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A bientot
 

[Vidéo] Un bouquetin affolé percute la vitrine d’un magasin en prenant la fuite

Certains animaux sauvages se rendent d’eux-mêmes dans les villes pour tenter d’y trouver de la nourriture mais d’autres s’y retrouvent parfois un peu malgré eux.

C’est souvent le cas d’animaux comme les cervidés ou comme ce bouquetin qui n’avait probablement pas prévu de se retrouver face aux voitures et à la population d’Eliana, une commune de la province de Valence en Espagne.

A lire aussi : [Vidéo] Un bouquetin en mauvaise posture avec des crampons d’alpinistes coincés dans la gueule

L’animal semble effrayé de croiser des piétons et est surement perdu dans cet environnement urbain qu’il ne connaît pas du tout.

Dans sa fuite, il tente d’éviter des personnes sur un trottoir mais ne se rend pas compte qu’une vitrine le sépare de l’espace qu’il essaie d’atteindre et va la percuter de plein fouet.

Une étude démontre l’impact positif des chasseurs sur les populations de tourterelles des bois

La tourterelle des bois est depuis quelques temps très protégée dans certains pays suite au déclin observé des populations qui migrent à travers l’Europe. Une récente étude démontre que le travail réalisé par les chasseurs est bénéfique à l’espèce.

Le rôle positif des chasseurs prouvé sur le terrain.

C’est à travers une enquête menée dans trois pays que sont la France, le Portugal et l’Espagne que des chercheurs ont tenté de savoir comment les actions menées sur le terrain pouvaient bénéficier aux populations de tourterelles des bois.

Si un moratoire sur cette espèce empêche aujourd’hui les chasseurs de réaliser des prélèvements comme ce fut le cas par le passé, ce sont toujours les plus actifs en ce qui concerne la préservation de l’habitat de l’oiseau.

931 terrains de chasse d’Europe occidentale ont été étudiés et les chiffres sont formels : les chasseurs sont un véritable moteur pour le maintien de la tourterelle des bois mais pas seulement.

Sur ces 931 territoires, 98% sont autonomes dans les décisions de gestion de la chasse mais ne sont pas responsables de la gestion agricole ou sylvicole. Pourtant, près de 50% d’entre eux ont influencé la gestion des forêts et se sont impliqués auprès des agriculteurs pour maintenir un biotope favorisant le développement de plusieurs espèces, dont la tourterelle des bois.

Pour ce qui est de l’entretien du petit gibier, 73% d’entre eux ont amené sur leurs territoires de la nourriture et 68% ont amené de l’eau pour permettre aux animaux de passer les périodes les plus difficiles de l’année, en hiver comme en été.

Dans la grande majorité des cas, ces mesures sont auto-financées par les chasseurs eux-mêmes et/ou les gestionnaires de territoires.

Plusieurs de ces mesures ne bénéficient pas uniquement à la tourterelle des bois mais le temps et l’argent investi par les chasseurs sur ces aspects est indéniablement un atout pour le développement de cette espèce.

Encore une fois, les chasseurs démontrent qu’ils sont les premiers acteurs de terrain qui s’investissent pour l’entretien de la petite faune.

Une étude financée par l’Europe qui devrait en tirer toutes les conclusions qui s’imposent.

Cette étude a été menée par la Fondation Artemisan, une organisation à but non lucratif et indépendante qui vise à promouvoir la gestion, la protection et la conservation de la faune et de la flore à travers la recherche et la communication.

Pour réaliser cette étude, la fondation a été financée par la Commission Européenne et a pu travailler avec différents acteurs comme l’Office Français de la Biodiversité, l’IREC (Institut de Investigacion en Recursos Cinegéticos) ou encore l’Université de Lisbonne.

Depuis trop longtemps, l’Europe considère les chasseurs comme un problème et pas comme une solution pour la gestion et le développement de la biodiversité.

