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A bientot
 

Alerte info : une femme « probablement » attaquée par un loup dans l’Allier

Ce samedi 27 avril marque peut-être un tournant dans ce second chapitre de l’histoire du loup en France avec peut-être la première attaque depuis plus de 140 ans sur l’Homme.

Camélia, quadragénaire habitant à Lavoine, promenait son chien non loin de son domicile samedi soir vers 23h30. Dans un endroit relativement isolé à proximité d’une scierie, elle a été soudainement attaquée par ce qui semble être un loup selon elle. Cette attaque a été répertoriée par le réseau European Predation Map (EPM) comme probable.

Voici ce qu’aurait déclaré la victime qui a bien évidemment fini à l’hôpital de Vichy au regard des morsures importantes qu’elle a subi :

« J’ai été attaqué pendant la nuit de samedi a dimanche, vers 23h30. Aucun bruit ne m’inquiétait, pas d’aboiement, juste une petite branche qui a craqué. À peine ai-je eu le temps de me retourner que l’animal m’a bondi dessus Analyse de la situation des morsures : Légère morsure au niveau de la gorge Deux morsures ont été constatées à l’épaule gauche. Deux morsures ont été faites au biceps gauche Des morsures multiples ont été reçues à la main droite et au poignet droit. Les gendarmes et l’OFB ont été informé le dimanche . Ils sont venu seulement le lundi 29 avril. »

A lire aussi : Une agricultrice lance l’alerte après 2 intrusions de loups dans sa ferme

Sur la page Facebook de l’un des représentants EBM, Bruno Lecomte, on trouve un peu plus de détails sur cette attaque et notamment sur le fait que les agents de l’OFB ne se seraient pas montrés particulièrement zélés lorsqu’ils ont rendu visite à la victime, plus de 48h après l’attaque. Ce délais de 2 jours est évidement énorme, mais ce qui a également interpellé Camélia c’est que les agents n’ont ni voulu regarder ses blessures de plus près, ni récupérer les vêtements qui auraient pu permettre une identification par test ADN.

Difficile de dire si il y aura une suite à cette affaire, seul des preuves tangibles peuvent permettre d’incriminer ou non le loup au profit d’un chien par exemple… à condition de bien vouloir faire le nécessaire !

[Vidéo] Un sanglier contre-miré filmé par un piège photographique

Les sangliers peuvent parfois porter de véritables lames de rasoir qui font de gros dégâts sur les chiens lorsque la situation évolue vers un ferme.

Les grès et les défenses sont très impressionnants sur certains individus et évidemment, tous les chasseurs sont friands des prélèvements qui comportent des trophées intéressants.

A lire aussi : [Vidéo] Un homme saute sur un sanglier cerné par ses chiens

Parmi ces sangliers, on retrouve les sangliers « contre-mirés ». Ces animaux sont en réalité dépourvus d’un grès, qui fait que la défense ne s’use pas et pousse en continu. Cette pousse ininterrompue peut alors finir par blesser le sanglier lorsque la défense finit par pénétrer dans la tête de l’animal et peut même le mener à la mort.

Un piège photographique a pu filmer l’un de ces sangliers et sa position devant l’objectif permet de voir clairement la longue défense qui a poussé sans rencontrer d’obstacle avant le crâne de la bête.

@xavi09_5618 #fototrampeo #javalies🐗 #viral ♬ sonido original – Xavi09_5618

Un journaliste a tenté de passer son permis de chasse mais a échoué

Passer son permis de chasse n’est pas une démarche anodine. Un journaliste l’a récemment appris à ses dépends car il a tenté l’expérience mais malheureusement, ce dernier a été recalé lors de l’examen.

Le permis de chasse n’est pas « donné ».

Contrairement à ce qu’essaient de faire croire une partie des écologistes anti-chasse, il n’est pas si simple que cela de passer son permis de chasse. Un journaliste a voulu tenter l’expérience et il avait semble-t-il trop confiance en lui, ce qui l’a mené à la faute durant l’examen et a dû essuyer un échec.

Il raconte d’ailleurs son épopée dans le journal Sud-Ouest dans lequel il revient sur la formation qu’il a pu passer avant de se présenter à l’examen. Il rappelle que la sécurité est fondamentalement au cœur du dispositif avec des questions éliminatoires dès le passage de la théorie.

Une fois la théorie réussie, ce journaliste qui connaissait bien le monde de la chasse pour avoir accompagné son grand-père dans sa jeunesse a été conduit vers le passage de l’épreuve pratique.

Cette épreuve fait souvent bien moins peur aux candidats du permis de chasser que la théorie et pourtant, elle est tout aussi importante. Les examinateurs ne laissent rien passer en ce qui concerne la sécurité ni l’identification avant le tir.

Malheureusement pour le candidat au permis de chasser qui travaille pour le quotidien régional, son passage à cette étape s’est soldé par un échec mais il aura eu au moins l’honnêteté d’en faire part dans un retour d’expérience écrit auprès du journal.

Le journalisme de terrain n’est pas mort.

Rares sont aujourd’hui les journalistes prêts à mouiller la chemise lorsqu’ils traitent d’un sujet précis. Bien souvent, la rapidité avec laquelle l’information est consommée aujourd’hui pousse plutôt les rédacteurs à traiter le sujet à l’aide d’études et de statistiques plutôt que de vivre une expérience de l’intérieur.

A lire aussi : [Vidéo] Trois fois plus de jeunes s’inscrivent au permis de chasser qu’il y a 5 ans

Si le journalisme de terrain n’est pas mort, force est de constater que ce genre d’articles se retrouve souvent dans les mêmes médias. Généralement, en dehors des émissions de télévision spécialisées ou de certains médias digitaux, c’est la presse régionale qui s’en sort le mieux sur ces sujets.

Il s’avère que les choses sont facilitées pour ces journalistes car ils sont déjà régulièrement au contact des gens et des activités locales.

Ici, il s’agit de passer son permis de chasse mais de nombreux autres secteurs d’activité mériteraient une telle immersion permettant aux journalistes de fournir un retour d’expérience qui ne serait tronqué par aucune prise de position, qu’elle soit politique ou idéologique.

Merci à ce journaliste pour son retour d’expérience et bonne chance pour votre session de rattrapage !

Un chevreuil ivre nécessite l’intervention d’un lieutenant de louveterie dans le Jura

Bien que le 1er mai soit un jour férié en France, il n’y a pas de repos pour les gens qui ont des activités en relation avec la nature. Lieutenant de louveterie n’est pas un travail mais il est nécessaire de pouvoir répondre présent quand la situation l’impose.

Ce fut le cas ce mercredi, quand des habitants de Conliège dans le Jura ont vu débarquer dans leur propriété un chevreuil au comportement particulièrement étrange.

L’animal avait manifestement poussé trop loin sa consommation de bourgeons et avait réussi à sauter par dessus le mur d’enceinte d’une maison.

Le chevreuil ivre va alors se mettre à courir dans tous les sens et va foncer droit dans une clôture à plusieurs reprises, au risque de se blesser gravement.

Au bout de quelques instants, la bête a fini par s’allonger sur le sol pour récupérer, ce qui a laissé le temps aux propriétaires d’appeler la gendarmerie.

Finalement, c’est le lieutenant de louveterie qui a été missionné pour s’occuper de l’animal. Il a pu s’en approcher suffisamment pour le capturer et l’installer dans une cage de transport avant d’aller lui rendre sa liberté.

La fédération des chasseurs de la Haute-Vienne célèbre les « blaireaux »

Las des machinations de l’ASPAS qui attaque dans quasiment tous les départements de France les arrêtés concernant la vénerie sous-terre des blaireaux, et pour faire suite aux récents contentieux qu’elle a eu avec l’association, la fédération des chasseurs de la Haute-Vienne a décidé d’organiser une manifestation de soutien aux chasseurs de blaireaux le 15 mai prochain.

« Les associations animalistes n’ont pas le monopole du blaireau » indique la FDC dans un communiqué de presse, ajoutant que « forte d’avoir gagné la quasi-totalité de ses contentieux contre les Fédérations sur la question de l’ouverture complémentaire de la vènerie sous terre du blaireau, l’ASPAS a décrété que la date du 15 mai soit désormais baptisée, Journée Mondiale des Blaireaux. Poussant le cynisme à son paroxysme, cette association organise ici et là des évènements pour faire infuser, dans l’opinion populaire, ses combats contre la chasse ! »

La fédération n’a donc clairement pas l’intention de cesser le combat, bien au contraire : « c’est pour cette raison que la Fédération Départementale des Chasseurs de la Haute-Vienne, association agréée au titre de la protection de l’environnement célèbrera, elle aussi, la Journée Mondiale des Blaireaux ! Mais cela sur un tout autre registre : celui d’un puissant soutien à la vènerie sous terre, via une grande manifestation populaire. »

Ainsi, le 15 mai prochain la FDC donne rendez-vous à tous les chasseurs (pas seulement les veneurs) à la maison de la Nature de Limoges pour un départ de la manifestation à 13h30 au niveau du Champ de Juillet.

[Vidéo] Un homme saute sur un sanglier cerné par ses chiens

Le sanglier est un animal qui peut se montrer dangereux pour l’homme ou pour les animaux de compagnie quand il se décide à charger.

C’est l’une des raisons pour lesquelles les autorités font le nécessaire pour éviter que les sangliers ne s’approchent trop des zones urbaines avant que des habitants ne soient blessés.

A lire aussi : [Vidéo] Un gros sanglier intrigué par un drone venu le filmer

Pourtant, certains n’hésitent pas à aller au contact du sanglier, même à mains nues.

Dans cette vidéo postée depuis les États-Unis, un homme approche un sanglier qui a été apparemment cerné par ses chiens et va tenter de l’attraper à tandis que l’un de ses amis filme la scène.

Il va finalement réussir à sauter sur le dos du suidé et va réussir l’immobiliser au sol. La bête n’est pas énorme mais tout de même, ceux qui ont été au contact des sangliers savent bien que même maîtriser une bête rousse n’est pas une mince affaire.

[Vidéo] Les loups filmés dans Megève

Le loup est un prédateur très suivi depuis son retour à l’état naturel en France. Si plusieurs associations défendent à tous prix le statut protégé de l’espèce, les attaques sur les élevages et les approches successives de l’animal près des villages commencent à inquiéter les autorités.

Le gouvernement a d’ailleurs assoupli les modalités pour qu’une préfecture puisse délivrer une autorisation de tir en cas d’attaque de loup mais les prélèvements ne sont pas toujours réalisés.

A lire aussi : [Vidéo] Un loup filmé sur la commune de La Pesse dans le Jura

En dehors des attaques, de plus en plus de ruraux ont l’occasion d’observer le loup s’approcher des maisons et des zones habitées, en montagne comme en plaine.

A Megève, le loup a pu être filmé dans le secteur de Rochebrune le 20 avril dernier.

@laplaceduvillagetv ILS SONT ENTRÉS DANS MEGÈVE… La célèbre station de sports d'hiver reçoit de plus en plus de visiteurs avec une bien belle fourrure… ici, dans le secteur de Rochebrune à Megève (Haute Savoie-France) le 20 avril 2024. Merci à Aude Sainte Cluque pour cette vidéo. #loup #village #rencontre ♬ son original – La Place du village TV

Lot-et-Garonne : des chasseurs entament un bras de fer avec la mairie qui veut reprendre leur local

Les chasseurs de Beauziac dans le Lot-et-Garonne ont été contactés par la mairie de la commune qui souhaite récupérer leur local. En échange, elle leur propose de s’installer dans un autre local beaucoup plus petit et moins bien aménagé, ce qui a déclenché la démission de tous les membres du bureau de la société de chasse.

La mairie veut chasser les chasseurs de leur local.

Les membres de la société de chasse de Beauziac, près de Casteljaloux dans le Lot-et-Garonne, bénéficient d’un local de 50m² équipé d’une salle de découpe, de congélateurs et réfrigérateurs mais la mairie veut reprendre le local à l’association de chasseurs pour y faire une salle de réception.

La commune a proposé aux chasseurs de reprendre un autre local de seulement 18m² et dont l’équipement n’est pas du tout le même que dans celui qu’ils occupaient jusque là.

Elle a également proposé aux nemrods de se réunir à la salle de fêtes de Beauziac mais un tel accord signifie que les chasseurs seront à la rue les jours ou la salle sera réservée par un tiers.

Ces solutions ne sont bien évidemment pas convenables pour les chasseurs qui ont besoin de place pour se réunir et pour pouvoir gérer la venaison dans de bonnes conditions. Cette démarche initiée par la mairie sans réellement proposer de solution alternative satisfaisante fait penser aux nemrods de la commune qu’ils dérangent et que l’on cherche à les évincer.

