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A bientot
 

L214 en mauvaise position contre l’État Français dans son recours contre la production du foie gras

C’est un recours qui date de quelques années sur lequel vient de statuer le tribunal administratif de Strasbourg visant à faire reconnaître des manquements de l’État Français au sujet de la production de foie gras. En se basant sur le droit Européen, l’association animaliste tente de nuire aux producteurs à travers le gavage.

Le foie gras, résultat de la maltraitance animale selon L214.

C’est donc en 2020 que L214 dépose un recours contre l’État Français en justice. Elle considère que la France ne respecte pas plusieurs points du droit de l’Union Européenne, notamment en ce qui concerne le gavage des oies et des canards.

Après des mois et des années d’instruction, une audience a eu lieu ce 16 mai durant laquelle le rapporteur public a pu rendre ses conclusions.

Il explique que la requête devrait être rejetée par le tribunal pour plusieurs raisons, notamment de par le fait que le foie gras fait partie du patrimoine culturel et gastronomique protégé en France.

Il indique également qu’il n’a pas été démontré que le gavage des oies et des canards serait une souffrance inutile infligée aux animaux malgré les arguments avancés par Hélène Thouy, avocate de L214 et fondatrice du Parti Animaliste.

Le tribunal administratif de Strasbourg devrait rendre son verdict le 06 juin prochain mais visiblement, les animalistes devraient perdre la bataille contre l’État sur ce dossier.

C’est une bonne nouvelle pour les producteurs qui n’en peuvent plus de voir survenir de nouvelles normes et de nouvelles interdictions en provenance des hautes tours de Paris.

Même si cette fois, c’est surtout l’État qui sort vainqueur de cette joute judiciaire, nul doute que les éleveurs et producteurs de foie gras, qui ont déjà fort à faire dans leur travail ainsi qu’avec les risques liés à la grippe aviaire pour ne pas avoir, en plus, les anti-tout sur le dos.

Dans la Nièvre, le préfet a signé deux arrêtés en faveur de la chasse du blaireau

Alors que les périodes complémentaires de la chasse du blaireau sont au centre de toutes les attaques de la part des associations anti-chasse, le préfet de la Nièvre continue de s’engager en faveur des chasseur et vient de publier deux arrêtés permettant de chasser le blaireau en juin et en juillet.

Deux arrêtés permettant la vènerie sous terre du blaireau.

C’est une nouvelle assez rare dans le contexte actuel mais les préfets continuent de faire le nécessaire pour que les choses aillent dans le bon sens en ce qui concerne la régulation du blaireau.

Dans la Nièvre, ce n’est pas un mais deux arrêtés que le préfet à consenti à ratifier afin de permettre aux chasseurs pratiquant la vènerie sous terre d’intervenir au besoin pour réguler le blaireau.

Comme toujours, il ne s’agit pas de déterrer tous les blaireaux du département, ce mode de chasse ayant principalement pour but de se rendre sur les lieux ou des terriers sont signalés et dont les occupants pourraient causer de sérieux dégâts aux alentours.

Les déterreurs de la Nièvre pourront donc compter sur un arrêté préfectoral leur permettant de chasser le blaireau dès maintenant et ce jusqu’au 30 juin. Le second arrêté est similaire mais concerne des dates différentes puisqu’il ira du 1er juillet jusqu’au 14 septembre.

Les arrêtés vont-ils tenir?

Forcément, cette nouvelle autorisation accordée aux chasseurs par le préfet de la Nièvre fait grincer des dents du côté des associations animalistes qui s’organisent d’ores et déjà pour attaquer en justice les deux publications officielles.

Elles avaient eu gain de cause en 2023 quand plusieurs associations, dont AVES France, ont porté l’affaire devant le tribunal administratif de Dijon.

Difficile de croire que dans ces conditions, les arrêtés pourront durer dans le temps. L’année dernière déjà, les tribunaux s’étaient rangés du côté des anti-chasse et les différentes affaires similaires qui fleurissent un peu partout en France ne laissent que peu d’espoir aux chasseurs Nivernais.

[Vidéo] Un raton laveur sème le trouble sur une pelouse en plein match de foot

Ce jeudi 16 mai, les passionnés du ballon rond on pu voir fleurir sur leurs réseaux un incident pour le moins surprenant, qui a fait sourire bien des fans de football dans le monde entier.

Si habituellement, les faits de matchs concernent les joueurs et les évènements relatifs au jeu, cette fois c’est un élément extérieur qui est venu perturber le déroulement d’une rencontre aux États-Unis.

A lire aussi : [Vidéo] Une mère défend sa fille qui se fait mordre par un raton laveur

D’ordinaire, les interruptions forcées d’un match de foot sont liées à un supporter qui descend des tribunes pour courir sur le terrain, en étant d’ailleurs plus ou moins vêtu, mais pas cette fois.

C’est un raton laveur qui est sorti d’on ne sait où et qui s’est mis à gambader sur la pelouse au milieu des joueurs.

Pour arrêter la course folle de ce dernier, un stadier est arrivé muni d’une poubelle vide et a capturé l’animal avant qu’il ne soit évacué.

Une étude scientifique révèle que 26% des rats des parcs de Lyon sont porteurs de la leptospirose

A travers une étude qui était restée jusqu’ici relativement peu citée dans les médias Français, on apprend que les rats de Lyon sont loin d’être en bonne santé. En effet, 26% d’entre eux étaient porteurs de la leptospirose.

Près d’un rat sur quatre porteur de la leptospirose.

Voici une étude qui devrait faire passer de bien mauvaises nuits à Grégory Doucet, maire écologiste de la ville de Lyon à l’heure ou certains élus de la municipalité veulent favoriser la cohabitation avec les « animaux liminaires ».

C’est une revue américaine spécialisée dans les études scientifiques qui a publié le mois dernier les résultats de son travail et le moins que l’on puisse dire c’est que les chiffres sont alarmants.

La recherche a été menée conjointement par l’Institut Pasteur, l’école vétérinaire VetAgro Sup de Lyon ainsi que l’Agence Nationale de la Recherche dans le parc urbain de la Tête d’Or ainsi qu’au Parc de Lacroix-Laval de la Métropole de Lyon où les rongeurs sont suffisamment présents pour que les scientifiques trouvent de parfaits candidats à tester.

L’objectif de l’étude était avant tout d’évaluer les risques pour la santé des habitants de la zone urbaine de Lyon tout en suivant l’évolution de la leptospirose au sein de la faune sauvage.

Des pièges ont donc été positionnés pour capturer les rongeurs et lors des tests visant à dépister la leptospirose, près de 26% d’entre eux ont été testés positifs.

La leptospirose, une maladie potentiellement mortelle.

La leptospirose est une maladie suivie de près par les scientifiques qui est causée par différentes souches de bactérie de la même famille. Ces bactéries survivent assez facilement dans la nature et les rongeurs sont un facteur important de leur diffusion.

Elle reste mortelle dans 5 à 20% des cas et si en milieu rural, les habitants sont sensibilisés aux risques liés à la propagation de cette maladie, c’est souvent bien moins le cas en milieu urbain.

Son incubation est relativement rapide et il est donc primordial de pouvoir poser assez vite le bon diagnostique afin d’éviter une issue fatale pour la personne infectée par la leptospirose.

La prolifération des rats dans les grandes villes de France est un terreau fertile pour les scientifiques qui traquent les changements et les évolutions mais les résultats de cette étude auront forcément de quoi inquiéter les riverains comme les habitués de ces parcs.

[Vidéo] Un renard adopte un comportement étrange au passage d’une voiture

Quand certaines espèces sont en pleine santé, il n’est pas rare d’en croiser des représentants sur le bords des routes au volant de son véhicule.

Croiser le chemin d’un sanglier, d’un lapin ou comme dans cette vidéo, d’un renard, n’est pas quelque chose de rare dans de nombreuses régions de France.

A lire aussi : [Vidéo] Les nombreuses proies apportées par un renard à toute sa portée

Dans l’extrême majorité des cas, ces animaux prendront rapidement la fuite à l’approche d’une voiture, surtout en plein jour mais ce n’est pas le cas de ce renard qui avait un comportement plutôt étrange.

Les occupants d’une voiture ont pu filmer leur approche d’un goupil qui trainait dans un fossé et ce dernier est resté immobile durant toute la rencontre.

Blessé ou malade, le comportement de ce dernier ne laisse probablement que ces deux options pour expliquer pourquoi il est resté ainsi prostré au lieu de prendre la poudre d’escampette.

@eliottkohler.on À mon avis c’était de la bonne😂🦊#renard #viral #animaux #pourtoi #fyp #nature ♬ I am sneaking into you Pink Panther Parody – moshimo sound design

Bientôt un examen pour le permis de pêche similaire au permis de chasse?

Voilà plusieurs décennies que le permis de chasse n’est plus fourni sur simple demande et qu’une formation sanctionnée d’un examen est dispensée aux futurs nemrods de France. Ce n’est pas encore le cas pour la pêche mais certaines voix s’élèvent pour demander qu’un « vrai » permis de pêche voit le jour.

Un vrai permis de pêche et pas une simple cotisation.

De manière cyclique, les écologistes de France se penchent tantôt sur la chasse et tantôt sur la pêche. Ces tendances vont de pair avec les pressions exercées par les animalistes et les associations anti-tout comme Paris Animaux Zoopolis qui remet une nouvelle fois le couvert sur la mise en place d’un permis de pêche similaire au permis de chasse.

Selon ces derniers, cela permettrait de sensibiliser les pêcheurs aux bonnes pratiques, d’éviter la souffrance inutile des poissons mais aussi s’attaquer au braconnage.

Pour le moment, tout le monde peut devenir pêcheur en s’acquittant d’une cotisation donnant accès à différents cours d’eau de France.

Cette situation est également critiquée par certains pêcheurs eux-mêmes qui souhaitent que les pratiquants de leur passion possèdent un minimum de connaissances sur la pêche avant de se lancer.

Un permis de pêche similaire au permis de chasse.

Au lieu de simplement payer « un droit de pêcher », les défenseurs de la mise en place d’un examen permettant d’obtenir un permis de pêche souhaitent le voir arriver sous la même forme que le permis de chasser.

A lire aussi : Les pêcheurs Québecois réclament le permis de pêche gratuit à partir de 65 ans

Une ou plusieurs journées de formation seraient donc nécessaires selon la pratique visée par le candidat avant le passage d’un examen qui récompenserait les bons élèves ayant réussi les tests requis.

On peut donc imaginer une formation plutôt générale permettant de pêcher le blanc ou la carpe puis l’ajout de modules pour la pêche au carnassier par exemple.

La réforme du permis de pêche n’est pas forcément vu d’un mauvais œil par les pêcheurs eux-mêmes mais la première crainte de ces derniers est que cette réforme soit l’occasion pour les animalistes de faire interdire certaines pratiques comme la pêche au vif.

Certes, cette évolution du permis de pêche n’est pas encore à l’ordre du jour mais il ne serait pas étonnant de revoir venir cette proposition au niveau politique à l’approche des futures élections, vu que certains candidats essaieront à coup sûr de drainer les voies des militants écologistes les plus radicaux.

[Vidéo] Voilà pourquoi réguler la pie est nécessaire

Depuis des décennies, certaines espèces sont éligibles pour se retrouver sur la liste des animaux ESOD (Espèces susceptibles d’occasionner des dégâts) que l’on appelait autrefois la liste des nuisibles.

Leur classement dans cette liste n’est pas anodin car nos aïeux avaient déjà bien remarqué qu’en cas de prolifération de ces dernières, c’est toute la biodiversité qui en prenait un coup.

A lire aussi : [Vidéo] Attaque d’une pie dans un nichoir à mésanges

Si de nos jours, l’un des objectifs des anti-chasse est de supprimer l’existence de cette liste, elle n’en reste pas moins nécessaire car sur le terrain, c’est toute la faune qui va subir la pression exercée par les ESOD.

La pie fait partie de ces espèces même si dans certains départements, elle a été retirée ou n’est piégeable que sous conditions.

Néanmoins, il est important de rappeler que la pie est un prédateur capable de décimer des portées entières de lapereaux, des couvées de perdrix, d’attaquer des poussins dans les basse-cours ou même, comme sur ces images, des œufs de différents oiseaux directement dans les nids.

[Vidéo] Quand tu préfères nourrir les sangliers que les canards

Quoi de plus paisible et romantique que d’aller en couple au bord de l’eau puis de prendre une barque pour dériver au gré des courants en observant la nature.

Bien que ce soit fortement déconseillé, certains adorent profiter de ce genre d’occasion pour jeter un peu de vieux pain aux canards et jouir d’un moment de bonheur en famille.

A lire aussi : [Vidéo] Un homme esquive avec élégance la charge violente d’un sanglier en pleine ville

Pour d’autres, donner de quoi manger aux canards c’est plutôt « has been ».

Vu les images présentes dans cette vidéo, il semble bien plus amusant de profiter d’une balade en barque pour nourrir des animaux un peu plus gros : des sangliers.

Il est vrai que ce n’est pas l’animal auquel on pense immédiatement mais l’homme paraît trouver la chose particulièrement distrayant.

D’où vient le mot « Bredouille » ?

« Bredouille » voilà un terme qui, même si il ne fait pas forcément plaisir, parlera forcément aux chasseurs que vous êtes, mais savez-vous vraiment quelle est sa provenance ?

Si l’origine exacte du mot n’est pas certaine, il semble fort probable que « bredouille » fasse allusion au terme ancien « bredouiller » ou « bafouiller ». Ces mots à l’époque prendraient racine dans des mots régionaux tels que « patauger, barboter dans la boue » mais ce qui est est intéressant, c’est qu’à l’époque du XVIIe siècle, bredouille était employé dans une expression aux antipodes de ce que le mot signifie aujourd’hui.

