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A bientot
 

[Vidéo] Voilà pourquoi réguler la pie est nécessaire

Depuis des décennies, certaines espèces sont éligibles pour se retrouver sur la liste des animaux ESOD (Espèces susceptibles d’occasionner des dégâts) que l’on appelait autrefois la liste des nuisibles.

Leur classement dans cette liste n’est pas anodin car nos aïeux avaient déjà bien remarqué qu’en cas de prolifération de ces dernières, c’est toute la biodiversité qui en prenait un coup.

A lire aussi : [Vidéo] Attaque d’une pie dans un nichoir à mésanges

Si de nos jours, l’un des objectifs des anti-chasse est de supprimer l’existence de cette liste, elle n’en reste pas moins nécessaire car sur le terrain, c’est toute la faune qui va subir la pression exercée par les ESOD.

La pie fait partie de ces espèces même si dans certains départements, elle a été retirée ou n’est piégeable que sous conditions.

Néanmoins, il est important de rappeler que la pie est un prédateur capable de décimer des portées entières de lapereaux, des couvées de perdrix, d’attaquer des poussins dans les basse-cours ou même, comme sur ces images, des œufs de différents oiseaux directement dans les nids.

[Vidéo] Quand tu préfères nourrir les sangliers que les canards

Quoi de plus paisible et romantique que d’aller en couple au bord de l’eau puis de prendre une barque pour dériver au gré des courants en observant la nature.

Bien que ce soit fortement déconseillé, certains adorent profiter de ce genre d’occasion pour jeter un peu de vieux pain aux canards et jouir d’un moment de bonheur en famille.

A lire aussi : [Vidéo] Un homme esquive avec élégance la charge violente d’un sanglier en pleine ville

Pour d’autres, donner de quoi manger aux canards c’est plutôt « has been ».

Vu les images présentes dans cette vidéo, il semble bien plus amusant de profiter d’une balade en barque pour nourrir des animaux un peu plus gros : des sangliers.

Il est vrai que ce n’est pas l’animal auquel on pense immédiatement mais l’homme paraît trouver la chose particulièrement distrayant.

D’où vient le mot « Bredouille » ?

« Bredouille » voilà un terme qui, même si il ne fait pas forcément plaisir, parlera forcément aux chasseurs que vous êtes, mais savez-vous vraiment quelle est sa provenance ?

Si l’origine exacte du mot n’est pas certaine, il semble fort probable que « bredouille » fasse allusion au terme ancien « bredouiller » ou « bafouiller ». Ces mots à l’époque prendraient racine dans des mots régionaux tels que « patauger, barboter dans la boue » mais ce qui est est intéressant, c’est qu’à l’époque du XVIIe siècle, bredouille était employé dans une expression aux antipodes de ce que le mot signifie aujourd’hui.

En effet, avant le XVIIe on disait la « grande bredouille » pour signifier que l’on avait tout gagné. Cela pouvait être aux cartes, autrement dit l’équivalent du grand chelem, mais dans bien d’autres domaines également. Cette expression qui induit une notion de gagnant induisait donc aussi une notion de perdant, ce qui est un peu à l’opposé du chasseur qui aurait perdu en rentrant bredouille n’est ce pas?

C’est quelques temps après qu’il y aurait eu un virage à 180° effectué par la langue française puisque depuis, l’expression « être en bredouille » signifiait être un peu saoul et donc ne pas être prédisposé à réaliser des choses très positives. « Mettre en bredouille » quelqu’un signifiait le battre à plates coutures aux cartes par exemple.

Voilà, même si nous ne sommes pas en pleine saison de chasse, la prochaine fois que vous rentrerez bredouille et que votre moitié vous dira pour la 15e fois de la saison « tu es encore bredouille mon chéri », en vexant votre ego intérieur (si si avouez-le, on l’a tous vécu!), à défaut de l’impressionner avec votre doublé de perdreaux, vous pourrez toujours la surprendre avec vos connaissances étymologiques !

