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Cerf élaphe

Le cerf élaphe, le plus grand de nos gibiers, est un animal sédentaire qui vit dans de nombreuses forêts de France; sa population varie suivant l’esprit de responsabilité des chasseurs. Les forêts privilégiées sont en général les grands massifs forestiers.

Caractéristique:

Le cerf pèse en moyenne 120 à 150 kg, avec des extrêmes de 90 à 200 kg, pour une taille de 1,20 m à 1,30 m au garrot. Il est pleinement adulte à 6 ans et peut vivre jusqu’à 18 ans. Sa tête est à son apogée à 10-12 ans. La biche est d’un tiers plus légère et dépasse rarement 100 kg, L’époque du rut dure de la mi-septembre au début octobre; à la fin de mai ou en juin, la femelle met bas un faon, très rarement deux, après une gestation d’environ 240 jours, Il naît un mâle pour une femelle (exactement 11 mâles pour 10 femelles); c’est pourquoi l’équilibre naturel des sexes doit être recherché, Le pelage, uniformément roux et ras en été, s’allonge à l’automne pour devenir gris-marron et très épais l’hiver, Les sens sont bien développés, l’ouïe et l’odorat servant une très bonne vue.

Comportement et reproduction:

Les biches, après s’être isolées pour mettre bas, rejoignent très vite les hardes formées de groupes familiaux, que conduit une vieille femelle. Dans ces hardes, on rencontre les daguets; de jeunes cerfs les accompagnent parfois. Les mâles adultes vivent en groupes d’âge et de forces équivalents pendant l’hiver, le printemps et l’été; ils ne se séparent qu’au moment de la « muse », fin août, quand les plus vieux commencent à rechercher les hardes. Dès le début du rut, vers le 15 septembre, on peut entendre le brame, cri rauque, profond et impressionnant. Seuls les cerfs adultes manifestent ainsi leur excitation. Les plus forts rassemblent le plus grand nombre de biches et interdisent leur approche à ceux de leurs congénères auxquels ils se sont imposés. Les combats violents ne se produisent qu’entre animaux de forces égales; ils sont assez rares et, en général, après de nombreuses menaces, coups dans les branches et le sol, le plus faible va tenter sa chance ailleurs. Il arrive cependant que les animaux aille jusqu’au combat. Le bruit crée par les bois qui s’entrechoque sont impressionnant. Les animaux se charge et essaye de visé les flancs de leurs adversaire avec leurs andouillers de masacre. Il peut même arrivé que les bois des 2 cerf s’emmèlent et les pauvre bête ne peuvent plus se séparé; elle meurent alors de fin et d’épuisement. la fin du brame, épuisés, les cerfs refont leurs forces et, reprenant leurs habitudes, se groupent de nouveau.

cerf élpaheAlimentation

Gros mangeurs, les grands cervidés causent des dégâts importants dans les bois et dans les cultures, où les hardes sortent régulièrement au gagnage. Friands de glands et de faines, ils se nourrissent en hiver de têtes de bruyères et de lierre, de feuilles de framboisiers, de ronces, de graminées et de légumineuses des clairières et des allées. Au printemps, ils broutent la bourdaine, le saule et les jeunes pousses d’arbres, de préférence chêne, acacia, charme.Ils sortent malheureusement beaucoup, dès le début de l’été, dans les champs de céréales et plus tard ceux de maïs; leurs dégâts, bien qu’indemnisés largement par les caisses de compensation des fédérations de chasseurs, suscitent chez les agriculteurs un légitime mécontentement… mais, avant l’extension des cultures céréalières de ces  dernières années, les paysans évitaient les cultures trop tentantes et laissaient les bordures en pâturage, où les dégâts sont minimes!