En effet, avant le XVIIe on disait la « grande bredouille » pour signifier que l’on avait tout gagné. Cela pouvait être aux cartes, autrement dit l’équivalent du grand chelem, mais dans bien d’autres domaines également. Cette expression qui induit une notion de gagnant induisait donc aussi une notion de perdant, ce qui est un peu à l’opposé du chasseur qui aurait perdu en rentrant bredouille n’est ce pas?

C’est quelques temps après qu’il y aurait eu un virage à 180° effectué par la langue française puisque depuis, l’expression « être en bredouille » signifiait être un peu saoul et donc ne pas être prédisposé à réaliser des choses très positives. « Mettre en bredouille » quelqu’un signifiait le battre à plates coutures aux cartes par exemple.

Voilà, même si nous ne sommes pas en pleine saison de chasse, la prochaine fois que vous rentrerez bredouille et que votre moitié vous dira pour la 15e fois de la saison « tu es encore bredouille mon chéri », en vexant votre ego intérieur (si si avouez-le, on l’a tous vécu!), à défaut de l’impressionner avec votre doublé de perdreaux, vous pourrez toujours la surprendre avec vos connaissances étymologiques !

L’adjointe au maire de Grenoble souhaite revoir le statut du ragondin « extrêmement nécessaire à son écosystème »

Après le blaireau, les écologistes ont visiblement trouvé leur prochaine cible dans la guerre de positions qu’ils souhaitent mener contre la chasse Française. Cette fois, c’est le statut du ragondin qui est remis en cause par Sandra Krief, ajointe au maire de Grenoble.

Les élus animalistes sont-ils hors sol?

C’est dans Le Dauphiné Libéré que l’on peut lire la réaction de plusieurs élus animalistes à un reportage paru dans ce même média au sujet de la régulation du ragondin. Dans cette vidéo, on pouvait suivre un chasseur à l’arc qui répondait aux demandes des collectivités et des particuliers en cas d’invasion de ragondins.

Il n’en fallait pas davantage pour que les élus animalistes ne s’insurgent contre cette pratique et ne se lancent dans une tirade en faveur du gros rongeur.

Citée par le journal, Sandra Krief, candidate aux européennes pour le parti animaliste et adjointe au maire de Grenoble a pris la défense du ragondin en ces termes :

« Cet animal, qui s’avère extrêmement nécessaire à son écosystème car il s’est adapté et intégré à environnement au fils du siècle passé en entretenant spontanément les rivières, étangs et canaux. »

Selon elle, le ragondin est un animal « intelligent, très sympathique, voire une espèce de « gros nounours » très sociable » que des enfants d’agriculteurs s’amuseraient à apprivoiser.

Les responsables de plans d’eau, de berges et de zones humides apprécieront et remercieront à coup sûr les enfants d’agriculteurs qui élèvent des ragondins chez eux…

Bien évidemment, tous ces arguments que l’on peut qualifier au moins d’étranges démontrent à quel point les animalistes sont à des années lumières de ce qui se passe dans le monde rural et du rôle que joue un animal comme le ragondin dans nos campagnes.

Quelle part de responsabilité pour les médias?

Si le discours tenu par les animalistes ne peut plus vraiment nous surprendre, on peut tout de même s’interroger sur les raisons qui poussent les médias à relayer ce genre de propos.

La presse se doit de rapporter les points de vue de tout le monde et pour le coup, il est normal que Le Dauphiné Libéré permette aux animalistes de réagir après leur reportage vidéo sur la régulation du ragondin à l’arc.

Néanmoins, si le quotidien régional a fait le job, ce n’est pas le cas de tous les médias dont certains ont une fâcheuse tendance à laisser uniquement la parole aux verts ainsi qu’aux militants anti-spécistes.

Qu’un journal souhaite véhiculer certaines valeurs est compréhensible, mais comment peut-on laisser une tribune libre à des militants qui débitent autant d’arguments infondés, basés sur l’anthropomorphisme du monde animal?

Le ragondin est une espèce invasive qui génère des dégâts, c’est un fait. Et en ce qui concerne son côté sympathique, il faudrait demander son avis sur la question à celle qui fut victime de morsures de ragondin après que ce dernier se soit attaqué à son chien…

On ne reviendra pas encore une fois sur les maladies que le ragondin peut véhiculer ni sur le fait que les zones humides sont avant tout entretenues en grande partie par les chasseurs mais ce qui est sûr, c’est que le ragondin est à des années lumières d’être un animal parfaitement intégré dans nos territoires qu’il détruit allégrement si rien n’est fait.

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