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A bientot
 

Plusieurs ruches et des milliers d’abeilles déversées sur l’autoroute suite à un accident dans les Bouches-du-Rhône

Ce lundi 06 mai, très tôt dans la matinée, un accident quelque peu insolite s’est déroulé à hauteur de Sénas, dans les Bouches-du Rhône. Plusieurs véhicules ont été impliqués dans l’accident dont un qui transportait des ruches.

Des ruches et des abeilles en pagaille sur l’autoroute.

Vers 07h du matin, un accident est survenu sur l’autoroute A7 dans lequel s’est retrouvé un véhicule qui transportait plusieurs ruches sanglées à une remorque.

Dans l’accident, les ruches se sont retrouvées fracassées en partie sur le bitume et les abeilles se sont déversées à même le sol.

C’est un cas de figure plutôt exceptionnel car l’intervention des secours et des agents de la route s’est retrouvée extrêmement complexe vu la quantité d’abeilles en furie qui se trouvaient dans la zone de l’accident.

A lire aussi : [Vidéo] Une nuée de frelons asiatiques dévore un lièvre

Les autorités ont été contraintes de couper la circulation le temps qu’une équipe spécialisée puisse intervenir.

En ce qui concerne les débris de ruches et les abeilles, des apiculteurs se sont rendus sur place pour débarrasser au mieux les lieux et permettre la reprise du trafic.

Toutes les ruches n’ont pas été détruites.

La perte est importante pour les apiculteurs qui sont forcément touchés par un tel accident mais fort heureusement, l’intégralité du chargement de ruches n’a pas été détruit dans l’accident.

Une partie des ruches est restée en place sur la remorque mais l’étendue des dégâts n’est pas connue pour autant.

Plusieurs ruches ont certes été détruites dans le carambolage mais avec un peu de chance, les apiculteurs qui sont intervenus rapidement pourront récupérer les essaims petit à petit.

Dangers du fauchage : comment éviter aux animaux de se faire tuer

Les premières fauches pour récolter du fourrage vont avoir ou ont déjà eu lieu en fonction des secteurs, il s’agit là de la saison de tous les dangers pour les animaux, chassables ou non.

Au moins 5% des surfaces cultivables en France sont en jachère (en fonction des années et des conditions climatiques) selon les règles de la PAC, elles constituent de vraies zones de quiétude pour la faune sauvage qui y trouve bien souvent le gîte et le couvert. Des normes entourent leurs dates de broyages ce qui évite en cette période de tuer de très nombreux grands et petits animaux, mais ce n’est pas le cas des prairies qui sont à vocation fourragère.

En effet, il existe un peu partout, de nombreuses parcelles où pousse tout simplement de l’herbe qui va être fauchée plusieurs fois l’année afin notamment de nourrir le bétail. Aucune législation n’entoure cette culture et actuellement, vont, ou ont déjà commencé, les premières fauches qui peuvent entrainer de très gros dégâts parmi les faisans, lièvres, perdreaux et chevreuils.

A lire aussi sur le même sujet – Fauchage : un drame pour le petit gibier

Nous sommes en pleine saison des naissances et les jeunes chevrillards d’à peine quelques jours n’ont pas encore conscience du danger, et devant le bruit d’une machine agricole, leur réflexe est de se figer, mettant grandement leur vie en péril. Une étude menée en Allemagne estime qu’environ 100 000 chevreuils sont ainsi tués chaque année par les engins de fauche, un désastre donc mais que l’on peut tenter de réduire si l’on s’en donne le temps et les moyens.

Utiliser des drones thermiques

C’est la solution qui se développe de plus en plus. Portée notamment par les fédérations départementales des chasseurs qui s’en équipent, l’utilisation de ces drones munies de caméras thermiques permettent de survoler d’importantes zones à la recherche de chevrillards. Les opérations sont souvent réalisées le matin ou les différentiels de température permettent une meilleure reconnaissance. Les chevrillards ainsi repérés peuvent être déplacés gentiment en dehors de la parcelle ou alors simplement matérialisés de façon à ce que lors de la fauche la zone où ils se trouvent soit évitée.