Les bois du cerf

bois du cerf élpaheAu mois de mars suivant sa naissance, le faon mâle, appelé hère, présente 2 protubérances osseuses, les pivots, qui, petit à petit, vont laisser pousser les premiers bois. Ceux ci, lisses, recouverts par une peau appelée velours, grandissent jusqu’à atteindre leur développement maximal au mois d’août, époque à laquelle l’os se solidifie. Le velours se dessèche et le jeune daguet «donne aux branches» en frottant ses perches pour les débarrasser de cette peau morte. Les dagues apparaissent alors, toutes blanches, et c’est par leur frottement prolongé sur les écorces des jeunes arbres qu’elles prennent leur couleur, variant du brun clair au brun foncé suivant les essences (par exemple bouleau ou sapin). Le jeune mâle finit de frayer au moment du brame, auquel il se mêle peu. Après avoir passé l’hiver avec les hardes de biches, il perd ses perches en mai et le processus de la mue annuelle commence.
Bois du cerf     Deux ou trois jours après la perte de ses bois, une mince peau cicatricielle recouvre l’emplacement, légèrement sanglant, des bois. Une dizaine de jours après, la 2e tête commence à pousser, portant cette fois-ci au dessus du pivot une meule, base du merrain. Au cours des années suivantes, le même événement se produit chaque fois plus tôt, le très vieux cerf perdant ses bois vers le 20 février, pour terminer sa tête à la fin juin. Les bois repoussent de plus en plus forts pour atteindre leur plénitude vers la 8e tête. Ils restent 3 ou 4 ans à leur apogée, puis, le cerf vieillissant, ils diminuent de puissance jusqu’à «ravaler» avec l’âge. Seules des dagues épaisses et perlées subsistent.
Mais l’homme laisse très rarement au cerf la chance de vivre aussi longtemps. La taille et l’importance de la ramure ne sont pas, contrairement à ce qu’on croit généralement, fonction de l’âge de l’animal. Elles sont le reflet de sa force et de sa puissance, ainsi que de la qualité et de la richesse du terrain
Un cerf de bonne venue, daguet à sa première tête, passera huit-cors à sa 2e tête et dix-cors jeunement à sa 3e, avec une empaumure naissante; un cerf médiocre restera huit-cors toute sa vie, avec des bois plus gros mais sans jamais d’empaumure. Notons que le quatre-cors est une forme très rare de mauvais cerf, En fait, il n’existe pas de règles dans la formation des bois.
Le nombre d’andouillers se compte toujours en chiffres pairs c’est-à-dire qu’un cerf qui porte six à gauche et cinq à droite sera un douze-cors. Il pourra n’en être qu’à sa 3e tête; c’est une erreur de croire qu’un quatre-cors est systématiquement une 2e tête, un huit-cors une 4e tête, etc. On doit respecter les cerfs dont les bois, grandissant en hauteur, favorisent la pousse d’empaumures puissantes, et éliminer les cerfs dont la tête ne laisse prévoir qu’une enfourchure. Par une sélection rigoureuse, on éliminera également les quatre et six cors à la 2e tête, de même que les cerfs sans empaumures à leur 4e tête, Enfin, on favorisera les bois largement ouverts, qui donnent les plus beaux trophées.

Griffon Nivernais

CARACTÉRISTIQUES :

Très rustique, plutôt sec, il est bâti pour travailler sur la durée plus que sur la vitesse. Sa tête est décharnée et légère, avec un crâne presque plat, une truffe très apparente et un peu de barbe. Ses yeux sont souvent foncés, avec un air vif, et ses oreilles sont souples, assez poilues et légèrement tournées à leur extrémité. La poitrine descend jusqu’aux coudes, avec un poitrail pas très large, le dos est allongé, le rein soutenu. Le fouet, pas très long, est porté en sabre et est plus espié vers le milieu. Le poil, long, hirsute et broussaillant, est assez dur, de différentes teintes de gris (de préférence gris de loup ou gris-bleu), ou fauve avec un mélange de poils noirs et blancs.