Les chasseurs quittent leurs postes en signe de protestation.

Comme le rapporte le site actu.fr, une assemblée générale extraordinaire a eu lieu le 19 avril dernier en présence des élus de la commune pour tenter de trouver une solution équitable pour tout le monde.

A lire aussi : Arrêt total de la chasse par les chasseurs Catalans, en colère et en grève totale

Manifestement, l’entente n’a pas été possible car les chasseurs ont décidé de mettre l’association en sommeil jusqu’à nouvel ordre. Les membres du bureau ont tous démissionné et les chasseurs ont expliqué qu’ils pourraient aller chasser dans les communes alentours.

Ce serait donc un poids pour la commune si la régulation du gibier et des prédateurs n’est plus assurée, ce qui risque de causer de sérieux dégâts sur les cultures et dans les élevages sans la présence des chasseurs sur le terrain.

La prolifération du sanglier pousse les chasseurs à opérer de plus en plus longtemps sur leurs territoires pour faire baisser les dégâts. Ils sont de plus en plus appelés pour organiser des interventions dans les secteurs les plus touchés, on peut donc comprendre qu’ils s’attendent à un peu plus de considération de la part des autorités et pas à se retrouver à la porte quand la mairie a décidé de reprendre le local qu’ils occupent.

[Vidéo] Un sanglier se fait dépasser par les voitures pendant sa balade sur une autoroute

Les sangliers n’ont décidément pas fini de nous surprendre. A chaque fois que l’on pense se trouver dans un endroit ou il est impossible d’en croiser, ils nous prouvent que finalement, on avait tort.

Par le passé, des vidéos ont été publiées sur les réseaux sociaux ou l’on voyait des sangliers au restaurant, dans une piscine ou à la plage mais cette fois c’est directement sur une autoroute que des automobilistes ont pu filmer un sanglier.

Un homme a eu le réflexe de prendre son téléphone pour filmer la scène plutôt insolite lorsque des voitures devant lui se sont mises à ralentir avant de doubler un sanglier de belle taille.

Pensez-vous qu’il existe un « tarif suidés » une fois arrivé au péage?

Les bernaches posent problème sur la pelouse du stade de Châlons-en-Champagne

La bernache est une espèce considérée comme espèce invasive qui pose quelques problèmes sur les terrains sur lesquels elle décide de s’installer. Le stade de Châlons-en-Champagne fait les frais de ces oies qui semblent un peu trop apprécier la pelouse du terrain.

Une espèce envahissante sur le terrain de football.

L’ASPTT Foot de Châlons-en-Champagne est régulièrement aux prises avec des dégradations commises sur leur terrain. Il ne s’agit pas du public qui envahit la pelouse mais d’une espèce qui ne semble pas trop s’intéresser au ballon rond, et bien plus au gazon.

Les bernaches ont décidé depuis quelques années de se rendre de temps à autres sur la pelouse du terrain de football ce qui complique la tâche des joueurs.

Sans parler du fait qu’il soit nécessaire de parfois faire fuir les bernaches avant de pouvoir utiliser le terrain, les ber font office de véritable tondeuse, ce qui dégrade l’état général du terrain.

Cela fait quelques années que le problème est connu et les clubs qui s’affrontent sur le terrain se sentent bien démunis pour empêcher les palmipèdes de venir profiter de ce qu’ils considèrent comme un garde manger.

L’association demande une solution rapide.

Les clubs châlonnais qui utilisent le terrain sont excédés de devoir composer avec les bernaches pour utiliser leur pelouse sans penser aux dégradations ou aux fientes qu’ils vont y retrouver lors des matchs.

Les autorités ont été alertées plusieurs fois de la présence des oies mais jusqu’ici, aucune solution pérenne n’a pu être mise en place pour éviter l’invasion de la pelouse.

Bien que la régulation de l’espèce soit autorisée, gérer une volée de bernache au beau milieu d’un stade n’est pas une mince affaire.

Les chasseurs ont été consultés mais ce sera probablement à la Fédération d’innover pour trouver une solution face à ce problème sans pour autant créer une situation ou les associations animalistes décident de ruer dans les brancards comme on peut le voir dans d’autres communes au sujet des bernaches ou même des ragondins.

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