Cette technique demande des moyens humains et financiers mais apporte de très bons résultats sur les grands animaux.

Utiliser un chien d’arrêt

Une méthode moins connue du grand public que l’on doit directement aux chasseurs est l’utilisation de chiens d’arrêt. Le principe de se promener comme en action de chasse avec un ou plusieurs chiens dans une prairie juste avant que celle-ci ne soit fauchée afin de repérer les chevreuils mais aussi les couvées de faisans, perdrix et les lièvres. Cette méthode permet donc de sauver beaucoup plus d’animaux et s’avère relativement fiable grâce aux puissants odorats des chiens mais elles sera évidemment très longue… On ne « rabat » pas une prairie de plusieurs hectares en quelques minutes. Autre avantage, si un nid d’oiseaux est trouvé, les œufs peuvent être ramassés puis mis à couver pour ensuite relâcher de beaux faisans ou perdreaux naturels sur le territoire !

Utiliser des barres d’envol ou d’effarouchement

La barre d’envol est un outil agricole placé devant les tracteurs pendant qu’ils fauchent. Des chaînes lourdes et bruyantes battent le long d’un grand tube métallique pour effrayer le gibier. Cela permet notamment de faire envoler un animal qui couverait son nid, ou de faire fuir un chevreuil tout en alertant le conducteur du tracteur de la présence de celui-ci. Loin d’être fiable à 100% les barres d’envol permettent malgré tout de sauver de nombreux animaux et restent le moyen le plus simple et le moins coûteux. Souvent les fédérations des chasseurs, voire mêmes les ACCA, s’en équipent et les prêtent aux agriculteurs locaux. Cela ne coûte juste qu’un peu de temps pour atteler la machine.

Toutes ces méthodes sont mises en place par les chasseurs en faveur de la biodiversité, si de nombreux médias locaux relaient à présent ces actions elles restent encore trop méconnues du grand public qui pense que la chasse reste uniquement un loisir mortifère. Bien au contraire !

[Vidéo] Le renard aussi fait ses courses en pleine ville

On parle de plus en plus du loup et des sangliers en pleine ville mais assez peu du renard qui est pourtant lui aussi devenu un habitué des villes et villages.

Il affectionne tout particulièrement les zones rurales dans lesquelles il trouve facilement des basse-cours qu’il considère comme autant de potentiels garde-mangers.

A lire aussi : [Vidéo] Des renards aperçus près de Paris sur l’autoroute A13 fermée depuis quelques jours

Dans cette vidéo, on peut voir un renard qui poursuit une poule blanche jusqu’en dehors de la propriété dans laquelle il l’a probablement volée.

Le gallinacé n’a évidemment aucune chance face au goupil qui va le capturer de nouveau dès la clôture franchie et va s’enfuir avec son butin à travers les rues de la ville.

Le Préfet de l’Hérault sur le terrain pour faire la chasse aux lapins

Dans l’Hérault, le lapin est devenu la bête noire des agriculteurs au même titre que les sangliers. La situation est devenu difficile à tenir et a nécessité une intervention de grande ampleur qui a été supervisée directement sur le terrain par le Préfet lui même.

Les lapins devenus incontrôlables dans l’Hérault.

Plusieurs communes de l’Hérault comme Montpellier ont rendu la tâche difficile aux chasseurs qui se sont vu interdire de chasser sur plusieurs dizaines d’hectares.

Aujourd’hui le lapin cause de sérieux dégâts sur les cultures et les automobilistes voient désormais des centaines de lapins dans certains secteurs lors de leurs sorties nocturnes.

Pour endiguer la prolifération des lapins, plusieurs lieutenants de louveterie ont été missionnés sur le terrain pour trouver des solutions.

Le 03 mai dernier, le Préfet de l’Hérault est venu sur le terrain pour superviser une opération de lutte contre l’envahisseur qui touche près de 12 communes situées à l’Est du département.