APTITUDES À LA CHASSE :

Autrefois employé pour le loup, très courageux, le griffon nivernais est aujourd’hui utilisé au renard, au chevreuil, et au sanglier, qui est sa grande spécialité. Fin de nez, excellent rapprocheur, mordant, il a un poil qui le protège des ajoncs, des épines ainsi que des intempéries. Autre particularité, il peut être employé en très petit nombre, ce qui n’est pas le moindre de ses avantages.

ALIMENTATION :

Ses besoins sont très raisonnables, sauf en période de chasse, où ils sont multipliés par deux. Il faut compter 420 g de viande par jour en temps normal, ou l’équivalent en aliment humide ou complet sec. Une alimentation équilibrée est nécessaire pour une bonne santé et de bonnes performances au travail.

Conseils :

Education : Il n’est pas plus difficile qu’un autre à dresser. Une éducation progressive est préférable et donne souvent des chiens plus équilibrés que ceux soumis à une méthode plus musclée.

En ville : Même s’il aime les hommes et s’entend bien avec les enfants, ce n’est pas un chien de compagnie, et il n’est vi aiment pas fait pour la ville ou l’appartement.

Le springer spaniel

Caractéristiques :

Il est le plus haut sur pattes de tous les spaniels. Il mesure au moins 50 cm. Compact, son corps n’est ni trop long ni trop court. Son crâne est de longueur moyenne, assez large, arrondi, montant à partir du chanfrein en marquant le stop, divisé par un sillon longitudinal entre les yeux. Le cou est fort et musclé, sans fanon. Sa robe est foie et blanc ou noir et blanc, avec éventuellement des marques feu.

Aptitudes à la chasse :

Taillé pour les terrains difficiles, ce chien ne marque pas d arrêt mais « bourre », pour faire partir le gibier. Cette particularité des spaniels permet d’employer le springer avec succès dans les buissons épineux, les ravins, les fossés, bref dans les endroits d’où l’on doit déloger le gibier pour le tirer. Le rapport est chez lui totalement inné.

Alimentation :

Ce petit chien pèse quand même 20 kg. De constitution robuste, il a besoin d’une bonne gamelle. Veillez à ce que ses repas soient équilibrés, la qualité est pour le moins tout aussi importante que la quantité. Il a tendance à mendier, travers qu’il faut à tout prix combattre.

Conseils :

Éducation

C’est le maître qui doit avant tout apprendre à chasser avec lui, car ce n’est pas un chien facile. Infatigable, passionné, il est capable de s’éloigner rapidement de son maître et de lever un gibier hors de portée. Il faut donc bien le prendre en main. Son intelligence lui permet alors de comprendre très vite ce qu’on attend de lui.

En ville

Ce petit chien sait rester tranquille, mais il a besoin d’exercice. Facile et joyeux, il s’adapte bien à la vie au foyer. Il a même un féroce besoin de compagnie.

Le chien d’oysel allemand

Caractéristiques :

Le chien Oysel allemand pèse en moyenne une vingtaine de kilos. Le mâle mesure de 48 à 54 cm au garrot, contre 45 à 51 cm pour la femelle. Son corps est nettement long. La poitrine est profonde, bien descendue, et le ventre modérément relevé. Son museau est large et robuste, avec une truffe importante, brune. La couleur de sa robe est unicolore brun foncé, ou des tons rouge renard, brun rouan, tachetée de brun et de blanc, arlequin, ou tricolore.

Aptitudes à la chasse :

Cette race a été créée vers 1890 par Frédéric Roberth, un éleveur allemand. Plusieurs chiens de chasse à poil long de petite taille et de taille moyenne ont été utilisés pour les croisements. Spécialiste de la chasse de tous les petits gibiers, c’est aussi un bon sujet pour la chasse aux nuisibles tels les renards et les plus grands animaux. Il marque l’arrêt devant sa proie et est un bon rapporteur, doué pour la recherche du gibier blessé.

Alimentation :

Ce n’est pas un gourmand. Que vous optiez pour la ration industrielle (500 g de viande en moyenne) ou la ration ménagère, il conviendra de le nourrir une fois par jour, le soir de préférence, comme pour tout chien de chasse qui se respecte. Il faudra simplement veiller à lui donner une alimentation équilibrée, qu’il sera nécessaire.