L’adjointe au maire de Grenoble souhaite revoir le statut du ragondin « extrêmement nécessaire à son écosystème »

Après le blaireau, les écologistes ont visiblement trouvé leur prochaine cible dans la guerre de positions qu’ils souhaitent mener contre la chasse Française. Cette fois, c’est le statut du ragondin qui est remis en cause par Sandra Krief, ajointe au maire de Grenoble.

Les élus animalistes sont-ils hors sol?

C’est dans Le Dauphiné Libéré que l’on peut lire la réaction de plusieurs élus animalistes à un reportage paru dans ce même média au sujet de la régulation du ragondin. Dans cette vidéo, on pouvait suivre un chasseur à l’arc qui répondait aux demandes des collectivités et des particuliers en cas d’invasion de ragondins.

Il n’en fallait pas davantage pour que les élus animalistes ne s’insurgent contre cette pratique et ne se lancent dans une tirade en faveur du gros rongeur.

Citée par le journal, Sandra Krief, candidate aux européennes pour le parti animaliste et adjointe au maire de Grenoble a pris la défense du ragondin en ces termes :

« Cet animal, qui s’avère extrêmement nécessaire à son écosystème car il s’est adapté et intégré à environnement au fils du siècle passé en entretenant spontanément les rivières, étangs et canaux. »

Selon elle, le ragondin est un animal « intelligent, très sympathique, voire une espèce de « gros nounours » très sociable » que des enfants d’agriculteurs s’amuseraient à apprivoiser.

Les responsables de plans d’eau, de berges et de zones humides apprécieront et remercieront à coup sûr les enfants d’agriculteurs qui élèvent des ragondins chez eux…

Bien évidemment, tous ces arguments que l’on peut qualifier au moins d’étranges démontrent à quel point les animalistes sont à des années lumières de ce qui se passe dans le monde rural et du rôle que joue un animal comme le ragondin dans nos campagnes.

Quelle part de responsabilité pour les médias?

Si le discours tenu par les animalistes ne peut plus vraiment nous surprendre, on peut tout de même s’interroger sur les raisons qui poussent les médias à relayer ce genre de propos.

La presse se doit de rapporter les points de vue de tout le monde et pour le coup, il est normal que Le Dauphiné Libéré permette aux animalistes de réagir après leur reportage vidéo sur la régulation du ragondin à l’arc.

Néanmoins, si le quotidien régional a fait le job, ce n’est pas le cas de tous les médias dont certains ont une fâcheuse tendance à laisser uniquement la parole aux verts ainsi qu’aux militants anti-spécistes.

Qu’un journal souhaite véhiculer certaines valeurs est compréhensible, mais comment peut-on laisser une tribune libre à des militants qui débitent autant d’arguments infondés, basés sur l’anthropomorphisme du monde animal?

Le ragondin est une espèce invasive qui génère des dégâts, c’est un fait. Et en ce qui concerne son côté sympathique, il faudrait demander son avis sur la question à celle qui fut victime de morsures de ragondin après que ce dernier se soit attaqué à son chien…

On ne reviendra pas encore une fois sur les maladies que le ragondin peut véhiculer ni sur le fait que les zones humides sont avant tout entretenues en grande partie par les chasseurs mais ce qui est sûr, c’est que le ragondin est à des années lumières d’être un animal parfaitement intégré dans nos territoires qu’il détruit allégrement si rien n’est fait.

Aveyron : finalement aucun chien n’a été abattu pour défendre les troupeaux

Le 10 avril dernier la préfecture de l’Aveyron avait publié un arrêté unique en son genre qui avait fait grand bruit, par delà même les frontières du département.

Pendant 1 mois, la préfecture avait autorisé de tirer les chiens errants sur 5 communes afin de protéger les troupeaux d’ovins suite à plusieurs attaques sur les cheptels.