Les mesures de régulation sont obligatoires.

Devant l’ampleur du phénomène, la régulation de jeannot sur le département est indispensable. Si une partie des effectif est capturée pour être relâchée dans des secteurs ou les lapins sont en sous-effectifs, une partie d’entre eux doit forcément être prélevée.

Il est évidemment impossible de déplacer des centaines de lapins en une courte période pour assurer que les récoltes resteront viables pour les agriculteurs de la région sans procéder à des opérations de destruction.

C’est un soulagement pour les exploitants agricoles qui attendent de voir les effets de ces opérations car ces derniers doivent déjà composer avec les dégâts causés par le grand gibier.

Si à cela s’ajoutent les dégâts des lapins, bon nombre d’agriculteurs se verront obligés de mettre la clef sous la porte, une situation que l’État refuse de voir se profiler.

Il faut s’attendre à ce que de nouvelles opérations du même type voient le jour dans les semaines à venir pour que les populations de lapins retrouvent un niveau acceptable sans pour autant mettre l’espèce en danger.

[Vidéo] Un beau petit brocard complètement alcoolisé

Le phénomène des chevreuils ivres revient tous les ans et chaque fois que la période arrive, de nombreuses vidéos apparaissent sur les réseaux sociaux.

Cette fois, c’est apparemment lors qu’une balade en forêt que la personne qui a pu prendre ces quelques images est tombée sur un brocard passablement alcoolisé.

Sa consommation de bourgeons lui a manifestement joué des tours et il lui faudra donc plusieurs heures pour se remettre de son ivresse.

Si jamais vous tombez sur l’un de ces chevreuils ivres, laissez le simplement récupérer et ne l’emmenez pas directement chez le vétérinaire, il a simplement besoin de reprendre ses esprits. Vous pouvez veiller sur lui pendant quelques temps comme a pu le faire l’auteur de cette vidéo mais il n’y aucune raison de stresser l’animal en l’emportant avec vous.

C’est la meilleure des réactions à avoir si vous tombez sur un animal sauvage.

@28eddychesneau

♬ son original – ChesneauEddy

Durant les Saints de Glace, attention à votre potager!  

Chaque année, au mois de mai, un événement météorologique traditionnel attire l’attention des jardiniers avertis : les Saints de Glace. Cette période, souvent associée à une baisse des températures et à un retour possible de fortes gelées doit inciter à la précaution pour protéger vos cultures. Les légumes du potager, les plantes et autres cultures peuvent être affectées par un gel tardif. Alors, comment prévenir les risques et comment réagir pour sauvegarder votre jardin ?

C’est quoi les Saints de Glace?

Les Saints de Glace, c’est une période spécifique bien connue des jardiniers qui a lieu chaque année à la mi-mai. Selon la tradition populaire, la période des Saints de Glace correspondrait à une baisse des températures susceptible de provoquer des gelées tardives. Durant ces quelques jours, il est conseillé de faire preuve de prudence et de protéger vos cultures au jardin.

Cette période doit son nom à trois Saints de l’Église Catholique : Saint Mamert, Saint Pancrace et Saint Servais.

Leurs fêtes se déroulent respectivement les 11, 12 et 13 mai de chaque année. S’il est vrai que les données météorologiques confirment souvent une baisse des températures à cette période de l’année, il est important de préciser que le risque de gelées n’est pas systématique et peut varier en fonction de votre région.

Prévenir les risques liés aux gelées tardives

Si vous êtes un jardinier passionné, vous savez à quel point il est important de protéger vos cultures des aléas de la météo. Pendant la période des Saints de Glace, il convient de redoubler de vigilance pour éviter que vos légumes et autres plantes ne soient endommagés par le froid.