Pourtant, force est de constater encore une fois que les chasseurs jouent un rôle déterminant dans l’entretien de l’habitat d’espèces comme la tourterelle des bois et que c’est en grande partie grâce à eux que l’oiseau pourrait revenir nicher sur le continent Européen.

Il serait peut-être temps pour l’Europe de revoir sa copie et les règles qu’elle impose aux chasseurs Européens qui en ont assez d’être mis de côté alors qu’ils sont assurément bien plus actifs sur le terrain que beaucoup d’autres organisations donneuses de leçons.

[Vidéo] Une pie attaque une tourterelle en pleine ville

Quand on pense aux animaux qui s’adaptent aux milieu urbain pour trouver plus aisément des proies ou de quoi se nourrir, on pense assez facilement aux rats, aux renards ou aux sangliers mais on oublie assez régulièrement les oiseaux.

Les pigeons sont installés en ville depuis très longtemps mais les corvidés qui sont plus discrets mais bien présents.

A lire aussi : [Vidéo] Voilà pourquoi réguler la pie est nécessaire

Les corneilles et les choucas causent d’ailleurs de sérieux problèmes dans certaines communes à cause des fientes qui s’amoncèlent sur certains bâtiments mais ce ne sont pas les seuls à s’immiscer de plus en plus en zone urbaine.

La pie est un corvidé plus discret que les autres mais elle est bel et bien présente dans bon nombre de villes et villages de France.

Il n’est pas rare d’en croiser sur les grands axes routiers mais aussi au beau milieu des centre-villes ou elle sait bien qu’il n’y a que peu de prédateurs pour la déranger.

Contrairement aux histoires que se racontent les urbains sur la pie, il ne s’agit pas d’un oiseau qui se contente de manger du pain ou de becqueter dans les poubelles pour y trouver des restes.

Si elle se comporte comme un charognard, la pie n’en reste pas moins un prédateur capable de s’attaquer à des proies de différentes tailles comme un lapin en essayant de lui crever les yeux ou comme ici, une tourterelle déjà bien mal en point.

La pie ne va pas hésiter à lui asséner plusieurs coups de becs avant de la maintenir au sol avec l’une de ses pattes. Il lui suffira alors d’attendre que la tourterelle ne finisse par abandonner et si les piétons ne sont pas trop nombreux dans la rue, la pie en fera son prochain repas.

Les chasseurs de Dordogne ont mis en avant la chasse lors d’une campagne d’affichage

La FNC a lancé depuis quelques années des campagnes de communication ambitieuses pour faire revenir la chasse sur le devant de la scène et faire en sorte que cette passion soit visible au plus grand nombre. Des Fédérations Départementales suivent aujourd’hui le mouvement et font, elles aussi, des progrès considérables en matière de communication.

Des affiches pour mettre en avant la chasse en Dordogne.

Les chasseurs, ce sont avant tout des hommes et des femmes, qui ont une famille, un métier, et qui rendent de grands services à la société à travers leurs actions liées à leur passion.

Les anti-chasse et les anti-spécistes parlent toujours des chasseurs comme s’il s’agissait d’une sorte d’homme de néandertal qui doit disparaître impérativement mais la réalité est comme souvent aux antipodes de ces clichés.

C’est ce qu’à voulu rappeler la Fédération des chasseurs de Dordogne à travers une campagne d’affichage qui a fait sensation.

Installées dans les agglomérations de Périgueux et de Bergerac, pendant une bonne partie du mois de mai, des affiches ont pu être aperçues par les habitants de la région.

Celles-ci mettent en avant les chasseurs forcément, mais avant tout l’humain à travers un couple qui partage la même passion de la chasse ou encore comme ici, une mère et sa fille.

On est relativement loin des vieux clichés encore colportés certains du vieux chasseur bedonnant et aviné…

Toucher la jeunesse et un public féminin.

Depuis plusieurs années, les femmes sont de plus en plus nombreuses à s’inscrire au permis de chasser. Le monde cynégétique a longtemps été considéré à tort comme majoritairement masculin mais le public féminin a su passer outre les préjugés. Nos dianes chasseresses sont très bien accueillies et elles sont souvent encouragées dans leurs démarches par les Fédérations et les associations.