Mardi 7 mai, alors qu’il touchait à sa fin, l’arrêté a été suspendu par le tribunal administratif de Toulouse suite au recours de plusieurs associations de protection animale. Le juge des référés a estimé qu’il y avait un doute sérieux quand à la légalité de cet arrêté.

En creusant un peu, on s’est aperçu que cet arrêté ne concernait que le tir des Saarloos, l’une des 2 races de chiens-loups répertoriées en France. Pas question donc d’aller tirer le labrador fugueur de la famille…

Suite à cette suspension, la préfecture a publié un communiqué pour indiquer quelle prenait acte de la suspension tout en précisant « qu’aucun chien n’avait été abattu ». Fin de la polémique.

[Vidéo] Un ours attaque un troupeau sans prêter attention aux chiens de défense

Les attaques proférées par les grands prédateurs sur le bétail sont devenues la hantise de tous les éleveurs au quotidien. Si le loup fait beaucoup parler de lui, les attaques d’ours font également peser un danger permanent sur les troupeaux dans les régions ou ils sont présents.

Si les attaques d’ours se font plus rares dans nos contrées, elles n’en restent pas moins impressionnantes.

A lire aussi : [Vidéo] Un tout jeune ours a été aperçu depuis une route dans les Pyrénées

Le plantigrade en impose et quand il est déterminé à s’attaquer à un troupeau lorsqu’il est affamé, il y a assez peu de chances de réussir à l’en dissuader.

Comme le montre cette vidéo, même les chiens ne parviennent pas à attirer l’attention de l’ours en train de faire un véritable festin, ni les hommes présents qui tentent en vain de faire fuir l’animal avec des jets de pierres.

En Ardèche, on ne veut plus du loup et on l’assume!

Le loup exerce une pression importante sur le monde rural et les éleveurs sont les premiers à subir au quotidien la présence de ce prédateur. Il n’est plus question de tolérer cette situation et une campagne de communication va débuter pour avertir qu’en Ardèche : « Le loup c’est sans nous! ».

« Le loup c’est sans nous! »

C’est le slogan lancé par le département de l’Ardèche qui travaille en partenariat avec la Chambre d’Agriculture et la Fédération départementale des chasseurs pour une campagne de communication qui ne manque pas d’aplomb.

Le Conseil départemental s’est rangé du côté des agriculteurs et des chasseurs mais aussi des ruraux qui vivent au quotidien avec cette épée de Damoclès au dessus de leurs têtes depuis le retour durable du loup en Ardèche.

Cette prise de position franche et sans langue de bois est plutôt rare dans le milieu politique car les élus ont souvent tendance à ne vouloir frustrer personne et pratiquent souvent le « en même temps », affirmant soutenir les agriculteurs mais aussi soutenir les écologistes au sujet du loup.

En Ardèche, le discours est bien différent. Les élus ont décidé de stopper l’avancée du loup et comptent bien utiliser l’arsenal que l’État a mis à disposition des agriculteurs pour engager la lutte contre le loup comme l’explique Olivier Amrane, Président du Conseil Départemental de l’Ardèche au micro de France Bleu Drôme Ardèche :

Une prise de position qui fait réagir.

A l’heure ou bon nombre d’urbains voient le monde animal comme une sorte de monde des bisounours, se positionner contre le retour du loup est une action courageuse pour les élus qui s’attirent déjà les foudres des animalistes.

France Nature Environnement s’est exprimée sur le sujet et forcément, l’association dénonce une communication purement politicienne.

D’un autre côté, de nombreux ruraux ont salué la décision assumée de vouloir empêcher le loup de s’installer durablement en Ardèche.

Comme le rappelle Olivier Amrane lors de son interview, si nos anciens ont décidé d’éradiquer le loup, c’est qu’ils avaient de bonnes raisons…

Pour mener à bien cette nouvelle politique hostile à l’égard du loup, une cellule de veille sur le terrain a été mise en place afin que les éleveurs qui ne sont pas possesseur du permis de chasser puissent faire intervenir l’un des 200 chasseurs qui ont intégré le projet.

