ceux de 2016 et 2017.
Pour l’isard, les prélèvements de cette année sont en hausse (+ 3,3 %) pour la deuxième année consécutive mais globalement, depuis une dizaine d’années, on observe une stabilité du tableau de chasse pour cette espèce.
Pour le mouflon, pour la deuxième année consécutive les prélèvements sont en augmentation (+ 9,5 %) et le taux de réalisation passe de 68,2 à 74,5 %.
Pour le daim, cette année l’espèce est prélevée dans 42 départements et après quatre années d’augmentation, les prélèvements de cette saison sont en forte diminution (- 19,1 %).
Pour le cerf sika, cette année l’espèce est prélevée dans 6 départements. Les prélèvements diminuent très fortement (- 52,5 %) et passent sous la barre des 100 animaux tués.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .