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A bientot
 

[Vidéo] Plusieurs actions de chasse et prélèvement de 3 sangliers à la 270 Winchester

Cette année, la fin de la saison de chasse ne signifie pas forcément arrêt des prélèvements car dans plusieurs départements, les chasseurs sont encore sollicités pour intervenir afin de réguler au mieux les populations de sangliers.

Certains chassent donc encore mais ce n’est pour le moment pas le cas de tout le monde et ceux qui profitent de leur pause bien méritée de l’inter-saison s’octroient tout de même le plaisir de regarder les vidéos des copains.

A lire aussi : [Vidéo] Un sanglier contre-miré filmé par un piège photographique

Dans cette vidéo signée Foug et postée sur Youtube, on peut donc profiter de plusieurs actions de chasse en battue.

Lors de ces différentes chasses, notre nemrod va pouvoir prélever quelques sangliers à l’aide de sa carabine en 270 Winchester, un calibre connu mais assez peu usité par les chasseurs Français.

[Vidéo] Un homme croise le chemin d’un brocard avec une perruque massive

Les passionnés de la chasse aux brocards savent que cet animal peut revêtir ses bois de bien des façons. Les velours, les assassins, les têtes bizardes mais aussi les perruques sont autant de spécificités que les chevreuils peuvent revêtir quand vient la saison.

Dans cette vidéo, un homme croise le chemin d’un brocard à perruque qui a visiblement bien du mal à observer ce qui l’approche.

Son odorat lui a permis de détecter une présence mais il va lui falloir quelques temps avant de se décider à prendre la fuite.

Ces brocards sont des joyaux pour les passionnés de cette chasse. Même si les images sont superbes et que la spécificité de ces animaux en fait la coqueluche des amoureux de la nature, la perruque d’un brocard concerné peut malheureusement le conduire à sa perte lorsqu’elle couvre une surface trop importante de la tête de son porteur.

@world_hunty #parati #viral #corzo #peluca #caza ♬ sonido original – Javi

Les chasseurs responsables de la présence d’un sanglier au 4e étage d’un immeuble selon les animalistes

En février dernier, un sanglier avait fait sensation dans les médias pour avoir squatté le quatrième étage d’un immeuble de Montpellier. Personne ne sait vraiment comment l’animal s’est retrouvé là mais pour les animalistes, ce sont les chasseurs les responsables.

Les chasseurs pointés du doigt par les animalistes de Montpellier.

C’est dans Midi Libre que l’on apprend que des élus animalistes de Montpellier essaient encore de pointer du doigts les chasseurs en ce qui concerne les dégâts de sangliers.

Le quotidien revient sur des propos tenus par Eddine Ariztegui, élu animaliste adjoint au maire de la commune, pour qui cela ne fait aucun doute, tous les incidents qui impliquent les sangliers sont de la responsabilité des chasseurs.

Même quand un sanglier avait squatté le 4ème étage d’un immeuble, il estime que les chasseurs sont en cause dans le dossier.

Pour rappel, les habitants d’un immeuble de Montpellier situé dans le quartier de la Mosson ont découvert qu’un sanglier était venu se reposer sur leur palier. Un lieutenant de louveterie avait alors été appelé pour intervenir et était parvenu à faire retourner le suidé à l’extérieur.

Visiblement, l’animal avait l’habitude de fouiller dans les détritus aux alentours des logements et sa curiosité ou son odorat l’ont probablement poussés à entrer dans le bâtiment.

Même un évènement aussi improbable est aujourd’hui imputé aux chasseurs comme s’ils élevaient les sangliers pour les pousser en ville.

Le plan maléfique des chasseurs : conquérir le monde avec les sangliers.

Pour appuyer ses propos auprès des journalistes, l’élu animaliste affirme qu’il a vu des bacs à eau en pleine nature, régulièrement approvisionnés par les chasseurs. Les nemrods seraient également coupables d’entretenir des parcelles de couvert pour favoriser la prolifération des sangliers.

Voilà qui est fâcheux, nous les chasseurs sommes découverts. Nous avons organisé un élevage de sangliers à ciel ouvert et aujourd’hui, nous les poussons vers les villes afin de récolter les faveurs du grand public. Nous pourrons bientôt chasser dans les immeubles et entrer faire travailler nos chiens jusque dans les chambres à coucher des urbains!

Trêve de plaisanterie, la Fédération des chasseurs de l’Hérault a encore une fois expliqué que les abreuvoirs comme les couverts végétaux ne sont pas à destination des sangliers mais sont installés pour profiter à toute la faune sauvage. Difficile d’empêcher les sangliers d’en profiter à l’occasion même si ces derniers préfèrent les souilles naturelles que les bacs en béton pour se rafraichir.

L’agrainage est interdit sur l’intégralité du département, et si certains ne respectent pas les règles, les agents de l’État doivent sévir. Le budget énorme que représentent les dégâts de sangliers pour les Fédérations est à lui seul un argument de poids pour bien comprendre que les chasseurs sont loin de vouloir que l’espèce continue de proliférer.

Max Alliès, Président de la Fédération des chasseurs du département a conclu ce rappel en ironisant sur le fait que les chasseurs ne sont pas non plus responsables de la présence du sanglier au quatrième étage de l’immeuble Montpelliérain, quoi qu’en disent certains élus.

[Vidéo] Les nombreuses proies apportées par un renard à toute sa portée

Le renard est un opportuniste mais aussi un prédateur efficace qui s’avère très prolifique quand il s’agit de nourrir toute une portée. Dans cette vidéo, on peut voir les nombreuses proies apportées au terrier par un renard pour nourrir ses renardeaux.

La période de reproduction est sans conteste la période ou le renard va devoir se montrer au top de sa forme en ce qui concerne la chasse pour parvenir à nourrir toute sa petite famille.

Des lièvres, des oiseaux, des poissons et bien d’autres sont donc chassés chaque jours par les renards qui, comme le montre cette vidéo, ne se nourrissent pas essentiellement de mulots trouvés dans les champs.

Ces quelques images démontrent que le renard peut faire beaucoup de dégâts en quelques mois sur un territoire donné. Bien évidemment, une famille de renards ne posera que peu de problèmes dans les basse-cour et sur la biodiversité mais quand il y en a 10, 15, 20… les choses sont différentes.

La chevrotine anti-ricochets arrive bientôt chez les armuriers

Le monde de la chasse est en perpétuelle évolution et les innovations ne cessent de voir le jour, même sur des sujets ou l’on s’y attend le moins. Une chevrotine anti-ricochets a été dernièrement mise au point par son concepteur Corse et devrait bientôt être proposée à la vente dans les semaines à venir.

Une chevrotine performante et moins risquée.

L’usage de la chevrotine revient en force dans certains départements ou le biotope s’y prête parfaitement. Au delà de pouvoir utiliser cette munition lors de tirs à très courtes distances, l’objectif du retour de la chevrotine est d’éviter de devoir tirer à balles dans des situations jugées accidentogènes.

Malgré le fait que la chevrotine soit une munition dont la portée est très limitée par rapport à une balle, elle possède également des lacunes décriées par de nombreux chasseurs, notamment les risques de ricochets.

Il se pourrait bien que cette problématique ait été résolue par Aurèle Mannarini, un Géo Trouvetout de la balistique qui a imaginé un modèle de chevrotine qui limite fortement les risques de ricochets.

Toute la difficulté de cette invention réside justement dans la limitation des ricochets qui représentent un risque pour la sécurité à la chasse tout en restant une munition efficace face aux sangliers.

La chevrotine anti-ricochets devrait bientôt être commercialisée.

Selon l’interview accordée par Aurèle Mannarini dans Corsenetinfos, cette chevrotine anti-ricochets devrait être commercialisée dans les semaines à venir. Un partenariat a d’ores et déjà été signé avec la marque Jocker qui sera en charge de la production de cette munition.

Nous avions pu échanger au sujet de cette munition il y a quelques semaines avec les principaux concernés :

Ce modèle de chevrotine devrait donc intéresser de nombreux nemrods alors que les autorisations accordées par le gouvernement en matière de régulation des sangliers foisonnent et que la législation sur le matériel est en constante évolution.

Interdit pendant des années à la chasse, l’usage de la chevrotine est devenu aujourd’hui une alternative intéressante pour la chasse de sanglier en battue. Les mesures de sécurité ont grandement évolué et si les risques de ricochets étaient encore un des derniers freins au retour de la munition, cette innovation pourrait bien signer son grand retour dans les gilets de chasse des passionnés de la bête noire.

[Vidéo] En pleine chasse un wapiti s’approche et renifle l’archer qui ne bouge pas d’un cil

Quand on chasse le grand gibier, il arrive que des situations étonnantes surviennent sans que l’on s’y attende réellement. C’est d’ailleurs ce qui fait en partie la magie de cette passion dévorante qu’est la chasse.

On peut facilement se laisser distraire par un oiseau perché au dessus de notre tête, par un lapin qui passe dans les fourrés ou par un simple papillon.

A lire aussi : [Vidéo] Browning nous emmène chasser le wapiti dans le Montana avec sa X-Bolt

Pourtant, au poste comme lors d’autres chasses, il arrive également que d’autres animaux attirent notre attention.

Dans cette vidéo, c’est un wapiti qui va s’approcher au plus près du chasseur et va même venir suffisamment près de lui pour le renifler avant de comprendre qu’il n’aurait pas dû se montrer si curieux.

L’âne peut-il remplacer le patou pour protéger les troupeaux face aux loups?

Et si un âne pouvait remplacer le patou dans sa mission de protection des troupeaux face aux loups? C’est une question qui se pose et plusieurs éleveurs de France ont décidé de tenter l’expérience en intégrant un âne dans leur cheptel.

L’âne est très territorial et ne supporte pas les canidés.

Qu’il s’agisse d’un chien, d’un renard ou d’un loup, l’âne ne supporte pas la présence de ces canidés sur ce qu’il considère être son territoire. Il est un grand défenseur des parcelles qu’il occupe et peut selon certains s’avérer utile dans la protection des troupeaux contre les attaques de loups.

L’expérience serait d’ailleurs menée un peu partout dans le monde pour tenter de savoir si un âne est capable d’empêcher une meute de loups de s’attaquer à un troupeau d’ovins ou de bovins par exemple.

L’idéal est bien évidemment de s’orienter vers les races les plus grandes comme le Baudet du Poitou mais une éleveuse interrogée par les journalistes de FranceInfo affirme qu’une ânesse avec son petit sera encore plus sur les dents en ce qui concerne la défense de son troupeau.

Une solution qui ne semble pas viable sur les grandes étendues et pour des troupeaux conséquents.

Si l’âne peut s’avérer être un atout pour empêcher un petit troupeau de subir une attaque sur des parcelles restreintes, les éleveurs ne semblent pas convaincus qu’il puisse réellement remplacer le patou.

Le besoin réel est de pouvoir s’assurer qu’un garde veillera a temps complet sur un troupeau, même dans les montagnes ou dans des parcelles difficiles à couvrir rapidement en cas de problèmes.

Même pour les spécialistes du loup, le patou est un acteur indispensable de la protection des troupeaux contre les attaques de loups.

Si un âne peut faire la différence le long d’une ferme, pas sûr qu’il s’en sorte vivant face à une meute de loups déterminée à mettre à mort une proie.

En Italie par exemple, les cas d’attaques de loups sur des ânes ne sont pas rares et même si l’équidé ne se laisse pas faire, il peut difficilement rivaliser face à une meute affamée.

Même si l’âne a assurément un rôle à jouer dans la prévention des attaques de loups dans certains cas, il semble bien que le chien de défense reste le seul à réellement pouvoir jouer dans la cours des grands dans ce domaine.

[Vidéo] Quand ton chien apprécie un peu trop le fumier…

Nos compagnons à 4 pattes savent toujours comment nous faire craquer. En bien ou en mal, cela reste la question centrale que se posent tous les maîtres un jour ou un autre.

Certains chiens apprécient beaucoup les odeurs fortes, voire même un peu trop, l’image de cette chienne Golden Retriever qui se lance dans l’exploration d’un tas de fumier.

Quand la maîtresse de la chienne la rappelle, la petite Golden revient en se frayant un chemin dans le fumier.

Ce n’était visiblement pas le jour de chance de sa propriétaire car après quelques enjambées, la chienne tombe littéralement dans une flaque de purin jouxtant le tas de fumier.

On espère pour sa maîtresse que le retour a pu se faire à pied et non en voiture!

@domainetasquier #goldenretrievers #betiseschiens #dog #chiens ♬ Sneaky Friends – Eitan Epstein Music

Plusieurs ruches et des milliers d’abeilles déversées sur l’autoroute suite à un accident dans les Bouches-du-Rhône

Ce lundi 06 mai, très tôt dans la matinée, un accident quelque peu insolite s’est déroulé à hauteur de Sénas, dans les Bouches-du Rhône. Plusieurs véhicules ont été impliqués dans l’accident dont un qui transportait des ruches.

Des ruches et des abeilles en pagaille sur l’autoroute.

Vers 07h du matin, un accident est survenu sur l’autoroute A7 dans lequel s’est retrouvé un véhicule qui transportait plusieurs ruches sanglées à une remorque.

Dans l’accident, les ruches se sont retrouvées fracassées en partie sur le bitume et les abeilles se sont déversées à même le sol.

C’est un cas de figure plutôt exceptionnel car l’intervention des secours et des agents de la route s’est retrouvée extrêmement complexe vu la quantité d’abeilles en furie qui se trouvaient dans la zone de l’accident.

A lire aussi : [Vidéo] Une nuée de frelons asiatiques dévore un lièvre

Les autorités ont été contraintes de couper la circulation le temps qu’une équipe spécialisée puisse intervenir.

En ce qui concerne les débris de ruches et les abeilles, des apiculteurs se sont rendus sur place pour débarrasser au mieux les lieux et permettre la reprise du trafic.

Toutes les ruches n’ont pas été détruites.

La perte est importante pour les apiculteurs qui sont forcément touchés par un tel accident mais fort heureusement, l’intégralité du chargement de ruches n’a pas été détruit dans l’accident.

Une partie des ruches est restée en place sur la remorque mais l’étendue des dégâts n’est pas connue pour autant.

Plusieurs ruches ont certes été détruites dans le carambolage mais avec un peu de chance, les apiculteurs qui sont intervenus rapidement pourront récupérer les essaims petit à petit.

Dangers du fauchage : comment éviter aux animaux de se faire tuer

Les premières fauches pour récolter du fourrage vont avoir ou ont déjà eu lieu en fonction des secteurs, il s’agit là de la saison de tous les dangers pour les animaux, chassables ou non.

Au moins 5% des surfaces cultivables en France sont en jachère (en fonction des années et des conditions climatiques) selon les règles de la PAC, elles constituent de vraies zones de quiétude pour la faune sauvage qui y trouve bien souvent le gîte et le couvert. Des normes entourent leurs dates de broyages ce qui évite en cette période de tuer de très nombreux grands et petits animaux, mais ce n’est pas le cas des prairies qui sont à vocation fourragère.

En effet, il existe un peu partout, de nombreuses parcelles où pousse tout simplement de l’herbe qui va être fauchée plusieurs fois l’année afin notamment de nourrir le bétail. Aucune législation n’entoure cette culture et actuellement, vont, ou ont déjà commencé, les premières fauches qui peuvent entrainer de très gros dégâts parmi les faisans, lièvres, perdreaux et chevreuils.

A lire aussi sur le même sujet – Fauchage : un drame pour le petit gibier

Nous sommes en pleine saison des naissances et les jeunes chevrillards d’à peine quelques jours n’ont pas encore conscience du danger, et devant le bruit d’une machine agricole, leur réflexe est de se figer, mettant grandement leur vie en péril. Une étude menée en Allemagne estime qu’environ 100 000 chevreuils sont ainsi tués chaque année par les engins de fauche, un désastre donc mais que l’on peut tenter de réduire si l’on s’en donne le temps et les moyens.

Utiliser des drones thermiques

C’est la solution qui se développe de plus en plus. Portée notamment par les fédérations départementales des chasseurs qui s’en équipent, l’utilisation de ces drones munies de caméras thermiques permettent de survoler d’importantes zones à la recherche de chevrillards. Les opérations sont souvent réalisées le matin ou les différentiels de température permettent une meilleure reconnaissance. Les chevrillards ainsi repérés peuvent être déplacés gentiment en dehors de la parcelle ou alors simplement matérialisés de façon à ce que lors de la fauche la zone où ils se trouvent soit évitée.

Cette technique demande des moyens humains et financiers mais apporte de très bons résultats sur les grands animaux.

Utiliser un chien d’arrêt

Une méthode moins connue du grand public que l’on doit directement aux chasseurs est l’utilisation de chiens d’arrêt. Le principe de se promener comme en action de chasse avec un ou plusieurs chiens dans une prairie juste avant que celle-ci ne soit fauchée afin de repérer les chevreuils mais aussi les couvées de faisans, perdrix et les lièvres. Cette méthode permet donc de sauver beaucoup plus d’animaux et s’avère relativement fiable grâce aux puissants odorats des chiens mais elles sera évidemment très longue… On ne « rabat » pas une prairie de plusieurs hectares en quelques minutes. Autre avantage, si un nid d’oiseaux est trouvé, les œufs peuvent être ramassés puis mis à couver pour ensuite relâcher de beaux faisans ou perdreaux naturels sur le territoire !

Utiliser des barres d’envol ou d’effarouchement

La barre d’envol est un outil agricole placé devant les tracteurs pendant qu’ils fauchent. Des chaînes lourdes et bruyantes battent le long d’un grand tube métallique pour effrayer le gibier. Cela permet notamment de faire envoler un animal qui couverait son nid, ou de faire fuir un chevreuil tout en alertant le conducteur du tracteur de la présence de celui-ci. Loin d’être fiable à 100% les barres d’envol permettent malgré tout de sauver de nombreux animaux et restent le moyen le plus simple et le moins coûteux. Souvent les fédérations des chasseurs, voire mêmes les ACCA, s’en équipent et les prêtent aux agriculteurs locaux. Cela ne coûte juste qu’un peu de temps pour atteler la machine.

Toutes ces méthodes sont mises en place par les chasseurs en faveur de la biodiversité, si de nombreux médias locaux relaient à présent ces actions elles restent encore trop méconnues du grand public qui pense que la chasse reste uniquement un loisir mortifère. Bien au contraire !

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