La première chose à faire est de surveiller attentivement la météo. Si des gelées sont annoncées, il est recommandé d’agir et plusieurs solutions existent pour protéger vos cultures. Vous pouvez par exemple recouvrir vos plantations d’un voile d’hivernage. Ce dernier permet de créer une barrière contre le froid tout en laissant respirer la plante et vous assure ainsi une protection temporaire suffisante pour laisser passer la gelée.

D’autre part, si vous avez la possibilité de rentrer certaines de vos plantes à l’intérieur, n’hésitez pas à le faire. Les légumes de saison comme les tomates ou les courgettes seront particulièrement sensibles au froid.

Comment réagir si votre potager a subi une gelée ?

Malgré tous vos efforts, il se peut que votre jardin ne subisse malgré tout une gelée durant la période des Saints de Glace. Fort heureusement pour vous, tout n’est pas perdu.

Dans un premier temps, il sera important d’évaluer les dégâts. Certaines plantes peuvent en effet résister à un léger gel, d’autres en revanche, risquent de ne pas survivre. Dans ce cas, il sera nécessaire de retirer les parties endommagées par le gel pour éviter que le reste de la plante ne souffre de la présence des parties mortes. Ensuite, prévoyez de pailler le sol de votre potager dès la première gelée, cela permettra d’isoler la terre du froid et d’aider les cultures à se remettre plus rapidement. Enfin, n’oubliez pas d’arroser lorsque les températures remontent car l’eau contribuera à réchauffer le sol.

Même si les Saints de Glace peuvent représenter une menace pour votre jardin, sachez que des solutions existent pour limiter les dégâts. Il suffit souvent d’un peu de vigilance et de quelques gestes simples pour préserver vos cultures.

N’oubliez pas que le jardinage est une activité qui demande de l’adaptabilité. Chaque année, la météo nous réserve des surprises. À nous de savoir y réagir de la meilleure des manières. Alors, amis jardiniers, ne baissez pas les bras face à Saint Mamert, Saint Pancrace et Saint Servais!

Avec un peu de préparation, vos légumes de saison sortiront vainqueurs de cette période de froid. Gardez à l’esprit qu’en jardinage comme à la chasse, rien n’est jamais définitif. Chaque échec est une leçon de plus pour l’année suivante.

Restez vigilants et à nous les délicieuses salades de laitues ou de tomates pour accompagner les saucisses de sangliers et autres brochettes de chevreuils que nous dégusterons cet été!

[Vidéo] Un loup attrape un sanglier en pleine ville

Le loup approche de plus en plus des villes et villages dans toute l’Europe. Si les pro-loups réfutent cet état de fait en affirmant qu’il ne s’agit que de quelques exception, les nombreuses vidéos qui en attestent laissent penser le contraire.

Dans la ville de San Polo dei Cavalieri, une commune de la métropole de Rome, des riverains ont pu assister à une nouvelle incursion du loup dans les rues italiennes.

A lire aussi : [Vidéo] Un chien aux prises avec deux loups venus attaquer un veau dans une ferme

Le loup n’est pas le seul animal à investir les zones urbaines d’Italie car les sangliers font eux aussi de plus en plus acte de présence à proximité des maisons.

Cette situation a donné lieu à un acte de prédation au beau milieu de la ville et des habitants ont pu filmer un loup en pleine bataille avec un sanglier qu’il tentait de maîtriser pour en faire son prochain repas.

En Haute-Loire, les chasseurs ont décidé de ne plus tirer la perdrix grise

La chasse du petit gibier connaît de nombreux déboires depuis quelques années. La passion des chasseurs pour cette pratique est pourtant restée intacte et ces derniers se mobilisent à 100% pour que le gibier revienne dans nos campagnes.

Interdiction de tirer la perdrix grise pendant deux ans.

C’est durant l’assemblée générale des chasseurs de Haute-Loire que la décision prise par la Fédération a été partagée aux chasseurs du département.

Le nouveau schéma départemental de gestion cynégétique inclus désormais une partie importante au renfort des populations de perdrix grises, grandes perdantes des changements connus dans nos campagnes sur les dernières décennies.