Conseils :

Éducation

Ce chien de chasse est aussi un bon chien de compagnie, mais une éducation ferme est requise dès son plus jeune âge.

En ville

Il a besoin d’espace et d’exercice; la vie en appartement n’est pas un handicap, mais ce n’est pas un chien de canapé pour autant. Un brossage régulier est suffisant pour entretenir son poil. Par ailleurs, il convient de surveiller ses oreilles.

Rhodesian ridgeback

Caractéristiques :

Harmonieux dans sa silhouette, son crâne est plat, assez large entre les oreilles et doit être exempt de rides au repos. Sa fameuse crête dorsale présente, juste derrière les épaules, deux écussons ou couronnes en spirale. La forme de cet épi fait penser à une large épée (jusqu’à 5 cm), pointue. Elle va en s’effilant vers la croupe. La couleur de sa robe peut aller du froment clair au fauve rouge. La tête, le tronc, les membres et la queue doivent être de couleur uniforme. Un peu de blanc sur le poitrail et sur les doigts est admis.

Aptitudes à la chasse :

En Afrique du Sud, avant l’arrivée des colons néerlandais, il existait déjà une race de chien présentant une crête dorsale de poil implanté dans le sens contraire du reste de la robe. Ces chiens ont été croisés avec les chiens des Boers, les colons néerlandais, dès le XVIIe siècle. Quelques retrempes au fil du temps ont transformé ce chasseur de lions et de grands félins en chien de garde et de compagnie. Très répandu aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Allemagne et aux Pays-Bas, il est arrivé en France en 1977.

Alimentation :

Certains chiens dépassent le poids indiqué par le standard (de 30 à 40 kg). Aussi, il faudra adapter la ration en fonction du gabarit du chien. On peut fractionner ses repas en deux rations journalières, celle du soir étant la plus importante en quantité. Équilibrées et digestes, les croquettes ou l’alimentation humide lui conviennent parfaitement. Elles sont par ailleurs plus pratique d’emploi que la ration ménagère.

Conseils :

Éducation

Il est plutôt distant face aux inconnus, vigilant et possède un sens du territoire affirmé. Sûr de lui, il est d’un tempérament calme. Très attaché à ses maîtres, sans pour autant être pot de colle, il a la réputation d’avoir du caractère. Il faut donc l’éduquer en conséquence.

En ville

Il a besoin de beaucoup d’exercice; la vie à la campagne est donc recommandée. Son poil court et serré ne nécessite aucun entretien particulier et le met à l’abri des intempéries.

Labrador

Caractéristiques :

C’est un chien musclé, fortement charpenté, au crâne et à la poitrine larges qui donnent une impression de puissance. Son expression est caractéristique : elle exprime l’intelligence et la bienveillance. Son poil est également unique, court, dense et légèrement dur au, toucher, tandis que son sous-poil laineux est imperméable. Sa robe est de couleur unie, noire, foie ou jaune, et surtout sans taches. Sa taille peut varier de 50 à 60 cm pour un mâle.

Aptitudes à la chasse :

Ce retriever au sang froid sans égal ne se laisse jamais distraire de sa tâche. Le labrador cherche le gibier qu’il a vu tomber et dont il a repéré le point de chute, dans l’ordre de leur chute si deux oiseaux sont tombés. Pour le chasseur en battue, c’est le chien le plus indiqué. C’est aussi le chien favori des sauvaginiers. Capable de rester des heures auprès de son maître, il ira chercher à l’ordre les canards tombés dans l’eau froide ou les roseaux.

Alimentation :

On estime qu’un labrador sur trois souffre d’obésité. Pour prévenir ce risque, il vous faudra trouver rapidement la ration qui lui convient le mieux. Chien rustique, globalement, le labrador n’a pas besoin de plus de 400g de viande rouge par jour.
Conseils :

Éducation

Le labrador est probablement l’un des chiens de chasse les plus faciles à éduquer. Il apprend très vite et retient parfaitement ce qu’on attend de lui. Il faut toutefois veiller à travailler dans le bon sens, car il enregistre aussi aisément les mauvaises leçons.