En Dordogne par exemple, le nombre de femmes détentrices du permis de chasser a doublé en trois ans.

Les jeunes aussi représentent une part de la population que les chasseurs de certains départements veulent toucher.

Si quelques Fédérations n’ont pas forcément de problème de renouvellement des génération, la vie actuelle fait que les plus jeunes sont parfois obligés de quitter un territoire pour des raisons professionnelles et ne reviennent sur leur terres natales pour chasser que plusieurs années après.

Il faut donc s’atteler à rendre la chasse plus attractive pour les jeunes gens qui ne connaissent pas forcément cette activité et qui en ont encore une image poussiéreuse.

C’est ce qu’à fait avec brio la FDC 24 qui ne manquera surement pas de renouveler cette expérience qui a été très bien perçue mais qui doit démontrer son efficacité pour être réitérée.

[Vidéo] Reportage sur les « chevreuils ivres »

Nous publions de nombreux articles ou des vidéos sur Chasse Passion de chevreuils qui sont « ivres ». Cette situation se reproduit chaque année à la même période et le phénomène commence à bien être connu.

Les chevreuils ingurgitent des bourgeons de bourdaine qui vont alcooliser les cervidés à leur insu.

TF1 a diffusé hier au journal de 13h un reportage sur ce phénomène, avec la participation de Pascal Ruffy que nous connaissons sur Chasse Passion pour avoir partagé plusieurs de ses excellentes vidéos.

Alors qu’un changement de loi concernant l’alcool à la chasse a été voté l’année dernière, il semblerait que les chevreuils puissent continuer à consommer librement sur la voix publique!

[Vidéo] Un pécari se coince une dent dans un pneu

Connaissez-vous les pécaris ? Il s’agit d’un petit suidé, lointain cousin du sanglier vivant principalement en Amérique du sud.

Il existe 3 espèces de pécaris : le pécari à collier, le pécari à lèvres blanches et le pécari du Chaco. D’un poids moyen situé entre 20kg et 40kg en fonction de l’espèce, son régime alimentaire est assez semblable à celui des sangliers. En effet, ils se nourrissent volontiers de bulbes, de racines, de fruits ou de petites charognes.

La mâchoire des pécaris n’est pas comme celle des sangliers, elle se compose de 38 dents, dont 4 canines plus développées que le reste.

Si elles leur servent surtout à manger, vous allez voir que certains pécaris leur ont trouvé une autre utilité : crever les pneus des motos !

Les chasseurs demandent une audience auprès du Président de la République suite à l’interdiction des chasses traditionnelles

Dans le Sud-Ouest, le torchon brûle entre les services de l’État et les chasseurs depuis que le Conseil d’État a décidé d’interdire les chasses aux pantes et à la matole. Ces chasses dîtes « traditionnelles » n’ont pas de réelle raisons de se voir suspendues si ce n’est la pression exercée par quelques associations animalistes.

Les chasseurs du Lot-et-Garonne décidés à aller jusqu’au bout.

Depuis la décision du Conseil d’État, il y a eu beaucoup de réactions dans les Landes et dans les Pyrénées-Atlantiques qui ont décidé d’aller jusqu’à faire la grève de la chasse aux sangliers. La Gironde et le Lot-et-Garonne ne sont pas en reste car eux aussi sont impactés par cette nouvelle interdiction qui vient amputer une nouvelle fois le monde cynégétique d’une de ses pratiques ancestrales.

Comme dans les départements voisins, le Lot-et-Garonne a décidé de bloquer les échanges entre la Fédération et les services de l’État. Cela va du suivi sanitaire de la faune sauvage (notamment sur la tuberculose bovine) mais aussi sur les prélèvements et les dégâts causés par le grand gibier.

Cette fois la coupe est pleine et les chasseurs refusent de se laisser faire. Les associations animalistes ne cessent de s’attaquer aux différentes pratiques des chasseurs en grignotant peu à peu toute sorte d’interdictions.