Si auparavant, les compagnies foisonnaient dans la plaine, ce n’est aujourd’hui plus du tout le cas.

La baisse des couverts, l’agriculture intensive, le changement climatique, la présence toujours plus importante du sanglier dans les plaines, les prédateurs, etc. sont autant de raisons qui ont poussé les chasseurs à se mettre au chevet de l’oiseau.

Pour mettre en place un plan de sauvegarde de l’espèce sur le territoire, les chasseurs ont donc décidé de ne plus du tout réaliser de prélèvements durant au moins deux saisons. Cette suspension de la chasse à la perdrix grise ne pourra intervenir que si des résultats significatifs sont constatés, sans quoi, l’interdiction sera renouvelée par la Fédération.

40.000 euros débloqués en faveur de la perdrix.

La Fédération veut se donner les moyens de réussir et a annoncé qu’une enveloppe de 40 000 euros allait être débloquée en ce sens.

Plusieurs lâchés d’oiseaux reproducteurs seront menés dans les mois et années à venir, ce qui fait suite aux actions déjà menées auparavant.

Malgré les différentes tentatives de réintroduction de reproducteurs, aucune hausse réelle des populations n’ont été constatées sur le terrain malgré des quotas de prélèvements drastiques.

Aujourd’hui, le but est de remettre sur les rails une espèce qui semble ne pouvoir compter que sur les chasseurs.

Plusieurs ACCA ont décidé de mener l’aventure et de s’investir dans ce projet d’envergure qui vise dans un premier temps à rétablir 400 couples de perdrix grises de manière pérenne sur certains territoire et de pouvoir s’assurer de la viabilité d’une population de perdrix rouge sur la durée.

[Vidéo] Humour : quand François l’Embrouille tente une carrière d’armurier véreux

L’acteur François Damiens a été rendu célèbre par ses nombreux rôles au cinéma mais pour certains, difficile de l’oublier dans ses caméras cachées pour lesquelles il va créer le personnage de François l’Embrouille.

Il se retrouve alors dans différents contextes ou il joue le rôle de faux dentiste, tatoueur ou encore boucher.

A lire aussi : [Vidéo] L’amour est vraiment dans le pré (humour!)

Lors de ces caméras cachées, il joue de son incompétence et d’une confiance en lui à toute épreuve qui agace parfois au plus haut point ses interlocuteurs.

Quand il décide de tenir une armurerie, les choses vont forcément déraper et les clients vont se retrouver pris au dépourvu, surtout lorsqu’ils se rendent compte que l’armurier en question n’est pas du tout quelqu’un de confiance!

[Vidéo] L’étonnante vidéo d’un sanglier « scalpé » fait le buzz sur les réseaux sociaux

Le sanglier est un animal extrêmement résistant mais cette fois, les choses vont surement un peu trop loin. Malgré de violentes blessures, les sangliers sont capables de continuer leur chemin et de guérir sur la durée de façon parfois surprenante.

Dans cette vidéo, on peut observer un sanglier qui semble avoir été littéralement scalpé. Il lui manque le haut de la boite crânienne et grâce aux images capturées par un piège photographique, il est possible de voir ce qu’il se passe à l’intérieur.

A lire aussi : [Vidéo] Un sanglier contre-miré filmé par un piège photographique

Difficile de savoir ce qui a pu arriver à cet animal mais vu la netteté de la blessure, il est fort possible que le sanglier soit passé dans l’outil d’une machine agricole.

Attention, les images qui suivent peuvent s’avérer difficiles à regarder, nous conseillons donc vivement aux âmes sensibles de s’abstenir.

@andersonaragoni Animal bruto e extremamente resistente! Na metade do vídeo ele se aproxima da câmera, e podemos observar melhor. Temos registros dele pouco tempo antes, onde apareceu completamente saudável. Logo trarei mais imagens #vidaselvagem #javaliselvagem #javaporco #animaisselvagens #ceva #caça #caçada #caçador ♬ som original – Anderson Aragoni

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