En ville

Flexible : tel est le maître mot qui convient à ce chien que l’amour de la chasse et de la nature n’empêchent pas de s’adapter à la vie citadine, car il aime d’avantage ses maîtres que la nature. Mais attention, s’il ne voit personne de la journée, il sera très malheureux.

Golden retriever

Caractéristiques :

Physiquement, il rappelle le labrador, mais son corps est plus allongé, sa tête plus ronde et surtout son poil est ondulé et frangé. Robuste, il est bien proportionné, avec une poitrine bien descendue, des membres postérieurs forts et musclés. Sa robe supporte n’importe quel ton d’or ou de crème. On peut admettre quelques poils blancs (mais surtout pas de taches), uniquement au poitrail. Le golden mesure de 50 à 60 cm.

Aptitudes à la chasse :

Ses aptitudes sont proches de celles du labrador ; le golden retriever a lui aussi une passion pour l’eau, qui lui permet de rechercher le gibier dans les conditions les plus difficiles. Qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige, ce chien rustique, solide et puissant, est brillant sur le terrain, dans les marais comme dans les broussailles. Sa mémoire est excellente, ce qui lui permet d’aller rechercher le gibier dans l’ordre où il est tombé. On peut également le faire quêter, mais ce n’est pas sa spécialité.

Alimentation :

Il aura besoin d’environ 400 g de viande rouge par jour, ou de 500 g d’aliment complet sec. Pour éviter toute carence, préjudiciable à sa santé et à son travail, ou tout excès, qui pourrait conduire ce chien à l’obésité, préférez peut-être les aliments industriels, étudiés pour satisfaire tous les besoins du chien.

Conseils :

  • Éducation

Plus calme et plus sensible que le labrador, il faut l’éduquer avec doigté : son éducation peut progresser très vite à condition de ne pas le brusquer et d’user largement des récompenses. Ce chien doux et obéissant comprend en effet très vite ce qu’on attend de lui.

  • En ville

Il s’adapte facilement à la ville à condition que l’on s’occupe de lui. Il a besoin de grandes promenades pour se dépenser et la présence d’un jardin est préférable. Mais c’est un chien équilibré et patient, capable d’une grande douceur avec son entourage.

Flat-coated retriever

Caractéristiques :

Son expression est remarquable, vive et intelligente. Très gentil et gai, ce beau chien est puissant sans être lourd. Sa poitrine est bien descendue, assez large, l’arrière-train est musclé et les pieds ronds et forts. Sa tête est longue, son crâne plat et pas trop large. Son nez est de bonne taille, avec des narines bien ouvertes. Ses oreilles sont petites, serrées contre la tête. Son poil, dense, est frangé sur les membres et la queue et sa robe brillante peut être noire ou marron (foie). Ses yeux sont marron foncé. 11 mesure entre 56 et 61 cm.

Aptitudes à la chasse :

C’est le retriever le plus rapide lorsqu’on lui demande de quêter. Le plus nerveux dans sa catégorie, le flat-coated retriever est capable de véritables prouesses pour rapporter un gibier tombé dans le courant d’une rivière, par exemple. Ses effectifs sont en légère progression. Cependant, il mériterait d’être plus connu des chasseurs de notre pays.

Alimentation :

Ce chien rustique n’est pas difficile. Il est un peu enrobé, puisque conçu pour supporter les eaux glaciales, mais ne doit normalement pas dépasser 30 kg. Il faut compter 500 g d’aliment sec par jour ou 400 g de viande rouge, et plus en période de travail. Il est important pour sa santé et ses performances que sa gamelle soit équilibrée.

Conseils :

Éducation

Calme mais plein d’énergie, complice de son maître, il est tout disposé à apprendre à travailler pour lui faire plaisir. Cela est d’autant plus facile qu’il est intelligent et possède une bonne mémoire. Mais il reste joueur et un peu fantasque et doit être dressé en finesse.