Impossible pour les nemrods de laisser tomber les pantayres car, même s’ils ne sont pas nombreux à l’échelle nationale, ce mode de chasse fait partie de la culture locale et de ses traditions.

Et puis quoi? La prochaine étape ce sera les palombières?

Une entrevue avec le Président de la République a été sollicitée.

Les chasseurs du Lot-et-Garonne ne veulent rien lâcher et son prêts à aller au plus haut niveau pour sauver ces chasses traditionnelles du Sud-Ouest.

Une délégation s’est donc présentée à la préfecture d’Agen ce vendredi 24 mai afin d’être reçu par le préfet. L’objectif est de remonter la chaîne de commandement pour obtenir un rendez-vous avec le Président de la République afin d’exposer leur point de vue.

Malgré les études, les incohérences et les preuves apportées par les chasseurs sur le bien fondé de leur mode de chasse, le Conseil d’État ne semble pas leur avoir donné l’opportunité de se défendre, cédant aux pressions exercées par les services juridiques des associations anti-chasse.

Aucune étude n’a été réalisée par ces organisations « écologistes » sur les populations d’alouettes pour voir si l’interdiction de la pante et de la matole avait eu un impact. Impact dont on sait déjà qu’il est nul puisque l’alouette est un gibier qu’il est possible de tirer au fusil durant la saison régulière…

Supprimer la chasse et ses traditions, voilà le leitmotiv de ces associations.

Les chasseurs ne veulent pas se laisser faire mais l’administration semble faire la sourde oreille sur ce dossier. La délégation de chasseurs a été contrainte de se rendre en personne à la préfecture car de nombreux courriers ont été envoyés en vain.

Les courriers sont restés sans réponse et les disciples de Saint-Hubert se sentent mis de côté, comme s’il ne s’agissait pas de citoyens comme les autres et qu’ils étaient mis au ban de la société.

Le combat continue donc dans le Sud-Ouest et les départements concernés ne sont pas prêts d’arrêter la mobilisation. D’autres actions encore tenues dans le secret pourraient être mises en place dans les semaines à venir si le gouvernement continue d’ignorer les demandes des chasseurs concernés.

[Vidéo] Un chevreuil coincé dans un bar au milieu des clients

On savait bien que la période des bourgeons est propices aux écarts de conduite des chevreuils dans leur milieu naturel mais s’ils s’alcoolisent par leurs abus, on ne s’attendait tout de même pas à ce que l’un d’entre eux finisse dans le bar du coin.

Cette histoire est arrivée dans un café situé dans la commune de Burlada, près de Pampelune en Espagne.

A lire aussi : [Vidéo] Un chevreuil lutte pour sa vie après être tombé au canal

Alors que les clients habituels prenaient un verre tranquillement installés au bar, ils ont vu débouler un chevreuil qui a rapidement mis tout sans dessus dessous.

Ils sont parvenus à isoler l’animal derrière un rideau et la propriétaire des lieux a contacté la police de l’environnement qui a pu venir capturer l’animal et le relâcher en toute sécurité dans sa montagne natale.

@noticias_cuatro Un corzo se cuela en un bar de Burlada #noticiastiktok #noticias #news #noticiascuatro ♬ sonido original – Noticias Cuatro

Les Écologistes en perte de vitesse à l’approche des élections européennes?

Les élections européennes approchent à grand pas et le 9 juin prochain, les Français devront voter pour les députés qu’ils souhaitent voir siéger à Bruxelles pour les 5 prochaines années. Si certaines têtes de liste parviennent à tirer leur épingle du jeu, d’autres sont en perte de vitesse comme cela semble être le cas des Écologistes.

L’écologie politique, un discours qui s’essouffle?

S’ils votent pour différents partis politiques au cours de leur vie, les Français semblent tous d’accord pour dire qu’après un certain temps, les promesses et l’inaction de la part de nos élus ont tendance à les agacer . Quelques-uns ont même décidé de changer de nom pour de nouveau attirer le chaland et assurer aux électeurs que cette fois, il y a eu du changement.