Il s’agira dans un premier temps de surveiller les territoires à l’aide de pièges photographiques qui seront financés conjointement par le département, la Chambre d’Agriculture et les chasseurs.

Si une intervention plus « musclée » est finalement nécessaire, les éleveurs pourront compter sur les chasseurs Ardéchois pour mener à bien des tirs de défense.

[Vidéo] Le comptage des grands cervidés d’Eure-et-Loir au journal de France 3

Dans toute la France, les chasseurs sont des sentinelles de la nature capables de remonter des informations précieuses sur l’état de santé des populations animales.

Le suivi de la faune sauvage est l’une des missions des Fédérations de chasse et c’est le cas des grands cervidés qui sont régulièrement comptés afin d’établir avec les autorités des plans de chasse cohérents et qui assurent l’équilibre agro-sylvo-cynégétique.

A lire aussi : [Vidéo] Le comptage et le marquage des cerfs au château de Chambord

En Eure-et-Loir, ce comptage a récemment fait l’objet d’un sujet dans le journal diffusé sur France 3 et les caméras ont pu suivre l’une de ces opérations aux côtés des chasseurs.

Ce reportage permet au grand public de mieux comprendre les missions menées par les chasseurs en dehors des actions de chasse et pourquoi ces dernières sont indispensables pour assurer la pérennité des espèces tout en instaurant un équilibre.

Convention entre les gendarmes et les chasseurs : « ce sont des observateurs privilégiés »

Mardi 14 mai les forces de l’ordre et les chasseurs ont signé une convention de partenariat afin de traquer les incivilités dans le département de la Marne.

C’est un fait malheureusement, dans tous les départements de France, il y a de plus en plus de dépôts d’ordures dans nos campagnes mais aussi d’atteintes à la faune sauvage ou de comportements mettant la vie d’autrui en danger. Face à la montée de ces infractions, les forces de l’ordre vont pouvoir à présent compter sur l’œil avisé des chasseurs.

L’idée de cette convention est de former les chasseurs qui le souhaitent à « ouvrir » l’œil lors de leurs nombreuses sorties dans la nature afin de repérer des comportements anormaux ou des actes d’incivilité et d’en avertir leurs référents.

Le préfet de la Marne qui est à l’origine de cette convention explique : « Ce sont des observateurs privilégiés de la nature. On souhaite prioriser la sensibilisation et la prévention, avant la répression. L’aspect sécurité est aussi concerné. Ces échanges avec la gendarmerie peuvent donner lieu à des contrôles, notamment routiers. Avec une attention particulière portée sur l’utilisation des armes. ».

Les chasseurs pourront donc participer à des contrôles… des chasseurs.

Ces conventions ne sont pas d’un nouveau genre car de nombreux départements en ont déjà signé comme dans les Hautes-Pyrénées par exemple.

[Vidéo] Un sanglier défonce le haut d’une clôture et par dessus en s’échappant d’un jardin

Les sangliers sont de plus en plus audacieux lorsqu’il s’agit de pénétrer dans les jardins en zone urbaine. Ces derniers apparaissent même en pleine journée dans certaines contrées.

Lorsque les habitants ne sont pas sur place, ils ne peuvent malheureusement pas intervenir en cas d’intrusion de suidé mais s’ils sont chez eux, il peuvent alors réussir à sauver leur pelouse et leurs plates-bandes.

Dans cette vidéo, un sanglier a été surpris dans un jardin et se voit obligé de prendre la fuite tandis que le propriétaire des lieux filme la scène.

L’animal prend son élan et saute pour passer par dessus la clôture mais il lui manque quelques centimètres pour passer sans encombres.

Il va littéralement défoncer le haut du grillage et exécuter un saut périlleux impressionnant avant de continuer sa course folle.

@sofiadvn_ #sanglier🐗 #jeuxolympiqueparis2024 ♬ On est des dingues – Patrick Sebastien

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