En ville

Comme tous les retrievers, il vit bien à la maison. Mais son influx nerveux nécessite un exercice très fréquent.

Drahthaar

Caractéristiques :

Ce braque est distingué, énergique et son tempérament est vif. Son aspect rustique vient d’un poil dur, couché et dense, de foncé à brun moyen (marron mélangé de blanc, mélangé de clair, et grisonné) avec ou sans plages de couleur. Ses yeux sont le plus sombre possible. Il mesure entre 56 et 67 cm au garrot, et se caractérise par son aspect sec. Sa tête est de longueur moyenne, avec une forte mâchoire, une encolure bien dégagée, des oreilles pas très longues attachées haut. Son dos est court et droit, sa hanche est large, sa croupe longue, son flanc court et retroussé, son épaule oblique et son fouet raccourci.

Aptitudes à la chasse :

Ce chien d’arrêt est celui qui réunit le maximum de mérites. C’est l’étalon de ce que nos voisins d’outre-Rhin attendent d’un chien de chasse. Il reste toutefois un chien d’arrêt très apprécié chez nous, et même le plus répandu des braques. Énergique et obstiné, il est amoureux de l’eau et n’hésite pas à s’y jeter quel que soit le temps. Son poil rude le rend tout à fait adapté aux terrains difficiles, au bois ou à la montagne.

Alimentation :

Ses besoins sont assez importants, encore plus en période de chasse, où il faut quasi doubler sa ration. Une alimentation équilibrée est indispensable à sa forme et à ses performances

Conseils :

Éducation

Le drahthaar est un très bon chien de chasse, à condition qu’il soit bien dressé. Et son éducation demande un peu de patience et du savoir-faire. Pas d’inquiétude, cependant : le drathaar est réceptif à l’apprentissage.

En ville

C’est un chien qui peut vivre à la maison si on lui montre de façon précise où est sa place.

Le petit münsterländer

Caractéristiques :

Cet épagneul allemand, très élégant, mesure entre 50 et 56 cm au garrot (entre 60 et 62 cm pour le grand mûnsterlânder). Sa tête est sèche, avec un crâne pas très large et un stop marqué. Son museau est robuste, long et droit. Ses oreilles sont larges et attachées haut, collées à la tête. Sa poitrine est profonde. Ses pattes sont droites et frangées. La queue, avec un long panache, est horizontale. Sa robe est brun et blanc ou brun rouan. Son poil est de longueur moyenne, plat et un peu ondulé. Ses yeux sont bruns, aussi foncés que possible.

Aptitudes à la chasse :

Le petit épagneul de Munster n’est pas sans évoquer l’épagneul breton. C’est un excellent chien de chasse, participant en Allemagne à des épreuves complètes qui exigent du chien des qualités à l’arrêt des gibiers à plume ou à poil, au rapport, au pistage et à l’eau. La plaine, le bois, le marais, tout lui convient. Son flair est très fin, sa quête active ne le conduit cependant pas à s’éloigner de celui qui l’accompagne. Regroupant les qualités du spaniel et d’un chien d’arrêt, il chasse sous le fusil et est devenu en France un spécialiste de la chasse du lapin.

Alimentation :

Ses besoins alimentaires sont raisonnables : 300 g de viande par jour pour une ration ménagère, et quasi le double en période de chasse. Une alimentation industrielle, étudiée pour satisfaire les besoins de chaque animal en fonction de son âge, lui conviendra également.

Conseils :

Education

Il a du caractère et demande de la part du maître de la fermeté. Son intelligence en fait cependant un élève doué. Son éducation doit être méthodique et chaque point traité avec précision.

En ville

Gentil et affectueux avec ses maîtres, il s’habitue bien à la ville, mais il est préférable qu’il dispose d’un jardin pour se dépenser. Sinon, des balades régulières suffiront à son équilibre.

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