Ce fut le cas pour plusieurs partis mais pour Europe Écologie, la liste des Écologistes (ex EELV) aux prochaines élections, le creux de la vague commence à ressembler à une traversée du désert.

Les Français en ont manifestement assez de voir une écologie basée uniquement sur les sanctions, les interdictions et les obligations, souvent à travers des règlementations hors sol mais pas assez d’actions concrètes et réfléchies menées sur le terrain en dehors des meetings.

Preuve en est avec le dernier sondage mené par Harris interactive et Toluna qui n’accorde que 5% des intentions de vote aux verts au 20 mai. Alors même que l’Alliance Rurale, mouvement politique créé pour l’occasion, atteint déjà les 1%.

Certes, les Français ont conscience de la nécessité de préserver notre environnement et la biodiversité mais ils ont également pris acte du fait que beaucoup d’élus chez les verts n’étaient que très mal renseignés sur les problématiques de terrain ou n’avaient que peu de compétences en dehors de celles d’être un politicien. La recherche constante de buzz et d’émotion dans les médias pour faire parler d’eux ne sert plus leur mouvement, méthode d’ailleurs vivement reprise par le parti animaliste ou d’autres plus radicaux.

Du côté des agriculteurs et des ruraux, les électeurs ne sont pas dupes et ont commencé à tourner la tête vers de nouveaux horizons.

Vers une remontée du Parti Socialiste?

Il semblerait que les électeurs de gauche en aient assez de la manière dont la NUPES a pu agir en France et refusent de voir la même chose se dérouler au niveau international.

Dans ce même sondage publié chez Challenges, on apprend que le Parti Socialiste de Raphaël Glucksmann pourrait revenir sur le devant de la scène. Pour le moment, il talonne à la troisième place les deux leaders que sont le Rassemblement National et le groupe de la majorité présidentielle représenté par Valérie Hayer.

Même Reconquête, avec à sa tête Marion Maréchal, est annoncé devant les Écologistes, juste derrière les Républicains et LFI.

Cette déconfiture serait, selon certaines rumeurs, causée par un virage radical qui ne parvient pas à convaincre, un programme qui peine à être pris au sérieux mais aussi par des personnalités clivantes qui ont pu nuire à l’image du parti écologiste.

A l’heure ou les problématiques écologistes sont prises en compte par les grands partis, l’ego des leaders verts et une forme de wokisme exacerbé aurait provoqué un délabrement constant du parti politique qui peine à se renouveler.

Les sorties remarquées de Sandrine Rousseau mais aussi les déboires de Julien Bayou en justice ainsi que les manifestations de Sainte-Soline n’ont d’ailleurs pas aidé les Écologistes à se créer une image sérieuse pour intervenir en politique sur la scène internationale.

Il faudra attendre les résultats de l’élection pour savoir si oui ou non les écologistes parviennent encore à convaincre mais pour le moment, les verts peinent à convaincre les électeurs de se tourner vers eux le 9 juin prochain.

[Vidéo] Un pêcheur à la carpe se fait surprendre par un silure

Les images d’attaques de silures sur d’autres poissons sont toujours très impressionnantes compte tenu de la taille que peuvent atteindre certains individus.

Un pêcheur à la carpe en a fait l’expérience lors d’une de ses sorties durant laquelle il a vécu une expérience pour le moins hallucinante.

A lire aussi : [Vidéo] Un silure de 2m38 pris en Loire après un combat éprouvant

Alors qu’il était aux prises avec une carpe de belle taille, un silure s’est invité dans la partie et a tenté de s’en prendre au poisson qu’il venait de ferrer.

Tandis que le pêcheur bataillait ferme pour remonter la carpe au bout de sa ligne, il a pu filmer l’attaque du prédateur qui n’a pas hésité à s’en prendre à un poisson plutôt costaud, même pour un poisson de sa taille.

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